Appels diffusés par la FRAAP > 06/09/2019

  • APPEL À PROJET ARTISTIQUE : 1 # PARIS -
  • APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE : 2 # MASSY - CERGY-PONTOISE-VEXIN -
  • LOCATION ATELIER : 3 # AUBERVILLIERS - ROMAINVILLE - MALICORNE-SUR-SARTHE -

APPEL À PROJET ARTISTIQUE

art exprim 2020 : festival Arts en Espace Public édition 2020 / PARIS
DATE LIMITE : 22.09.2019
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http://www.art-exprim.com/wp-content/uploads/Appel-a-projets-festival-Arts-en-Espace-Public-edition-2020-art-exprim.pdf
Le budget est compris entre 1 500 euros et 3 000 euros par artiste ou un collectif d’artistes pour un cycle d’interventions artistiques.
Le projet de création d’une œuvre dans l’espace public doit tenir compte des caractéristiques des territoires (environnement,
espace public, squares, jardins, immeubles) et/ou des publics et de l’histoire de ces territoires.
Ces territoires sont énumérés dans le tableau page 8. : http://www.art-exprim.com/wp-content/uploads/Appel-a-projets-festival-Arts-en-Espace-Public-edition-2020-art-exprim.pdf
Le projet doit défendre une démarche forte en lien avec l’espace public et les publics de ces territoires.
Le projet doit s’insérer dans une démarche de création contemporaine autour des arts visuels (installation, land art, performance, street art, vidéo, fresque, sculpture, peinture, dessin...).
Une approche trans disciplinaire est encouragée, les arts visuels étant la discipline prépondérante de l’action artistique.
pièces à fourni
curriculum vitae avec coordonnées à jour :
adresse postale, numéro de téléphone et adresse mail
book artistique ou portfolio
numéro Maison des Artistes ou Agessa actualisé
lettre d’intention : préciser les motivations et la démarche artistique concernant les quartiers et les habitants
pré-projet (maximum une page) sous l’intitulé « P_nom_du_projet_2020.pdf » : détailler la démarche, le déroulé de l’intervention générale et les besoins logistiques
budget prévisionnel détaillé
Toutes les pièces sont à fournir au format PDF.
Les dossiers de candidature sont à transmettre impérativement sous l’intitulé « AAPAEP2020 ».
Tout dossier incomplet ne sera pas étudié.
Les dossiers de candidatures sont à envoyer par courriel à : mediation@art-exprim.com
date limite d’envoi
Les dossiers de candidature sont à envoyer avant le 22.09.2019.
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L’examen des projets se fera mi-septembre 2019.
Les entretiens de présentation des projets se dérouleront début octobre 2019.
Pour voir les projets réalisés pendant l’édition 2019 : bit.ly/arts-en-espace-public
Pour voir la vidéo réalisée pour l’édition 2018 : bit.ly/videofestivalaep2018
Pour toutes informations complémentaires contactez art-exprim au 01 42 62 18 08 ou par courriel à mediation@art-exprim.com.
en charge du festival Arts en Espace Public Madame Frances Brown frances.brown@art-exprim.com assistée de Madame Cécile Manuel mediation@art-exprim.com
DATE LIMITE : 22.09.2019
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http://www.art-exprim.com/wp-content/uploads/Appel-a-projets-festival-Arts-en-Espace-Public-edition-2020-art-exprim.pdf
01 42 62 18 08 http://www.art-exprim.com/


APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE

Résidence-mission 2019 2020 / MASSY
dans le cadre du Contrat local d’éducation artistique (CLEA) de la ville de Massy
THÉMATIQUES COMMUNES AUX DEUX RÉSIDENCES MISSION DU CLEA : LA FRAGILITE, LE RISQUE
COMMENT LES ARTS DE L’ESPACE PEUVENT-ILS QUESTIONNER LES NOTIONS DE FRAGILITE ET DE RISQUE ?
L’ensemble du dossier est à adresser pour le 14.09.2019 au plus tard, 18h délai de rigueur
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Qu’est-ce qu’être fragile, ou le difficile projet de saisir la fragilité qui est par définition insaisissable, qui est ce qui se brise... ?
Prendre la mesure de la réalité concrète de la production d’une œuvre c’est mesurer les effets sensibles produits par ses composantes matérielles autant qu’immatérielles.
En art, un objet ou une image se construit à l’appui de matériaux variés, leur qualité physique éprouve les effets du geste à travers divers outils afin de donner à voir l’idée.
C’est donc en abordant les notions de fragilité et de risque par une entrée "matériau" que nous souhaitons élargir la palette des sensations relatives à la démarche artistique des plasticiens contemporains.
Quel que soit le médium, nous cherchons à construire avec le public partenaire les conditions d’une pratique renouvelée significative des conceptions et des questions relatives à la matérialité, l’équilibre et le sens.
Commanditaires : Ville de Massy – Direction des affaires culturelles Candidats : Artistes professionnels plasticiens, designers, architectes, paysagistes, scénographes...
Cadre de la résidence-mission
La ville de Massy en partenariat avec la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France et l’académie de Versailles a souhaité s’engager dans la mise en œuvre d’un second Contrat local d’éducation artistique (CLÉA).
Elle s’appuie pour cela sur la collaboration des structures culturelles du territoire.
Cette dynamique s’inscrit dans un appel à candidatures pour 2 résidences-mission d’artistes s’inscrivant dans les domaines des arts visuels (dessin et arts de l’espace)
pour la saison 2019/2020, agrémentées d’un parcours artistique et culturel pour les participants et plus largement la population massicoise.
Dans ce cadre, cet appel à candidature concerne en effet une des deux résidences-mission d’artistes s’inscrivant dans le champ artistique des arts de l’espace et qui est appelée à être mise en œuvre à partir d’octobre 2019.
La résidence est intégrée aux projets artistiques et culturels développés par la Direction des Affaires Culturelles des villes de Massy, pilote de cette résidence mission.
Nous recherchons des projets traitant du volume, pouvant éventuellement donner lieu à une extension de la résidence-mission par une création dans l’espace public.
La ville de Massy est très engagée pour faire progresser la sensibilisation aux arts de l’espace auprès de tous les publics, notamment en milieu scolaire, au côté de nombreux acteurs de terrain :
artistes, responsables et équipes des structures culturelles, inspecteur et conseillers pédagogiques de l’Éducation nationale,
chefs d’établissements scolaires, enseignants, direction de l’éducation, Société Paris Sud Aménagement, centres de loisirs etc.
