- APPEL À PROJET ARTISTIQUE : 3 # CLERMONT-FERRAND - SAINT-ÉTIENNE - LYON -
- APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE : 2 # BAYEUX - CANADA -
- OFFRE D’EMPLOI : 1 # RENNES -
- LOCATION ATELIER : 1 # VIVIERS -
APPEL À PROJET ARTISTIQUE
Coopérative de recherche 2019-2020 L’ESACM recrute de nouveaux chercheur.e.s pour l’année 2019-2020 / CLERMONT-FERRAND
Date limite de réception : 2.06.2019
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L’ESACM recrute de nouveaux chercheur.e.s pour l’année 2019-2020.
D’une durée de 10 mois, de septembre à juin, ce temps de recherche, qui peut aller de une à trois années, s’inscrit dans le cadre de la Coopérative de recherche, plate-forme réunissant les groupes de recherche de l’école et le 3ème cycle.
CONDITIONS D’ÉLIGIBILITÉ
L’appel à candidature de la Coopérative de recherche s’adresse à de jeunes artistes récemment diplômé.e.s (master ou grade master) d’écoles supérieures dans des disciplines artistiques, et à des artistes et des théoricien.ne.s,
sans préférence de discipline, de médium ou de pratique, pleinement engagé.e.s dans une recherche ou souhaitant mettre en œuvre un projet de recherche, en lien avec les axes de réflexions, projets et programmes de recherche
mis en avant et en œuvre par les équipes de l’ESACM. S’ils sont étranger.e.s, l’anglais sera la langue commune de travail.
ATTENTES / CRITÈRES DE SÉLECTION
Les candidat.e.s formuleront les intentions et premières hypothèses de la recherche qu’il.elle.s souhaitent mettre en œuvre ou poursuivre au sein de la Coopérative de recherche.
Le jury sélectionnera les chercheur.e.s en tenant compte en premier lieu de la qualité du travail artistique et / ou théorique, de la pertinence du projet de recherche envisagé en lien avec les projets et programmes de recherche
mis en œuvre par les équipes de recherche de l’ESACM. Son choix sera également déterminé par leur capacité à contribuer à la recherche au sein de la Coopérative de recherche de l’école.
Les chercheur.e.s devront être une force de proposition de processus, de dispositifs et d’instruments de recherche, et devront témoigner de leur désir et de leur aptitude à croiser les disciplines.
DOSSIER DE CANDIDATURE
Le dossier de candidature, en français ou en anglais, et exclusivement au format numérique (les dossiers par voie postale ne pourront pas être examinés), devra comprendre :
- une lettre précisant les motivations à intégrer le programme
- une note d’intention présentant le projet de recherche envisagé
- un dossier artistique ou des publications
- un curriculum vitae
- la copie d’une pièce d’identité
Les dossiers de candidatures devront être envoyés à : cooperative@esacm.fr
Date limite de réception : 2.06.2019.
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Le jury fera une présélection sur dossier.
Les entretiens avec les candidat.e.s présélectionné.e.s auront lieu à l’ESACM, Clermont-Ferrand, le 3 juillet 2019. Aucun entretien ne se fera par skype, ou à une autre date.
L’ESACM
L’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole constituée en EPCC délivre un diplôme en art de grade master ainsi qu’un DSRA (Diplôme Supérieur de Recherche en Art).
Elle comprend 160 étudiant.e.s dans des locaux récents conçus pour elle en centre-ville, au cœur du quartier universitaire. L’ESACM a rejoint le réseau des 4 écoles de la Région Auvergne-Rhône-Alpes (ADERA).
L’école développe également de nombreuses collaborations et partenariats avec l’écosystème culturel local à savoir les musées de la ville, le Fonds Régional d’Art Contemporain, l’Hôtel Fontfreyde,
les associations Artistes en résidence, In extenso, Les Ateliers, l’espace municipal d’art contemporain La Tôlerie et les centres d’art du Creux de l’Enfer à Thiers, du Parc Saint-Léger à Pougues-les-Eaux,
de l’Abbaye Saint-André de Meymac et le centre d’art et de paysage de Vassivière.
LA RECHERCHE
La recherche en art ne saurait se limiter au seul champ théorique : elle n’établit aucune séparation entre l’intelligible et le sensible — ce qui implique de sortir des schémas et attendus académiques.
Ce qui la caractérise, est d’abord qu’elle est susceptible de s’effectuer dans / à travers / par une grande variété de formes et de dispositifs (œuvres plastiques, textes, expositions, films, entretiens, livres, disques...).
Aussi, plutôt que de définir a priori des objets de recherche,la recherche à l’ESACM vise d’abord à mettre en place des situations de recherche,
laissant les objets et les formes se construire collectivement, au fil du processus de recherche.
Dans la mesure où la recherche en art peut se porter sur un champ étendu d’objets très variés, excédant le strict champ de l’art,
ce qui nous importe est autant l’objet de la recherche que la méthodologie envisagée — ou plus précisément, l’articulation entre l’objet et la méthodologie.
Il nous faut d’emblée revendiquer la grande plasticité du premier comme de la seconde :
les formes émanent du projet de recherche entrepris, autant qu’elles en infléchissent les développements ultérieurs.
La recherche en art se nourrit, comme toute autre recherche, de ses propres incertitudes et revêt par-là même un caractère prospectif.
Elle pose d’emblée la question de la nécessaire prise de distance avec son objet. C’est notamment le rôle de la communauté des chercheur.e.s formée au sein
de la Coopérative que d’accompagner ou susciter cette distanciation, en mettant « en crise » l’objet de la recherche comme la méthodologie mise en œuvre.
Le collectif trouve son sens dans cette articulation nécessaire entre socle individuel de recherche et partage des pistes, questions, doutes et formes, afin de favoriser la production d’un terrain commun.