Ces nombreux partenaires réunis représentent des leviers d’action considérables qu’il convient de coordonner et d’harmoniser localement afin de réussir la mise en place d’une démarche d’éducation artistique à l’échelle de la ville.
La ville souhaite créer des projets artistiques et culturels pour et avec les habitants sur un ou plusieurs de ses quartiers et les accompagner
pour qu’ils se saisissent des enjeux sociétaux sans cesse questionnés par l’art et les artistes et de l’opportunité d’émancipation que cela représente.
La résidence mission aura donc pour objet et pour site de réalisation un ou plusieurs quartiers de la ville de Massy.
Définition de la résidence-mission
La résidence-mission est organisée à des fins d’éducation artistique et culturelle en faveur d’un public d’enfants, de jeunes voire d’adultes.
Elle repose sur une pleine disponibilité de l’artiste ou du collectif d’artistes, durant quatre mois, ainsi que sur une diffusion des œuvres déjà accomplies et disponibles.
La résidence-mission ne se confond nullement avec une résidence de création puisqu’il n’y a ni enjeu de production propre à l’artiste ni commande d’œuvre.
Pour autant, le projet n’exclut évidemment pas la possibilité de production d’œuvres dans le cadre de la démarche spécifique proposée par le CLÉA avec les publics des structures partenaires du projet.
Pour l’artiste résident, il s’agit de s’engager dans une démarche éducative donnant à voir et à comprendre la recherche artistique
qui l’anime ainsi que les processus de création qu’il met en œuvre (réflexion, expérimentations, réalisation).
Cette mise en évidence s’appuie sur :
Des formes d’intervention ou d’actions très variées ;
Des parcours de spectateurs construits sur la base de proposition de l’artiste en lien avec les structures de diffusion du territoire ;
La production d’une trace pouvant être conservée par les acteurs du CLÉA au-delà des limites de l’action ;
Des actions de formation à destination des professionnels du territoire.
Ces actions sont à considérer comme autant de gestes artistiques, préparés en amont avec diverses équipes issues des services municipaux de l’éducation, de la jeunesse, des espaces de proximité, des associations de quartiers,
des établissements scolaires tous degrés confondus, intervenant sur le territoire et désireuses de s’inscrire dans ce projet. Elles sont aussi préparées avec les équipes des structures culturelles concernées par le CLÉA.
Ces actions ont pour objectif de permettre à un grand nombre d’enfants, de jeunes et d’adultes d’explorer la mutation des paysages urbains et la transformation de leurs villes,
de leurs quartiers, les enjeux qui y sont liés et qui les concernent directement.
Ces actions peuvent avoir lieu au sein des établissements scolaires, des centres sociaux et culturels, des centres de loisirs, des structures culturelles,
ainsi que dans l’espace public ou tout autre site qui paraîtra approprié à l’artiste résident et à ses partenaires locaux.
L’artiste prendra appui sur la thématique pour définir les objectifs opérationnels de son projet et leurs modalités d’évaluation.
Parcours artistique et culturel
L’artiste ou collectif d’artiste retenu aidera les DAC du territoire à élaborer un parcours artistique et culturel autour de la thématique de la résidence mission à destination des différents publics du territoire.
Ce parcours comprendra des sorties culturelles dans des lieux dédiés à la thématique de la résidence- mission, des rencontres avec d’autres artistes, des conférences, des ateliers etc.
qui pourront être menés par d’autres artistes ou professionnels.
Il pourra proposer un choix d’œuvres appartenant à sa production ou à celui d’autres artistes de son champ dont il considère qu’elles participent à son projet de résidence-mission.
Les partenaires s’engageront à en diffuser au minimum une durant la saison 2019/2020 et le coût TTC de ses propositions sera à définir avec la ville d’accueil.
Enjeux et objectifs
Le contrat local d’éducation artistique est à considérer comme une démarche de politique culturelle dont les résultats doivent irriguer les démarches actives des populations du territoire. Il doit laisser des traces,
dans la durée, installer des processus d’intelligence collective qui feront sens pour chaque partenaire impliqué.
Les objectifs à la mise en place du CLÉA sont :
Permettre au public visé de percevoir les enjeux de questions de société à travers une expérience artistique et culturelle ; développer l’esprit critique par le biais de la discussion,
l’analyse des ressentis, la perception des relations entre les membres d’un ensemble
Permettre au plus grand nombre d’appréhender la découverte des processus de création
Mettre en place un projet d’éducation artistique et culturelle permettant aux publics visés d’appréhender l’acte artistique et comment il s’insère dans une réflexion plus globale sur la ville
Permettre au plus grand nombre d’acquérir une expérience originale à travers la pratique artistique et de découverte des processus de création de l’artiste tout en explorant la transformation de leur ville,
de leurs quartiers, les enjeux qui y sont liés et qui les concernent directement
Faire évoluer, par la création, l’image des lieux et renouveler ainsi leur attractivité
Aboutir à la production d’une trace significative liée au geste artistique ;
Mettre en évidence pour les publics l’existence d’un maillage de lieux ressources dans leur environnement proche notamment par la construction de parcours du spectateur ;
Contribuer dans le cadre de ses moyens au développement culturel et artistique du territoire local ; Tendre à réduire ainsi les inégalités en matière d’accès à l’art et à la culture et contribuer au développement culturel et artistique du territoire.
Contribuer au Parcours d’Education Artistique et Culturelle de l’élève ;
Impulser des projets inter-école et inter-établissement.
Déroulement
Au cours du premier mois de résidence, l’artiste résident rencontre les différentes équipes qui le souhaitent. Il peut s’agir aussi de professionnels de l’action sociale, de la politique de la ville, de la culture, de l’enfance et de la jeunesse.
Ceci afin de permettre à ces équipes d’appréhender au mieux la démarche artistique de l’artiste et de partager avec lui leurs réalités et leurs projets, de construire les actions à mettre en place et de bâtir les parcours de spectateurs.
Ces rencontres peuvent revêtir des formes extrêmement variées afin d’éviter tout caractère répétitif.
Elles peuvent également être collectives, en réunissant différents types de professionnels (animateurs de centres de loisirs, responsables d’associations d’un même quartier, par exemple).
Ces professionnels sont également invités à évoquer avec l’artiste la manière dont ils aimeraient faire percevoir sa présence, ainsi que celle de son œuvre, au public qu’ils fédèrent.
Un temps de formation et d’expérience est proposé aux référents et aux équipes pédagogiques dans le cadre du « Plan De Formation » de l’Académie de Versailles.
Cette journée, ateliers expériences encadrés par les artistes, est à destination des adultes référents des groupes et des équipes pédagogiques
pour leur faire vivre le projet comme les publics ciblés et ainsi renforcer leur rôle de médiateur auprès de leurs publics respectifs. Sa date n’est pas encore décidée, ce sera courant janvier et la présence de l’artiste est obligatoire.
Au cours des trois mois suivants Se déroulent les actions prévues. Il s’agit de projets artistiques qui s’inscrivent dans le projet des structures impliquées et qui chercheront à le questionner, l’interroger, voir le nourrir.
Il s’agit de ces gestes artistiques évoqués précédemment et qui se conçoivent le plus souvent possible en prenant la structure d’éducation, de loisirs ou à vocation sociale pour unité de référence.
Cette présence professionnelle est également conçue en tenant particulièrement compte des contextes d’exercice des différents professionnels concernés, de leurs différents degrés d’implication possible ainsi que des participants volontaires.
Tout au long de ces quatre mois, l’œuvre existante de l’artiste et disponible à la diffusion est largement présentée sur le territoire.
Les modes de médiation de ces productions sont aussi variés et renouvelés que possible, ils tendent également à l’innovation.
Avec les équipes de la ville, sera poursuivi l’objectif d’une collaboration et d’une mutualisation des réflexions et des actions au service de la rencontre entre objectifs artistiques et éducatifs.
Pilotage de la résidence-mission
Dans le cadre de ce CLÉA, la direction des affaires culturelles de Massy est désignée pilote de la résidence- mission.
Elle a pour mission de guider l’artiste résident dans sa découverte du territoire, de veiller aux bonnes conditions de son séjour et de son travail, d’organiser les répétitions et la diffusion de ses œuvres, de faciliter les rencontres avec les groupes de professionnels
(1ère phase de la résidence-mission) et d’aider à la réalisation des actions (2ème phase de la résidence-mission).
Elle souhaite, pour ce faire, associer à toutes les étapes du déroulement de la résidence-mission les structures associatives et culturelles de son territoire et mettra en place pour cela un comité de pilotage.
Le Comité de pilotage du CLÉA : il est constitué des représentants ou délégués des signataires du contrat, de la DAC du territoire et des représentants des partenaires
Il valide les orientations générales du contrat et les actions prioritaires à mettre en œuvre chaque année et prend acte de son évaluation.
Il se réunit une fois au lancement de la résidence-mission pour choix des attributaires des résidences missions parmi une sélection du comité opérationnel,
une fois pour validation du projet d’action et une fois à son terme pour son évaluation.
La DAC Massy en assure le secrétariat général.
Période et durée de la résidence
La période de résidence est prévue pour une durée de 4 mois se répartissant comme suit :

  • un mois d’appropriation du territoire, heures réparties entre mi-octobre 2019 et mi-janvier 2020
  • une journée de formation des référents des groupes et des équipes pédagogiques, janvier ou février 2020
  • trois mois pour la seconde phase de résidence, interventions pouvant s’étaler de février à mai 2020
  • une ou plusieurs restitutions des actions sont envisagées courant mai - juin 2020
    Conditions financières et moyens mis à disposition
    L’artiste sélectionné bénéficie d’une allocation de résidence de la Drac d’un montant de 12.000 euros (allocation calculée sur la base de 3.000 euros par mois, charges sociales comprises).
    La ville apportera son concours à l’allocation de résidence à hauteur de 12.000 euros (mise à disposition de salles, de matériel, de personnel, diffusion de l’œuvre existante et disponible de l’artiste...).
    L’artiste retenu doit être autonome dans ses déplacements et disposer, de préférence, d’un véhicule personnel, ses frais de déplacement sur le territoire étant pris en charge (transports en commun et/ou carburant).
    En revanche, les frais de déplacement de son lieu d’habitat personnel au territoire de mission restent à sa charge. Il pourra bénéficier de la cantine municipale pour sa restauration.
    Le règlement de cette allocation se fera en 2 versements :
    50 % au démarrage de l’opération à la signature de la convention avec la ville de Massy ;
    50 % à l’issue de l’opération, sur attestation de service fait signée par la ville de Massy sur avis du Comité de pilotage.
    Cadre juridique : Un contrat de résidence spécifiant les engagements respectifs des structures culturelles et de l’artiste accueilli sera signé avant le début de la résidence.
    Candidature : Peut faire acte de candidature tout artiste professionnel résidant en France.
    L’artiste candidat doit avoir à son actif une production artistique conséquente, une expérience significative dans le domaine de la pédagogie et/ou de la médiation,
    et être en mesure de s’impliquer pleinement dans ce type particulier d’action que représente la résidence-mission.
    Il doit en effet être en capacité de s’engager dans la durée pour 4 mois sur la résidence-mission (pas nécessairement en continu).
    L’artiste doit maîtriser l’usage oral de la langue française.
    Les éléments à fournir sont : une note d’intention présentant les orientations du projet proposé. Elle prendra appui sur la thématique pour décliner des objectifs opérationnels.
    un curriculum vitae faisant état notamment des expériences pédagogiques ;
    un dossier de présentation de la démarche de l’artiste candidat et de sa production existante, ainsi que le calendrier de diffusion de ses œuvres.
    L’ensemble du dossier est à adresser pour le 14.09.2019 au plus tard, 18h délai de rigueur
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    par envoi électronique aux adresses : k.pommelet@mairie-massy.fr h.legoff@mairie-massy.fr p.kechrid@mairie-massy.fr p.ollier@mairie-massy.fr
    Le dossier artistique est à proposer sous format informatique. Tout dossier incomplet ou hors délai ne pourra être retenu. Les éléments transmis par les candidats non retenus seront restitués sur simple demande.
    Dans le cas où l’artiste souhaite enrichir cet envoi de supports physiques, il le précise dans son envoi électronique et adresse ces pièces par voie postale à :
    Direction des affaires culturelles-Projet CLÉA 18 rue Gabriel Péri 91300 Massy
    Les éléments transmis par les candidats non retenus seront restitués sur simple demande.