LA COOPÉRATIVE
La Coopérative de Recherche est la plateforme depuis laquelle s’organisent les activités de recherche à l’ESACM.
Mise en place en 2012, elle constitue un dispositif essentiel de la recherche, et sa dénomination même en pointe quelques-uns des enjeux et caractéristiques :
aux appellations « laboratoire » ou « agence » (ce dernier dénotant un assujettissement de la recherche à des impératifs de rentabilité économique immédiate), on a préféré celui de « coopérative »,
qui d’emblée en traduit et en revendique la nécessaire et féconde articulation entre l’apport individuel dans chacun des territoires de recherche abordés et la dimension collective, participative et égalitaire propre au principe de « coopérative ».
L’idée fondatrice de cette coopérative est bien celle d’une mise en commun de réflexions, d’outils et de formes.
Elle est d’abord et avant tout un dispositif d’accueil et de travail de chercheur.e.s à l’ESACM afin qu’ils.elles puissent y mener leurs recherches, et nourrir le travail des équipes de recherche au sein de l’école.
La Coopérative de Recherche souhaite offrir un contexte favorable à la poursuite et au développement des recherches individuelles de chacun des chercheur.e.s,
qui constituent en retour le substrat à partir duquel des perspectives communes, croisées ou divergentes voient le jour.
Chaque chercheur.e appartient à cette Coopérative et postule pour y travailler avec l’ensemble de la communauté constituée chaque année des enseignant.e.s-chercheur.e.s, des acteur.rice.s des programmes de recherche et des chercheur.e.s.
La Coopérative est à la fois l’espace où les acteur.rice.s de la recherche organisent son fonctionnement et ses projets, et où la recherche elle même, celle propre à chacun et celle des programmes, se partage et se débat.
Elle est l’espace où peut émerger les lignes directrices, un en-commun à tous ou à certains où peuvent se générer des projets, invitations, voyages collectifs et partagés.
Au delà des programmes, projets et séminaires existants, les chercheur.e.s peuvent inventer des projets et des propositions de recherche de formats divers pour les acteur.rice.s de l’école quels qu’il.elle.s soient.
Depuis la projection d’un film jusqu’à la mise en place d’un séminaire annuel de recherche, les acteurs et actrices de la recherche peuvent mettre en œuvre des propositions très diverses.
LES PROGRAMMES
Les programmes de recherche en cours pour l’année 2019-2020 : « Léviathan »
Poursuivre la recherche du Léviathan — cette figure biblico-hobbesienne monstrueuse — et observer les forces qui l’animent, en même temps que les formes de résistance qui parviennent — ou non — à leur être opposées,
telles sont les motivations et les visées de ce projet. Nourris des apports des sciences humaines, nous tentons cette approche depuis le champ de l’art et avec les moyens de l’art,
avec pour guide ou « carte » le roman d’Herman Melville, Moby-Dick, ou le cachalot, paru en 1851. (...)
Du partage de nos lectures de Moby-Dick a émergé et s’est précisé ce par quoi chaque membre du groupe est habité, ce dont il a fait l’expérience, via ses propres outils : images fixes et en mouvement, écriture, performance, sculptures, installations...
L’imaginaire et les désirs suscités par nos lectures ont été éprouvés en situation réelle, à travers l’exploration de « terrains » : des situations géographiques, politiques, humaines, contemporaines.
La ville de Detroit, mise en faillite en 2013 — et dont la « renaissance » est annoncée aujourd’hui à grand renfort de campagnes promotionnelles —
est le terrain que nous explorons depuis trois ans, cherchant à savoir, tel le capitaine Achab, si quelqu’un y a « vu la baleine blanche ».
« Des Exils » Le groupe de recherche Des Exils fédère des enseignant.e.s, une théoricienne et un artiste, des chercheur.e.s et des étudiant.e.s du second cycle à l’ESACM.
Tou.te.s se retrouvent autour de la nécessité de questionner le point de vue des artistes et des chercheur.e.s face à un état du monde où la question de la mobilité,
des hommes comme des marchandises, est devenue un enjeu géopolitique majeur et une cause de désenchantement. Il y a vingt ans, dans l’introduction à son ouvrage Balkans-transit, François Maspero notait déjà :
« On m’avait enseigné le droit à la libre circulation des biens et des personnes. J’appris que ce droit ne concerne que les personnes qui ont des biens. » (Maspero, Balkans-Transit, 1997). L’Europe semble n’être plus capable que d’ériger de nouvelles clôtures
qui découlent de la fatigue de ses démocraties, souvent prises au piège par la renaissance d’idéologies crypto-fascistes. A contrario, le néo-libéralisme achève de disloquer certains liens culturels, économiques et sociaux.
Nous faisons l’hypothèse que de nouveaux modes « d’en commun » artistiques peuvent surgir si l’on s’extirpe du « désir de la clôture » (Achille Mbembé, Politique de l’inimitié, 2016)
et si l’on observe attentivement les nombreuses stratégies et formes inventées par les artistes et auteur.e.s pour représenter et/ou déjouer les agencements néo-libéraux comme les doctrines nationalistes
et surtout pour rendre compte des potentiels formels et théoriques nichés dans les circulations, traversées et passages (de W.G. Sebald à Nil Yalter, d’Ali Essafi au collectif Abbounadara).
L’exil ou plutôt les exils seront envisagés d’un point de vue géographique, existentiel ou symbolique. Comme l’écrit Vilem Flusser, cette situation provoque un éparpillement de soi,
une révision polémique de toute habitude et produit le terreau d’une activité créatrice à venir(Vilem Flusser, Exile and creativity, 1984). La répétition et la réitération constitueront notre méthode commune de recherche.
Le motif principal sera le voyage que fait Harvey Keitel dans Le Regard d’Ulysse, de Thessalonique à Sarajevo : D’abord parce qu’il incorpore les empreintes d’autres déplacements (ceux des frères Manakis,
pionniers du cinéma, ceux de l’Ulysse d’Homère, ceux des idéologies et de leur effondrement au 20ème siècle) ; Ensuite, parce qu’il annonce la route empruntée depuis par les nombreux.ses migrant.e.s qui tentent de rejoindre l’Europe de l’ouest.
« Figures de transition (surexpositions) » « L’épokhè se cultive [...] Mais l’art, parce qu’il est improbable, ne serait pas arraisonnable. » Jean-François Lyotard
Point de départ : L’art dit « africain » est le produit de son exposition – dans le sens du dispositif aussi bien que dans le sens de sa mise en danger. Partant du contexte d’intérêt renouvelé à « l’art contemporain africain » en France et dans le monde,
depuis Clermont-Ferrand en lien avec Cotonou et Ouagadougou, le projet de recherche Figures de transition (surexpositions) étudie le terrain afro européen. Différant des territoires géopolitiques,
dont il figure comme masque, ce terrain est fait d’imaginations et de représentations, d’attentes et de projections, de promesses et de désenchantements. Façonné par une histoire commune,
il constitue la matrice de démarches artistiques. Celles-ci engendrent la transition vers un avenir encore inconnu et informe. Considérant que la « contemporanéité »
de l’art produit immobilisme et impasses, nous, artistes et critiques, enseignants à l’ESACM et chercheuses associées, cherchons l’art futur par déplacements, réciprocité et dialogue.
Objectifs :
Les rencontres lors de l’exposition active « surexpositions », qui avait lieu en mai 2018, ont fait apparaitre le désir partagé de devenir auteur·e de sa propre image.
Une pulsion critique qui est particulièrement forte vis-à-vis des stéréotypes de l’« art contemporain africain ». En questionnant l’impact des modes d’exposition,
conscient de l’impossibilité de balayer une histoire complexe, d’ignorer des asymétries sociétales et politiques, nous interrogeons ensemble ce terrain afro-européen en générale et afropéen en particulier par le projet d’Edition Epokä.
Si l’exposition en tant que dispositif permet un déplacement, il s’agit maintenant de déplacer l’exposition en tant que tel, créer un espace entre ce qui se joue entre des murs et ce qui se partage comme expérience.
Il s’agit de déplacer nos lieux de rencontre, de considérer l’exposition d’art (africain), son histoire, ses histoires et états, différemment. L’Edition séquentielle Epokä sera un tel lieu.
Méthode :
À l’instar de l’hospitalité de « surexpositions » qui a créé une « zone de contact », Epokä est conçue comme un pas suspendu. Entendu comme arrêt de refus aussi bien qu’interruption de la marche,
celui-ci offre les conditions du dialogue et de la dispute. Inspiré par le terme d’épochè, cette méthode consiste à interrompre ce qui parait naturel et immuable afin de pouvoir prendre en considération les conditions du réel,
interroger les convictions et les idéologies et sonder les possibilités de l’innovation sémantique.
Volontairement polymorphe et polyglotte, le temps de l’Epokä sera un temps du possible d’un lieu qui, face aux enjeux d’occupation et d’appropriation, sera partagé solidairement.
Ce travail d’édition se déploie de manière inclusive à travers des rencontres, collaborations, résidences, visites et commandes tout au long de l’année scolaire au sein de l’ESACM et à des lieux choisis selon les occasions et actualités.
Programmes de recherche passés : « Collages en France » (en 2012-2013) ; « Robinson/Vendredi - Exploring Robinson » (2013-2017) ; « Le parti pris de l’expérience ; Marfa » (2012-2014) ; « L’intercalaire » (2014-2016) ; « Un film infini (le travail) » (2014 - 2019)
Les candidats peuvent consulter le site de l’ESACM : www.esacm.fr
DEROULEMENT ET 3ème CYCLE (DSRA)
Le.la chercheur.e postule pour une première année de recherche au sein de la Coopérative. Il ou elle peut ou non venir travailler dans un programme ou projet de recherche, créer des formes de recherche et travailler à sa recherche singulière.
Au cours de l’année, les chercheur.e.s sont amené.e.s à se présenter et à présenter les enjeux de leur recherche à la communauté de l’école à travers des temps et des formes spécifiques à chacun.
Ces temps de présentation sont aussi une manière de favoriser des prises de contacts multiples avec tous ceux qui font l’école : étudiant.e.s, enseignant.e.s, personnels.
Au bout de cette première année, le.la chercheur.e pourra vouloir : - arrêter sa recherche au sein de l’ESACM
- mener un 3ème cycle
- poursuivre sa recherche sans la finalité d’un diplôme auprès d’un programme ou/et de la Coopérative
Dans les deux derniers cas, la commission recherche validera ou non leur choix après des temps de travail avec les chercheur.e.s et une présentation de leur parcours et projet.
Mener un 3ème cycle pour avoir un Diplôme Supérieur de Recherche en Art (DSRA) demande un rythme de recherche soutenu.
Le.la chercheur.e en 3ème cycle sera suivi par un.e référent.e, aura des entretiens réguliers et mettra en œuvre des invitations pour nourrir sa recherche.
Au bout de trois années, il.elle fera une « soutenance » devant un jury dont la forme et le format sont à inventer pour chacun.
Le parcours de recherche au sein de l’ESACM, quel qu’il soit, demande de venir 6 jours par mois dont les deux journées mensuelles communes, de participer au travail de la Coopérative,
de faire état de sa recherche auprès de la communauté et de mettre en forme sa recherche de manière à ce qu’elle soit partagée et diffusable à la fin de son parcours.