    Les différentes candidatures reçues seront examinées par un comité de sélection réunissant des représentants de la ville de Massy notamment la DAC et de la DRAC Ile-de-France.
    Trois candidats maximum par résidence missions seront sélectionnés. Ils seront ensuite reçus par le comité de pilotage le 4 octobre 2019 entre 9h et 19h.
    Il est donc impératif que l’artiste soit disponible à cette date (un candidat non disponible ne pourra être sélectionné).
    Le résultat de la sélection est communiqué par courrier au plus tard le 8 octobre 2019.
    Les différentes candidatures reçues seront examinées suivant les modalités qui leur paraîtront appropriées
    Pour plus d’informations : Pour la ville de Massy : Madame Hélène LE GOFF 01.69.75.42.63 et Madame Karine POMMELET 01 .69.75.42.76
    Pour toutes les ANNEXES contactez : Madame Hélène LE GOFF 01.69.75.42.63 et Madame Karine POMMELET 01 .69.75.42.76
    ANNEXE : Composition du comité de pilotage
    Le comité de pilotage : Un Comité de pilotage est constitué de représentants des signataires du contrat et des partenaires susceptibles de mobiliser des acteurs :
    Pour l’Etat : - Le directeur de la DRAC d’Ile-de-France ou son représentant ;
  • La déléguée académique à l’éducation artistique et à l’action culturelle, conseillère technique du recteur ou son représentant ;
  • Le directeur des services départementaux de l’Education nationale ou son représentant.
    Pour la ville de Massy
  • le maire ou les élus délégués représentant la collectivité dans le cadre du CLEA ;
  • le directeur de l’action culturelle et/ou son adjoint
  • le responsable du développement des arts visuels
  • le directeur de l’éducation ou un représentant
  • le directeur de la jeunesse et de la cohésion sociale ou un représentant
    Pour les partenaires : - Le directeur de l’urbanisme ou un représentant
  • Le directeur de la société Paris-Sud Aménagement ou un représentant
  • La DAC en assure le secrétariat général.

APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE

Le Conseil départemental du Val d’Oise et le Parc naturel régional du Vexin proposent un appel à candidatures pour deux résidences-mission sur le territoire / CERGY-PONTOISE-VEXIN
du Parc naturel régional du Vexin français au travers de deux thématiques :

  • thème n°1 : le paysage vu et vécu par les habitants de l’agglomération de Cergy-Pontoise et les habitants des villages du Vexin, en lien avec une structure culturelle
  • thème n°2 : les paysages du Vexin et leur évolution à l’horizon 2037.
    Candidatez avant le lundi 7.10.2019 18h (un accusé réception sera retourné avant le 11 octobre 2019), en précisant le thème de la résidence choisi,
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    Le principe est de recruter deux collectifs différents qui proposeront des approches artistiques différentes et complémentaires.
    Il est recherché un ou des artistes associés à des partenaires (sociologue, ethnologue, anthropologue, chercheur, paysagiste, géographe, urbaniste...).
    Ce collectif pluridisciplinaire sera créé pour l’occasion ou bénéficiera d’une ancienneté d’exercice.
    La Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France est à l’initiative de cette démarche et la soutient.
    En effet, via son Service du développement et de l’action territoriale, elle propose au territoire francilien, notamment les territoires ruraux et péri-urbains,
    d’accueillir des artistes en résidence dans le cadre de "résidence mission ».
    Ces résidences ne sont pas des résidences de création ou de diffusion mais des résidences de co-construction
    entre le collectif artistique et des groupes de participants avec lesquels il met en place une démarche de co-création artistique
    par le biais d’un dialogue, avec pour cadres les particularités et les usages environnementaux locaux.
    La résidence- mission donne à percevoir et à comprendre la recherche et la pratique artistique du collectif (réflexion, expérimentations, réalisation) et vise l’engagement des participants
    dans le projet à partir de son imaginaire et sa démarche qui doit donc être affirmée.
    Pour le collectif, le projet nécessite de « faire avec » : faire avec le contexte, faire avec les participants, faire avec les différents acteurs et partenaires du territoire.
    La résidence-mission doit produire sa propre trace compréhensible et appréhendable par tous.
    Depuis 2012, le Département du Val d’Oise, en partenariat étroit avec la DRAC IDF, prend appui sur ce dispositif de résidence mission pour contribuer à la structuration artistique et culturelle de son territoire.
    Il s’engage ainsi aux côtés de l’Etat dans le soutien de cette démarche.
    L’Académie de Versailles est aussi partenaire et favorise l’inscription du projet au sein des établissements scolaires.
    Le territoire du Parc naturel régional du Vexin
    Qu’est-ce qu’un Parc naturel régional ?
    Un Parc naturel régional est un territoire à dominante rurale dont les paysages, les milieux naturels et le patrimoine culturel sont de grande qualité, mais dont l’équilibre est fragile.
    Il s’organise autour d’un projet de territoire concerté fondé sur la protection et la valorisation de ses patrimoines naturel, paysager et culturel.
    Les Communes, les Départements, et la Région adhérents au Syndicat mixte du Parc participent à la rédaction d’une Charte qui présente les grandes orientations du projet de territoire.
    Cette Charte prévoit les moyens de protéger et de valoriser la flore, la faune, les paysages, les bâtis anciens…
    Elle prévoit aussi d’orienter le territoire dans une dynamique de développement durable, avec une gestion économe des ressources au regard des grands enjeux de transition écologique et énergétique.
    Elle décrit les mesures permettant de parvenir à un équilibre entre l’environnement et la vie quotidienne.
    Pour y parvenir, les Parcs fédèrent les différents acteurs du territoire, dans un objectif d’échange, d’innovation et d’expérimentation.
    Pour en savoir plus : http://www.pnr-vexin-francais.fr/
    http://www.parcs-naturels-regionaux.fr/centre-de-ressources/document/argumentaire-questions- reponses-sur-les-pnr
    Carte d’identité du territoire - le Parc naturel régional du Vexin français. Reconnu pour la qualité de son patrimoine naturel et architectural, le Vexin français est classé "Parc naturel régional" depuis 1995.
    Au nord-ouest de l’Ile-de-France, le Parc naturel régional du Vexin français s’étend sur 98 communes du Val d’Oise et des Yvelines et 71 000 hectares.
    Le classement du Parc repose autant sur la qualité des paysages et des milieux naturels que sur la grande homogénéité et la qualité architecturale des villages.