Les deux journées communes mettant en œuvre la collégialité et la communauté de la recherche, les 4 autres jours de présence les chercheur.e.s ceux –ci mettront en œuvre leur recherche ou participeront à un programme de recherche.
TEMPORALITES
Le temps de la recherche se fait de septembre 2019 à juin 2020 inclus.
Un temps de séminaire a lieu à la mi-septembre qui réunit tous les membres de la Coopérative.
Des rendez-vous mensuels de 2 jours consécutifs seront organisés par l’ensemble de ceux qui font la Coopérative de recherche, équipes de l’école et contributeur.rice.s/chercheur.e.s.
Ces 2 jours mensuels seront dédiés à des partages de contenus et une manière de contribuer à la réflexion collective de la Coopérative de recherche.
Ils sont obligatoires puisqu’ils sont garants du fonctionnement collégial de la coopérative de recherche.
Une présence minimum de six jours ouvrables par mois est demandée, comprenant ces 2 jours mensuels.
CONDITIONS D’ACCUEIL DES CHERCHEURS
Une convention est signée en début d’année avec chaque chercheur.e, qui bénéficiera des conditions d’accueil suivantes : - L’accès au plateau de la Coopérative de recherche (environ 200m2 d’espace de travail partagé) et aux locaux de l’école (ateliers, plateaux techniques, salles de séminaires, salle d’exposition, bibliothèque..) ;
ainsi qu’aux moyens humains et techniques de l’école, dans le cadre de son projet ou des projets en commun avec les autres chercheurs. - La possibilité de faire des invitations prises en charge par l’ESACM après validation par la Commission recherche.
- La possibilité de participer à des voyages et des déplacements pris en charge par l’ESACM après validation par la commission recherche notamment dans le cadre de la participation aux programmes de recherche.
- Les chercheurs ont la possibilité de demander le financement des formes de restitution de leurs recherches si elles participent à la diffusion de la recherche de l’école après validation de la commission recherche.
- Une bourse de recherche de 9000 euros versée en deux fois en décembre et juin ou mensuellement au choix du chercheur. Cette bourse n’est pas une bourse de production.
- Un voyage par mois à hauteur de 120 euros maximum, sans possibilité de cumuler plusieurs voyages dans ce montant.
- L’usage d’un logement partagé avec les autres chercheurs situé à Clermont-Ferrand.
www.esacm.fr
APPEL À PROJET ARTISTIQUE
La Serre Programmation 2020 / SAINT-ÉTIENNE
Date limite des candidatures 14.06.2019
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Dans le cadre de sa politique en faveur d’une meilleure diffusion des travaux des artistes plasticiens et visuels, la Ville de Saint-Étienne propose,
au sein de la Serre de l’ancienne École des Beaux-Arts, une programmation visant à accompagner le développement de la carrière professionnelle des artistes émergents.
La Serre offre ainsi à des artistes disposant d’un niveau initial de reconnaissance professionnelle une première exposition personnelle
produite spécifiquement pour le lieu et pour laquelle ils bénéficient d’une bourse de production de 3 000 euros.
Par cette démarche, la Ville entend avant tout renforcer la reconnaissance et la visibilité du potentiel créatif de son territoire et favoriser la professionnalisation d’artistes en début de carrière.
Au rythme de 6 expositions annuelles de 5 semaines, la Serre œuvre ainsi à élargir l’accès des publics à l’art contemporain et contribue à densifier,
dans un cadre cohérent et complémentaire avec les institutions muséales et les galeries, un réseau vivant de diffusion des artistes plasticiens et visuels.
Ouverte à toutes les disciplines : peinture, dessin, sculpture, installation, photographie, design, arts numériques...
la Serre porte une attention spécifique à l’innovation et à l’expérimentation qui constituent des marqueurs singuliers de la scène stéphanoise.
RECEVABILITÉ DES CANDIDATURES
Peuvent se porter candidats tous les artistes en activité, vivant ou travaillant dans le périmètre de la Région Auvergne-Rhône-Alpes,
ou tout artiste Français ou étranger développant un projet de résidence au sein d’une structure ou association culturelle stéphanoise.
DÉPÔT DES DOSSIERS
Les artistes doivent envoyer leur candidature par mail exclusivement à sophie.thierry@saint-etienne.fr, leur dossier doit impérativement comprendre :
- le formulaire d’inscription dûment complété,
- une attestation d’affiliation ou d’assujettissement à la Maison des artistes-sécurité sociale ou à l’Agessa,
- un curriculum vitae à jour,
- une note d’intention artistique présentant leur démarche et, le cas échéant, le projet spécifique qu’ils souhaitent développer à la Serre (1 page recto-verso maximum),
- un portfolio,
- le cas échéant, le lien vers leur site internet.
La sélection des candidatures est réalisée par un comité artistique piloté par la Ville de Saint-Étienne selon un certain nombre de critères tels que la créativité et l’innovation de la proposition artistique,
l’inscription du projet dans le parcours artistique du candidat ou la qualité artistique et l’intérêt de la démarche proposée.
Date limite des candidatures 14.06.2019
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sophie.thierry@saint-etienne.fr
https://www.saint-etienne.fr/actualites/artistes-mergents-profitez-l%E2%80%99appel-%C3%A0-candidatures
APPEL À PROJET ARTISTIQUE
L’attrape-couleurs La flèche du temps / LYON
Candidatez avant le mardi 18.06.2019 à minuit
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Dans le cadre de sa programmation artistique 2020, L’attrape-couleurs lance un appel à candidatures intitulé La flèche du temps.
Ce titre général s’applique aussi bien aux expositions qu’aux résidences.
Cet appel est ouvert à tous les artistes professionnels en solo, duo ou collectif, dont la proposition correspond au questionnement thématique de cet appel.