    Entité naturelle de caractère, le Vexin français offre des paysages et milieux étonnants (coteaux calcaires, marais, bois...) en Ile-de-France.
    Ce vaste plateau calcaire, dominant de 100 m environ les régions environnantes est délimité par la Seine au sud, l’Oise à l’est, l’Epte à l’Ouest et la Troësne et l’Esches au nord.
    Le plateau est entaillé de vallées aux profils contrastés, tantôt longues, étroites et jalonnées de vallons (Viosne, Sausseron) ou qui s’épanouissent en véritables plaines alluviales (Aubette de Magny).
    Les paysages du Vexin français sont fortement marqués par une activité agricole où dominent les grandes cultures (blé, orge, colza).
    Surplombant le plateau, les buttes d’Arthies, de Rosne et de Marines dressent leur silhouette boisée et ont conservé leur chapeau de sable et de meulière.
    L’intérêt patrimonial du Vexin français réside à la fois dans la diversité des habitats naturels qui y sont représentés, la présence de sites écologiques reconnus au niveau européen,
    national et régional et la présence d’espèces animales et végétales protégées et/ou en limite d’aire de répartition.
    La spécificité du Vexin français réside aussi dans son patrimoine architectural et bâti. Différents styles d’architecture se côtoient et témoignent d’une occupation ancienne et des différentes époques de construction.
    En contrepoint à l’architecture remarquable des châteaux, églises et grands domaines agricoles, on note la simplicité du patrimoine rural du Vexin français (croix, moulins, fontaines, pigeonniers, lavoirs...).
    Aujourd’hui, la quasi-totalité des villages possède un ou plusieurs monuments protégés au titre des Monuments Historiques.
    Le Parc naturel régional du Vexin français s’attache à sauvegarder et à valoriser ce patrimoine, ainsi que les savoir-faire qui l’ont façonné.
    En 2014, le Vexin français est devenu le premier Parc naturel régional labellisé "Pays d’art et d’histoire" par le Ministère de la Culture.
    Le Parc est un outil de gestion et d’aménagement au service d’un territoire et de ses habitants.
    Il met en œuvre un projet de développement harmonieux et équilibré, basé sur la préservation de ses patrimoines naturels, culturels et bâtis.
    En bref : Date de création : 9 mai 1995
    2014 : Premier PNR labellisé Pays d’art et d’histoire par le Ministère de la Culture et de la Communication
    98 communes : 78 dans le Val d’Oise 20 dans les Yvelines 100 774 habitants 71 062 hectares
    1 Communauté d’agglomération (Cergy Pontoise) 1 Communauté urbaine (GPS&O)
    5 Communautés de communes (CC Vexin Centre, CC Sausseron Impressionistes, CC Vexin Val de Seine, CC de la Vallée de L’Oise et des Trois Forêts, CC du Haut Val d’Oise)
    3 Villes-portes (Issou, Limay, Meulan)
    Les cadres de la résidence mission
    Une démarche partenariale
    Ce territoire de plus de 100 000 habitants bénéficie de structures artistiques et culturelles assez disséminées sur son territoire ou en ses frontières (Cergy-Pontoise et GPS&O).
    La Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France, le Conseil départemental du Val d’Oise et le Parc naturel régional du Vexin souhaitent s’associer
    dans une démarche progressive de mise en synergie des projets artistiques et culturels proposés, au bénéfice des habitants du Vexin.
    Après une première expérience en 2018-2019, l’objectif est ainsi de reconduire une présence artistique sur le territoire du Vexin pour 2019-2020
    dans une démarche d’expérimentation visant la contribution progressive des différents acteurs concernés :
    habitants, acteurs artistiques et culturels, associations, collectivités et institutions.
    Elle a pour objectifs de :
  • Faciliter l’accès de toute personne, aux œuvres et aux ressources artistiques et culturelles de son territoire, pour qu’elle puisse se les approprier et, si elle en a le désir, s’inscrire dans des pratiques artistiques.
  • Créer une dynamique collective et durable en faveur d’une éducation artistique et culturelle partagée par le plus grand nombre en consolidant un projet commun de développement au service de la population.
    En ce sens, renforcer les propositions d’artistes spécifiquement invités en résidence.
    Le contexte
    Le Vexin français dispose d’un capital inestimable : ses paysages, qui au-delà d’une apparente unité, se révèlent d’une grande diversité et d’un intérêt exceptionnel en Ile-de-France.
    Les chartes paysagères réalisées à l’échelle communale ont été un des leviers d’intervention sur l’aménagement du territoire mis en œuvre par le Parc depuis sa création.
    Pour donner suite à cette politique, le Parc développe une approche d’animation et de sensibilisation à l’échelle des grandes entités paysagères du territoire, s’appuyant notamment
    sur la mise en place d’un observatoire des paysages à l’échelle du territoire, avec un volet observatoire photographique des paysages.
    Le Parc s’inscrit ainsi dans l’application de la Convention européenne du paysage et le droit à participation des citoyens et des élus en matière de paysage.
    Rappelons en effet l’importance du point de vue des populations dans la définition du paysage de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le 1er juillet 2006 :
    « Paysage : partie de territoire telle que perçue par les populations, dont le caractère résulte de l’action de facteurs naturels et/ou humains et de leurs interrelations. »
    L’observatoire des paysages est un outil :
  • de connaissance et de compréhension des paysages et de leurs évolutions ;
  • d’aide à la décision et à l’action en matière de politique du paysage ;
  • de sensibilisation et de médiation pour une participation citoyenne soutenue.
    L’objectif du Parc est de démultiplier les projets de l’observatoire des paysages en sensibilisant les acteurs du territoire à l’évolution des paysages, aux questions d’habiter
    un territoire dans les différentes temporalités (hier, aujourd’hui, demain).
    L’idée est de privilégier le mode participatif avec les communes et les publics afin de créer les conditions pour que les habitants s’approprient leur territoire, leur espace du quotidien et réinterrogent les paysages,
    dans lesquels ils vivent tous les jours sans être forcément conscients de leurs caractéristiques, de leurs points forts et de leurs fragilités et de leurs propres capacités à interagir avec eux.