Tous les types de pratiques artistiques sont acceptés. Les candidats peuvent postuler sans conditions de nationalité et sans restrictions d’âge.
Un comité de programmation constitué de membres volontaires du conseil d’administration de L’attrape-couleurs se réunira pour examiner les dossiers à l’été 2019.
Les réponses seront données à tous les candidats fin septembre.
La flèche du temps, concept introduit en 1928 par Arthur Eddington, physicien, souligne le caractère unidimensionnel et le sens unique de l’écoulement du temps, du passé au présent et vers le futur.
La métaphore de cette flèche, dans sa rapide et inexorable progression sur sa trajectoire, incarne le caractère irréversible
du temps et des événements qui surviennent. Jamais, ce qui a été ou est, n’adviendra de nouveau...
Mots clés : Aujourd’hui, demain , hier – Histoire, histoires – Récits – Authenticité – Fake news – Enchaînements, déchaînements - Illusion / Désillusion - Le temps comme fiction, La durée comme réalité –
Le temps de l’œuvre et l’œuvre du temps – Irréversibilité des phénomènes – Mouvement, immobilité – Le temps perdu – L’ins- tant fatal – Devenir.s – mémoire.s...
L’attrape-couleurs :
L’attrape-couleurs est un espace d’exposition dédié à l’art contemporain situé dans le 9e arrondissement de Lyon, en bord de Saône, sur le parcours des Rives.
Fondé en 2000 et installé dans l’ancienne mairie de Saint-Rambert-l’Île-Barbe, L’ac a pour mission principale de favoriser l’émergence de jeunes artistes,
ainsi que l’expérimentation et la recherche dans le champ des arts-plastiques.
A travers cinq à sept expositions par an, L’ac présente tous les types de pratiques artistiques, photos, peintures, installations, dessin, etc.,
par des expositions monographiques ou collectives sur une surface d’exposition d’environ 80m2.
Depuis 2009, L’ac accueille également des artistes en résidence http://www.attrape-couleurs.com/
Les aides de L’attrape-couleurs pour ses expositions :
Le budget de production : 300 euros par artiste / 400 euros pour un duo / 500 euros pour un collectif
La prise en charge partielle des frais de déplacements
Le logement sur place
L’atelier et/ou le bureau mis à disposition (suivant la disponibilité des espaces)
Les aides de L’attrape-couleurs pour ses résidences :
Le budget de production : 100 euros/mois complet soit 300 euros pour 3 mois
La prise en charge partielle des frais de déplacements
Le logement sur place
L’atelier et/ou le bureau mis à disposition
Vous postulez pour un projet d’exposition :
À adressez à L’attrape-couleurs avant le mardi 18.06.2019 à minuit
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un mail intitulé « candidature-exposition-2020 » avec votre dossier au format PDF en pièce-jointe nommé par votre « NOM-prénom » à : attrape.couleurs@wanadoo.fr
Dans votre dossier artistique de 12 pages maximum, vous inclurez :
un texte présentant votre démarche avec des visuels de vos œuvres ;
un curriculum vitae avec vos coordonnées personnelles ;
une note d’intention pour un projet d’exposition répondant à la proposition La flèche du temps.
Vous postulez pour un projet de résidence :
À adressez à L’attrape-couleurs avant le mardi 18.06.2019 à minuit
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un mail intitulé « candidature-résidence-2020 » avec votre dossier au format PDF en pièce-jointe nommé par votre « NOM-prénom » à : attrape.couleurs@wanadoo.fr
Dans votre dossier artistique de 12 pages maximum, vous inclurez :
un texte présentant votre démarche avec des visuels de vos œuvres ;
un curriculum vitae avec vos coordonnées personnelles ;
une note d’intention pour un projet de résidence répondant à la proposition La flèche du temps.
Dans votre note, précisez la durée de résidence souhaitée, ainsi qu’éventuellement la période de l’année.
http://www.attrape-couleurs.com/
APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE
Le Radar, Espace d’art actuel AURA #2 / BAYEUX
Date limite de réception des dossiers avant le 10.06.2019
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Depuis 2007, Le Radar développe une politique de diffusion de la création contemporaine à Bayeux. Il présente une programmation d’artistes confirmés et de jeunes plasticiens émergeants,
avec a pour objectif, de faire découvrir aux visiteurs la diversité des pratiques contemporaines au travers d’expositions qualitatives, insolites et audacieuses.
Dans cet espace, les visiteurs peuvent découvrir tout au long de l’an- née cinq expositions temporaires dont une exposition estivale d’envergure.
Dès son ouverture, le Radar s’est doté une artothèque, un fonds d’œuvres d’art que peuvent emprunter les particuliers, les entreprises ou les collectivités.
Située en Normandie, dans le département du Calvados, Bayeux compte 14000 habitants.
Bayeux est Renommée à travers le monde pour sa Tapisserie du XIe siècle inscrite au registre « Mémoire du Monde » de l’UNESCO,
retraçant, sous forme de broderie, la conquête de l’Angleterre par Guillaume le Conquérant.
La ville affiche un patrimoine architectural remarquable, datant essentiellement de l’époque médiévale. Bayeux fut la première ville française libérée suite au Débarquement, le 7 juin 1944.
AURA #2 L’application
AURA est un projet inédit de parcours dans la ville de Bayeux, d’œuvres visibles à travers une application de réalité augmentée.
L’occasion pour chacun des utilisateurs de vivre l’expérience d’une intégration du virtuel dans le réel.
Pour l’artiste, AURA est la possibilité d’étendre son territoire vers un dispositif qui produit une nouvelle réalité.
Cette interface technologique implique de penser l’œuvre dans sa relation avec son environnement et le public.
Le projet AURA a été imaginé par Le radar, Espace d’art actuel, l’application a été développée par une jeune entreprise normande, Pristimantis.