    Une étude vient d’être lancée auprès d’un bureau d’études, une équipe d’urbaniste et de paysagistes, en collaboration avec le Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement du Val-d’Oise (CAUE95),
    qui sera finalisée en décembre 2019. Cette étude, à partir de l’Atlas du paysage du Val d’Oise réalisé en 2010 et des chartes paysagères communales réalisées par le Parc sur 20 ans,
    a pour objectif de mettre en lumière les dynamiques d’évolution et les processus à l’œuvre dans le Vexin, d’identifier les enjeux et, par le biais d’une mise en récit et de rendus graphiques,
    d’engager ensuite un dialogue territorial sur les prospectives du futur projet de territoire à l’horizon 2037. (voir note méthodologique et calendrier de l’étude en annexe)
    Les projets de résidences-mission s’inscrivent dans ce processus. Il s’agira pour les équipes artistiques de pouvoir nourrir leur réflexion, de bénéficier d’éléments d’apport
    et de participer par leur démarche à une appropriation par la population des enjeux choisis.
    Pour ce faire, un temps d’échange est prévu mardi 10 décembre entre les collectifs artistiques, le bureau d’études et l’équipe du Parc avant la restitution de l’étude début décembre 2019.
    Par ailleurs, dans le cadre de l’Observatoire du territoire du Vexin français, une étude sur des indicateurs qualitatifs de « bien-être »
    dans le Vexin a été menée par l’Université de Cergy-Pontoise en 2017 et les collectifs d’artistes pourront également s’y référer et bénéficier de cette matière sociologique dans une approche sociétale,
    sur les modes de vie, les façons d’habiter le Vexin et les liens avec l’agglomération. (pour en savoir plus http://www.pnr-vexin-francais.fr/fr/le-parc/actualites/en-cours/bdd/actu/174)
    Ces « matériaux » seront ainsi à disposition des collectifs en résidence, libre à eux ensuite de s’en saisir comme ils le souhaitent.
    Les thématiques
    - Résidence-mission n°1 : le paysage vu et vécu par les habitants de l’agglomération de Cergy-Pontoise et par les habitants des villages du Vexin, en lien avec une structure culturelle,
    - Résidence-mission n°2 : les paysages du Vexin et leurs évolutions à l’horizon 2037. Quelques pistes pouvant nourrir la réflexion, le questionnement
    « Que pouvons-nous attendre d’un paysage ? Pour l’habitant, c’est un milieu auquel il ne peut pas échapper, qui chaque matin l’encourage à vivre et chaque soir à rêver. » Pierre Sansot
    Cherchant à comprendre ce que signifie habiter un territoire, le paysagiste Gilles Clément pose avant tout la question : sait-on seulement où l’on est ? "La connaissance est au-dessous de tout.
    Quand on a compris à peu près où on est, on peut agit comme on l’entend".
    Et pour lui, la notion de paysage est particulière. "Le paysage, essentiellement, c’est une donnée subjective.
    Le paysage est perçu par chacun de nous d’une façon différente en fonction de notre propre culture, de notre individualité, de la façon dont nous ressentons profondément et tout à fait isolément,
    ce que nous voyons, ce qui est autour de nous, ce qui nous alerte et nous imprime.
    Le paysage est ce qui reste après qu’on a fermé les yeux. C’est ce qui a imprimé notre mémoire, ce que nous avons ressenti, ce qui a alerté notre subjectivité. C’est une définition difficile."
    Extrait d’un entretien publié dans la revue "Papiers", revue de France Culture, n°25 : Où vivons-nous ? Des paysages et des pays. Juillet-Septembre 2018.
    Le paysage de demain
    Comment protéger durablement les paysages, les faire évoluer dans la modernité, les construire, trouver le juste équilibre entre une conservation nécessaire et une évolution réelle ?
    Comment orienter le devenir des paysages, leur donner du sens ? Pourrons-nous choisir ou devrons-nous subir le paysage de demain face à des grandes transformations (climatiques, sociales, environnementales...) ?
    Comment le paysage parle-t-il de notre futur ? Quel pouvoir d’agir sur ses évolutions
    Ressources documentaires : Revue "Papiers", revue de France Culture, n°25 : Où vivons-nous ? Des paysages et des pays. Juillet- Septembre 2018.
    Les Carnets du Paysage N 33 – 30 mai 2018 : Paysages en commun http://mesologiques.fr/
    Etude des milieux : Textes d’Augustin Berque http://www.paysages-apres-petrole.org/
    Les objectifs poursuivis et les participants
    Résidence mission 1
    Développement du thème : le paysage vu et vécu par les habitants de l’agglomération et les habitants des villages du Vexin
    Le projet artistique co-construit avec les habitants s’attachera à exprimer les représentations et les usages vis-à-vis du paysage de chaque territoire et les liens et rapports que ces visions entretiennent entre elles ;
    à engager un dialogue entre les habitants des deux territoires (« urbain », « périurbain », « rural ») et les rapports qu’ils entretiennent avec le territoire et les uns avec les autres.
    Il abordera le paysage comme territoire de rencontre, de dialogue, d’agir ou au contraire de frontières (géographique, sociologique, culturelle).
    Résidence mission 2
    Développement du thème : les paysages du Vexin et leur évolution à l’horizon 2035
    Cette résidence s’attachera à engager avec les habitants une réflexion et un dialogue sur leur cadre et mode de vie, leur façon d’habiter le territoire.
    Le projet artistique co-construit avec les habitants investiguera leurs représentations et leurs projections sur le devenir du territoire, leur degré d’attachement au paysage,
    quelle valeur ils lui donnent, rendra visible leurs aspirations /craintes par rapport à l’évolution future à l’horizon 2035.
    Les questions pourraient être : pourrons-nous choisir ou devrons-nous subir le paysage de demain ? Comment le paysage parle-t-il de notre futur ?
    Quel pouvoir d’agir sur ses évolutions ? Comment orienter le devenir des paysages, leur donner du sens ?
    Comment protéger durablement les paysages, les faire évoluer dans la modernité, les construire, trouver le juste équilibre entre une conservation nécessaire et une évolution réelle ?
    Deux collectifs artistiques : Un ou des artistes avec des partenaires (sociologue, ethnologue, anthropologue, chercheur, paysagiste, géographe, urbaniste...),
    un collectif pluridisciplinaire – créé pour l’occasion ou ayant une expérience - en capacité de proposer une approche multiple/polymorphe
    et dont les modes d’intervention peuvent s’adapter à la diversité du territoire et des groupes ciblés.
    Par son regard sensible, sa démarche artistique et le dialogue qu’il suscitera avec les habitants du territoire, le collectif est invité à s’emparer de ces enjeux et à interroger la relation des habitants au paysage.
    Cette question du changement de regard et de la capacité d’agir sera au cœur de la problématique à poser.
    Aucune discipline artistique n’est exclue. Le ou les artiste(s) proposeront de co-construire un projet artistique de manière régulière avec les habitants, les familles, les enfants scolarisés…
    en intervenant sur un périmètre de maximum 10 communes.
    Concernant la thématique 1, le Parc et le Département du Val d’Oise accompagneront le collectif sélectionné pour établir un lien avec une structure culturelle proche,
    afin de tisser des liens plus larges, permettre un maillage, avec également une approche urbain-rural.
    Publics visés
    Habitants du Vexin français (jeunes, actifs, retraités, professionnels...) par petits groupes d’une vingtaine de participants.
    Environ 5 groupes par collectif - dont deux visant le public jeune : classes, centres de loisirs, etc.
    pour la thématique 1 : une classe de l’agglomération de Cergy et une du Vexin
    et pour la thématique 2 : deux classes de niveaux différents, par exemple 1 primaire et 1 collège
    Prise en compte d’une répartition de l’action artistique sur le territoire
    Démarche artistique
    Les collectifs auront une mission d’éducation artistique et culturelle. Ils s’attacheront à rendre perceptibles les finalités de leur démarche, à en transmettre les modalités
    et à susciter l’engagement des participants dans la co-création de l’action artistique.
    L’intervention artistique attendue laisse libre le choix des domaines artistiques choisis par le Collectif, tous les supports sont recevables.
    Restitution
    Au vu de la démarche, le nombre de participants doit rester restreint, mais il est demandé aux collectifs de prévoir une restitution pouvant toucher un large public, afin d’avoir davantage d’impact sur le territoire.
    Le Parc et le Département seront attentifs à l’ensemble des personnes touchées directement ou indirectement par le projet.
    La restitution n’est pas nécessairement une finalité pour les participants, elle donne à voir le processus à l’œuvre, à le rendre intelligible, appropriable par un grand public.
    Elle s’appuiera sur une trace matérielle de la démarche qui restera sur le territoire, par des moyens annexes si l’action est éphémère (enregistrements, films, photographies, édition etc.).
    Elle peut prendre différentes formes, espaces, rendez-vous. Elle doit être pensée en amont.
    Ces démarches d’expérimentation pourraient se faire en partenariat avec un équipement culturel du territoire, un festival, les universités, un éditeur etc. en étudiant des modes d’échanges
    avec les publics (atelier portes ouvertes, conférences, lectures, performances, interventions pédagogiques...) ponctuant éventuellement le temps de résidence.
    Le Parc et le Département accompagneront le collectif dans cette démarche.
    Contenu et déroulement
    La résidence sera d’une durée de 16 semaines non consécutives réparties de novembre 2019 à décembre 2020, comprenant différentes phases :
    L’immersion : Entre novembre 2019 et mars 2020, elle est un temps de découverte du territoire et de rencontre avec les partenaires (équivalent à 1 mois temps plein pour cette période d’appropriation du territoire).
    Phase essentielle du projet, elle consiste à mobiliser progressivement des partenaires, des relais et des personnes pour réaliser le projet. Elle doit être pensée comme un constituant du projet.
    Le PNR et le Département accompagneront le collectif au début de cette démarche et à mi-parcours.
    Lors de la rencontre de mi-parcours, le plan de communication nécessaire à l’information des participants et des publics des projets et de la restitution sera défini.
    L’immersion fera aussi l’objet d’une réunion de bilan.
    A l’issue de cette phase, le collectif établira un calendrier des activités envisagées en fonction du projet présenté.
    Co-construction de l’action artistique
    A partir de la thématique, de la perception de la démarche du collectif et du dialogue engagé, l’action artistique avec les groupes sera co-construite entre avril et décembre 2020, avec les différents groupes de participants.
    Traces et restitutions
    A l’issue de la résidence-mission, le collectif produit un objet collaboratif afin de documenter l’expérience partagée et laisser une trace.
    Imaginée comme une édition d’artiste, cette production originale peut revêtir tout format (imprimé, objet, vidéo, son...).
    La restitution publique (cf. paragraphe restitution) prend appui sur la trace pour en partager le contenu avec le plus grand nombre.
    Suivi et évaluation
    Des points d’étape seront organisés avec les partenaires au cours du projet.
    Une évaluation à mi-parcours et un bilan final seront réalisés permettant de rendre lisible le parcours des participants dans le projet : de spectateur à acteur impliqué sur la durée du projet.
    Les contraintes pratiques
    Durant sa mission, le collectif est appelé ponctuellement à résider effectivement sur le territoire du Parc. Les membres du collectif devront
    - Etre indépendants pour la réalisation technique de leur travail
    - Etre titulaire d’un permis de conduire
    - Avoir une démarche éco-responsable
    Les moyens financiers
    Rémunération : Le budget total attribué pour la durée totale du projet d’une résidence-mission est de 25 000 euros TTC,
    versés par le Conseil départemental du Val d’Oise sous la forme d’une subvention, en deux fois, une partie en 2019 et l’autre en 2020.
    Elle sera versée à une association (RIB, SIRET et statuts seront à fournir).
    Elle couvrira : - la rémunération des artistes et partenaires associés
    - la cession des droits d’exploitation des œuvres créées durant la résidence mission (représentation, reproduction, etc. le cas échéant) jusqu’au 31 décembre 2021.
    - les frais matériels de la réalisation du projet de la résidence, trace comprise. Une présentation d’un état récapitulatif des dépenses et des justificatifs correspondants devra être réalisée en fin de projet.
    - les frais de déplacement et de logement
    Le Parc naturel régional du Vexin français mettra à disposition des deux collectifs un véhicule pendant la durée de la résidence.
    Ce véhicule servira uniquement pour les déplacements sur le territoire du Parc naturel régional du Vexin français.
    Le Parc mettra également à disposition un logement et espace de travail, situé sur la commune de Genainville, au lieudit Les-Vaux de-la-Celle, site archéologique gallo-romain.
    Le collectif sera logé au sein de la structure d’hébergement et de recherche (voir annexe – sous réserve de disponibilité de la structure).
    Pour des raisons inhérentes à l’organisation du prêt du véhicule et la mise à disposition du logement, le Parc devra avoir un planning prévisionnel de présence dès le début de la résidence et être prévenu
    en cas de changement du calendrier de présence trois semaines en amont.