Lors de la première édition, nous avons collaboré avec l’artiste Justine Emard.
Le Radar lance pour la seconde édition un appel à candidature afin qu’un.e nouvel.le artiste qui interviendra pour créer de nouvelles oeuvres.
Une fois l’application AURA installée sur les téléphones et tablettes, l’utilisateur localise les œuvres du parcours à l’aide d’un plan.
Sur place, il « scanne » la façade afin de découvrir l’œuvre imaginée spécialement par l’artiste pour le lieu.
Le parcours et la localisation des points d’intérêt restent inchangés d’une édition à l’autre. Dès lors, toutes les œuvres des artistes sont visibles à travers cette même application.
La résidence et l’exposition
L’artiste sélectionné.e pour la seconde édition bénéficiera d’une résidence de 2 mois.
Ce temps privilégié permettra à l’artiste de mener des recherches, de découvrir le territoire et de rencontrer les habitants et acteurs de la ville.
Un work shop sera également mise en place avec un groupe d’élèves dans un lycée de Bayeux.
En parallèle du projet lié à l’application, une exposition personnelle est également proposée à l’artiste au sein du Radar.
Conditions de la résidence
- La mise en œuvre du projet
- La première étape de résidence est un temps de recherche autour du processus de création de l’artiste mais aussi sur le territoire, ses acteurs à l’échelle de la ville et de la région.
Le Radar facilite les échanges entre l’artiste et les professionnels (chercheurs, services de la ville, associations, etc). Il accompagne l’artiste dans toutes ses démarches pour mener à bien son projet. - Le second temps de résidence est la création des 6 œuvres de l’application. Un dialogue est alors engagé entre l’artiste,
l’équipe du Radar et les développeurs de l’application dans la production du projet pour en trouver les modalités de faisabilité et de réalisation.
Une partie de l’équipe Pristimantis et du Radar en repérage dans la ville de Bayeux pour l’application.
Calendrier
Résidence
Du 17 novembre au 20 décembre 2019 et du 3 au 26 janvier 2020 (Incluant une césure pour les fêtes de fin d’année)
Recherche : En novembre
Production : En décembre (fin décembre livrable des 1ères ébauches d’œuvres)
Intégration des oeuvres dans l’application : Entre le 20 et le 24 janvier
Work shop avec les élèves Du 22 novembre au 10 janvier 2020 (dates et horaires à confirmer avec l’enseignant) Environ 8 séances de 6h soit 48h d’ateliers
Exposition personnel au Radar et lancement du parcours
Montage exposition : du 31 au 3 avril (à confirmer)
Vernissage : le samedi 4 avril à 14h30 au Radar
Exposition : Du 4 avril au 10 mai 2020 - La dernière étape de résidence est l’intégration des 6 œuvres dans l’application avec le concours des développeurs de celle-ci.
Logement et atelier
Situé à proximité du Radar, un atelier de 50m2 et un appartement de 90m2 sont gracieusement mis à disposition de l’artiste.
Un work shop avec des lycéens
Un work shop de 8 séances de 6h sera mis en place avec des élève du lycée Alain Chartier de Bayeux et leur professeur d’Arts Plastiques.
Pour cette nouvelle année, les productions des adolescents seront visibles sur un autre support que l’application Seules les oeuvres de l’artiste seront visibles.
Prise en charge du Radar
Rémunération-honoraires
Montants
Bourse de résidence (recherche et création) : 3 000 euros
Honoraires ateliers avec les élèves 48h - 70 euros/heure : 3 360 euros
Cession de droit d’auteur / diffusion des œuvres de l’application et de l’exposition (œuvres déjà produites) 1 500 euros
TOTAL : 7 860 euros
Défraiement - Prise en charge du Radar
Hébergement (résidence et exposition)
Le transport des œuvres pour l’exposition
Les frais d’exposition comprenant la communication, le gardiennage de l’exposition, l’assurance des œuvres
Frais de déplacements
Résidence-workshop
2 x un aller-retour domicile-Radar (comprenant la césure des fêtes de fin d’année)
1x un aller-retour domicile-Radar pour le montage et vernissage de l’exposition
Compléments d’informations
Site internet du Radar pour voir les façades du parcours : www.le-radar.fr
Critères de sélection
Admissibilité
Résidence ouverte à un.e artiste français.e ou travaillant en France depuis plus de 5 ans, dont le travail artistique est l’activité principale
(régime de la maison des artistes-sécurité sociale ou Agessa), sans limite d’âge et ayant terminé ses études.
Dossiers de candidature
Les candidatures sont à adresser uniquement par e-mail à : contact@le-radar.fr
Date limite de réception des dossiers avant le 10.06.2019
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Aucun dossier reçu ultérieurement ne sera examiné.
La sélection des candidats
Les candidatures doivent comporter 1 seule pièce jointe en format PDF. Poids maximum de l’ensemble : 4 Mo.
Aucun document word ne sera accepté
Ce document comprendra :
1 biographie (curriculum vitae) avec les coordonnées complètes de l’artiste, date de naissance, lieux de vie et de travail actuels.
Une sélection de travaux représentatif du travail de l’artiste (Nombre de page : 5).
Pour les artistes utilisant l’image en mouvement ou le son, merci d’inclure des liens internet sous les visuels.
Une note d’intention qui éclaire sur vos motivations à proposer des œuvres pour AURA.
Quels liens faites-vous entre votre pratique et le support numérique de l’application (Nombre de page : 1 / Environ 1500 caractères).
Le comité de sélection sera constitué des membres du bureau, du conseil d’administration et de l’équipe de l’association.
Le.la candidat.e sélectionné.e sera prévenu.e par email entre le 1er et le 7 juillet 2019.
Les artistes non retenus seront également avertis par mail.
www.le-radar.fr
APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE
Centre SAGAMIE appel de dossiers / Alma, Saguenay-Lac-Saint-Jean / CANADA
Date limite : 17.06.2019
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Le Centre SAGAMIE lance un appel aux artistes en art actuel afin de lui soumettre un projet de recherche/création pour sa programmation 2020 de résidences d’artistes.
Ouverte à l’ensemble des recherches et des pratiques artistiques en art actuel,
ces résidences vous permettent d’initier et de réaliser des projets qui questionnent l’image et d’élaborer des stratégies singulières pour la générer, la transformer et la diffuser.
Modalités
Les artistes sont soutenus par une équipe de techniciennes-artistes, avec expertise et sensibilité, dans un vaste laboratoire numérique comprenant 6 imprimantes grand format
couvrant les principales technologies d’impression sur le marché.
Les artistes reçoivent un cachet et un budget de production.
Un montant leur est également alloué pour leurs déplacements et leur hébergement.
Les résidences sont de courtes durées. Elles sont à la fois intenses en créativité, favorables à l’exploration, et s’adaptent avec souplesse à votre horaire.
Une vaste gamme de supports d’impression est mise à votre disposition afin d’expérimenter pleinement avec l’impression numérique.
Le Centre accueille plus de 40 artistes en résidence par année.
Le présent appel est inclusif aux différentes communautés culturelles, aux Premières Nations, aux différents genres, groupes d’âge et provenances géographiques.
Comment postuler ?
Votre dossier devra comprendre :
La description de votre projet de résidence (1 page)
Votre curriculum vitae (3 pages maximum)
Votre dossier visuel (20 images maximum)
Vos coordonnées (adresse postale, téléphonique et courriel)
Date limite : 17.06.2019
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Pour appliquer faites parvenir votre dossier au Centre SAGAMIE : à coordination@sagamie.com
https://www.sagamie.com/
OFFRE D’EMPLOI
L’âge de la tortue recherche une chargée un chargé de production et de communication / RENNES
Date limite de candidature : 10.06.2019.
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L’âge de la tortue est une structure artistique qui produit et diffuse des œuvres dans le champ des arts visuels et des arts vivants.
Fondée sur une pensée critique de notre société contemporaine et sur une triple démarche contributive, pluridisciplinaire et de coopération,
L’âge de la tortue se donne pour mission d’interroger notre rapport aux représentations politiques et sociétales pour décaler notre regard sur le monde.
Considérant le décloisonnement des regards et le croisement des approches comme un enjeu de société majeur aujourd’hui,
L’âge de la tortue défend une approche transversale de la création artistique en connexion avec des acteurs issus d’horizons diversifiés pour interroger nos représentations sur les migrations,
les transformations urbaines ou encore la place de la femme.
A ce titre, L’âge de la tortue s’inscrit dans une logique de coopération et collabore aussi bien avec des structures artistiques et culturelles,
qu’avec des universités et des laboratoires de recherche en sciences humaines et sociales, des structures sociales, éducatives et des collectivités.
Les processus de travail – pouvant prendre la forme de laboratoires interdisciplinaires et contributifs menés par des artistes sur le temps long – viennent nourrir la production des œuvres. Dans le cadre de ses activités,
L’âge de la tortue peut ainsi produire des créations théâtrales, des expositions ou encore des publications, donnant lieu à l’organisation de résidences d’artistes, de collectes de témoignages, de groupes de réflexion,
de séminaires interdisciplinaires, de rencontres-débats et d’interventions diverses pour partager expériences et bonnes pratiques à partir de ses expérimentations artistiques.
Implantée dans le quartier du Blosne à Rennes, la structure développe ses projets depuis l’échelle micro-locale en articulation avec d’autres territoires en Europe.
Depuis 2009, L’âge de la tortue initie et porte des projets de coopération européenne associant notamment l’Espagne,
le Portugal, le territoire d’outre-mer britannique de Gibraltar, la Pologne et la Roumanie, avec le soutien de la Commission européenne.
Description du poste
Dans le cadre du départ en formation d’un salarié de l’association, L’âge de la tortue recrute un chargé de production et de communication du 26 août 2019 à début juillet 2020.
Sous la responsabilité du Conseil d’Administration et encadré par l’équipe salariée de l’association, il/elle assurera d’une part la mise en œuvre de la stratégie de communication
et d’autre part la production des projets de l’association afin de les mettre en relation avec leur environnement.
Missions principales
Mettre en œuvre la stratégie de communication de l’association :
Elaborer et mettre en œuvre le plan de communication de la structure et des projets et en assurer le suivi
Assurer et développer les relations avec la presse (journaux, revues, web, TV, radios…)
Assurer et développer les relations en direction des réseaux locaux et internationaux
Assurer et développer les relations en direction du grand public (réseaux sociaux, agendas des sites d’information, …)
Réaliser des revues de presse, suivre les indicateurs d’évaluation du plan de communication (nombre et type des documents de communication produits, nombre de visiteurs sur le site…)
Réaliser les outils de communication et les déclinaisons graphiques :
Rédiger les contenus et réaliser les supports de communication imprimés et numériques (flyers, affiches, communiqués, newsletters, sites Internet, blogs, dossiers, livrets, rapports d’activités…)
En assurer une large diffusion
Décliner la charte graphique de la structure et des projets
Suivre la fabrication et l’impression de l’ensemble des éditions de l’association
Mettre à jour les sites Internet (site de l’association et sites dédiés aux différents projets) et gérer la mailing list
Veille technique (communication numérique…)
Production :
Assurer la planification, l’organisation logistique et le bon déroulement des actions (montage d’expositions, projections, spectacles, séminaires, rencontres, tables rondes, ateliers, résidences...)
Participer à l’élaboration et au suivi des budgets de production des projets
Participer à la conception et à la coordination des projets (expositions, projections, spectacles, ateliers, séminaires…), en lien avec les membres de l’équipe
Participer à la stratégie de développement des actions
Fonctionnement quotidien de l’association :
Contribuer au bon fonctionnement quotidien de la structure (courrier, téléphone, fournitures,…) et assister la responsable d’administration dans ses missions, selon les besoins
Profil recherché
- Niveau Licence exigé, Master souhaité, dans le domaine de la communication et/ou de la gestion de projets
- Expérience professionnelle de 3 ans minimum en rapport avec le poste proposé
- Maîtrise de l’anglais
- Maîtrise des techniques et des outils de communication (print, numérique, réseaux sociaux…)
- Compétences rédactionnelles professionnelles (et très bon niveau d’orthographe exigé)
- Maitrise des outils bureautiques et de création graphique (suite Adobe)
- Bonne connaissance de la chaine graphique et suivi d’impression
- Bonne culture graphique
- Des compétences supplémentaires en création graphique seront appréciées
- Capacité à concevoir et suivre des outils de pilotage de projet et de budget
- Très bonne aisance relationnelle
- Très bon sens de l’organisation, capacités à planifier, à prioriser et à tenir un cadre de travail
- Esprit d’analyse et de synthèse, rigueur et précision dans le travail rendu
- Souplesse, capacité d’adaptation, sens des initiatives, appréciant le travail dans une petite équipe
- Disponibilité (possibilité de travail en soirée ou le week-end, ponctuellement)
- Permis B
Lieu de travail : Rennes, quartier du Blosne, 10 bis square de Nimègue + possibles déplacements à l’échelle régionale / nationale / européenne
Conditions : CDD de 10 mois - temps plein 35h hebdomadaires (évolution possible vers un CDI)
Rémunération : selon Convention Collective Nationale des Entreprises Artistiques et Culturelles (TAM - groupe 5)
CANDIDATURE ET RENSEIGNEMENTS :
Date limite de candidature : 10.06.2019.
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Entretiens individuels prévus la semaine du 24 juin 2019 et deuxième entretien pour les candidats sélectionnés la semaine du 1er juillet, à Rennes.
Poste à pouvoir au 26 août 2019 (sous réserve)
Envoi des candidatures (curriculum vitae et lettre de motivation) à l’attention de Madame Laureline Geisen, présidente de l’association, uniquement par mail à : recrutement@agedelatortue.org
Informations complémentaires et renseignements : 06 61 75 76 03
www.agedelatortue.org
LOCATION ATELIER
2 espaces de travai au Château de Verchaüs / VIVIERS
Le Château de Verchaüs, situé à Viviers en Ardèche, est un espace mutualisé de création administré par un collectif formé de plusieurs artistes,
artisans d’art et associations œuvrant de façon complémentaire. Son originalité tient à la pluridisciplinarité des pratiques représentées :
art contemporain, métiers d’art, spectacle vivant, accueil de structures culturelles, etc.
Le Château de Verchaüs est à la recherche d’un nouvel artiste, artisan d’art ou structure culturelle qui souhaiterait les rejoindre.
Le Château de Verchaüs propose un espace de travail, situés dans un environnement calme et lumineux, au milieu d’un grand parc boisé.
2 espaces de travail sont libres immédiatement :
- Un espace situé au 1er étage d’une superficie de 22 m², en échange d’une participation aux frais mensuelle de 132 euros
- Un espace situé au 1er étage d’une superficie de 25.5 m², en échange d’une participation aux frais mensuelle de 153 euros
Cette participation aux frais comprend l’électricité courante*, le chauffage, l’accès à Internet ainsi que le travail de deux employés :
une coordinatrice et un factotum.
Une adhésion annuelle de 80 euros vous sera demandée.
*En cas de consommation électrique spécifique (four de potier, machines, …), un supplément consommation peut être ajouté.
Fonctionnement du collectif
C’est grâce à la participation aux frais versée par chaque membre que le collectif peut fonctionner.
Chaque artiste, artisan d’art ou structure culturelle qui rejoint le Château de Verchaüs devient membre du conseil d’administration et s’investit pour le fonctionnement de l’association.
Il participe aux week-ends chantiers, aide à l’organisation des événements du collectif, prend part aux réunions, etc.
Rejoindre le Collectif du Château de Verchaüs, c’est bénéficier d’un lieu de travail dynamique, propice à l’expérimentation et aux rencontres artistiques.
Le Château de Verchaüs organise également des expositions, un marché de créateurs en Décembre, un showroom l’été.
Grâce aux événements organisés toute l’année, vous pouvez vous faire connaître et aller à la rencontre des publics.
Ils sont passés par le château : Les Ogres de Barback, Smac 07 Cavajazz, cie Mauvais coton, cie Les Colporteurs, Lézards cordés, Juliette Z, cie 100 issues, Electric Bazar Cie, Hippocampe Théâtre,
Les Connexions Associatives, Defakto, Ainsi Fa La Mi, David Courtin, Hight Tone, Pas ce soir, Esther Marlot, Tête à plumes, Les fils de Teuhpu, Fest’Accro….
Pour rejoindre Le Château de Verchaüs, merci de transmettre par mail à : contact@chateaudeverchaus.com - une présentation de votre activité (ex. plaquette, site/blog etc.) ;
- une lettre de motivation ;
- votre statut (ex. associatif, indépendant, etc.).
Contactez : 04 75 50 61 79 : laissez un message avec vos coordonnées.
contact@chateaudeverchaus.com
Accès : situé entre la commune de Viviers et l’usine Lafarge du Teil (07), à 10 min. de Montélimar.
http://chateaudeverchaus.com/