  • les frais de déplacement du domicile personnel au territoire de la résidence-mission et les repas durant la résidence-mission ne sont pas pris en charge.
    Un budget pourra être mis à disposition pour les transports de publics.
    Communication
    Le Parc et le Conseil départemental du Val d’Oise prendront en charge un volet communication selon un plan établi en cours de la phase d’immersion.
    La conception de supports de communication spécifiques sera envisagée avec le Collectif artistique.
    Le Parc utilisera ses supports habituels : Journal du Parc « Couleurs du Vexin », site internet, lettre d’information électronique, Facebook.
    Une participation des communes où se tiendront les projets sera demandée pour relayer l’information auprès de leurs habitants.
    Le cadre juridique
    Une convention de résidence-mission spécifiant les engagements respectifs du Parc naturel régional du Vexin français, du Conseil départemental du Val d’Oise
    et du collectif artistique accueilli sera signée avant le début du projet, pour chaque résidence.
    La convention précisera les modalités de la cession de droits.
    La mise en œuvre de l’appel à candidatures
    Le collectif candidat
    Chaque membre - artiste ou chercheur – du collectif participe à la candidature. Professionnel résidant en France, il doit avoir à son actif une production significative,
    et être en mesure de s’impliquer pleinement dans ce type particulier d’actions que représente la résidence-mission.
    L’artiste ou chercheur doit maîtriser l’usage oral de la langue française.
    Le comité de choix
    Un comité se réunira pour étudier les projets et sélectionner les artistes ou collectifs. Il se mobilisera également pour accompagner le collectif pendant la résidence
    (mise en relation, facilitateur, soutien technique dans la mesure des moyens disponibles, etc.).
    Il sera composé de représentants de : La DRAC Ile-de-France La Région Ile-de-France Le Parc naturel régional du Vexin français Le Conseil Départemental du Val d’Oise
    Le CAUE95 L’Education Nationale - Académie de Versailles L’Etablissement public du château de la Roche Guyon L’association La Source-Villarceaux Un représentant du groupe « Mieux vivre ensemble »
    Il auditionne les artistes et établit une sélection en fonction des critères suivants :
    - Adéquation entre le profil, l’expérience de l’artiste / équipe et l’objectif de co- construction de l’action artistique
    - Prise en compte de la thématique
    - Prise en compte de l’inscription territoriale de l’action artistique
    - Prise en compte des phases du projet
    - Prise en compte de la diversité des publics visés
    - Prise en compte de l’enjeu de transmission et de formation des professionnels (participants du micro-territoire, référents de groupes...)
    Dossier de candidature
    Le dossier de candidature est à adresser par mail
    avant le lundi 7.10.2019 18h (un accusé réception sera retourné avant le 11 octobre 2019), en précisant le thème de la résidence choisi,
    +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
    à : Madame Marie LORINE : responsable du pôle Education, Culture et patrimoines au Parc naturel régional du Vexin français, m.lorine@pnr-vexin-francais.fr
    Madame Cécile REVERDY-GAILLARD, responsable publics et territoires à la direction de l’action culturelle du département du Val d’Oise : cecile.reverdy-gaillard@valdoise.fr
    Il devra comporter :
    1. Une note d’intention présentant les orientations artistiques du projet proposé, la problématique posée prenant en compte les particularités du territoire.
    Vous développez votre vision de la thématique en écho à votre pratique et votre regard sur le territoire.
    Vous présentez également la démarche proposée pour les deux premières phases de la résidence-mission et vous faites une proposition pour la restitution finale.
    Cette dernière n’est pas engageante, elle évoluera au contact du terrain.
    Important : le format de la présentation est libre, il peut inclure du texte, de l’image fixe ou animée etc.
    2. La présentation des artistes et partenaires du collectif.
    Une note faisant état d’expériences similaires qui explicitera les liens créés entre le collectif et la population.
    Une liste des œuvres disponibles à des fins d’expositions ou de diffusion pendant ou après le temps de résidence avec les contraintes techniques et financières, afférentes à leurs présentations.
    Le budget estimatif développé.
    Le planning des disponibilités entre novembre 2019 et décembre 2020.
    Le dossier artistique doit être envoyé en un seul fichier PDF, par mail, n’excédant pas 8 Mo.
    Sélection
    Les différents dossiers de candidature reçus seront examinés par le comité de pilotage.
    Les candidats retenus seront reçus à un entretien d’1/2 heure permettant d’expliciter la démarche artistique et culturelle le lundi 14 octobre 2019 de 10h à 16h
    (Obligation de se rendre disponible à cette date sous peine d’inéligibilité à l’appel à candidature)
    Les candidats dont les dossiers n’auront pas été retenus recevront un courrier électronique.
    Pour plus d’informations : Madame Cécile Reverdy-Gaillard – Responsable unité publics et territoires - DAC CDVO – 01 34 25 30 70, 06 75 50 12 29 - cecile.reverdy-gaillard@valdoise.fr
    Madame Marie Loriné – Responsable du pôle Education, Culture et Patrimoines – PNR Vexin français – 01 34 48 66 00 – m.lorine@pnr-vexin-francais.fr
    ANNEXE Le site archéologique des Vaux-de-la-Celle et Le Vexin français, terre d’archéologie
    Ce territoire très anciennement habité recèle de nombreux vestiges d’occupation humaine : allées couvertes et polissoirs du Néolithique, éperon barré d’origine gauloise, voies et villas gallo-romaines, sépultures mérovingiennes...
    Plusieurs acteurs locaux travaillant aujourd’hui avec le Parc se sont d’ailleurs attachés depuis longtemps à mettre au jour et à étudier ces témoins du passé, à l’instar du Centre de recherches archéologiques du Vexin français (CRAVF)
    ou de l’Association étudiante valdoisienne d’archéologie (AEVA). Le musée archéologique départemental, ouvert en 1983
    à Guiry-en-Vexin, participe également activement à la connaissance, et à la reconnaissance, des monuments et objets archéologiques vexinois.
    Le Vexin français, écrin d’un site archéologique d’exception
    Le site des Vaux-de-la-Celle à Genainville, classé Monument Historique, est remarquable entre tous.
    Ce vallon irrigué par une source fut le lieu, dès l’époque celtique, de pratiques cultuelles qui perdurent bien après la conquête romaine. Au milieu du IIe siècle après Jésus-Christ, le sanctuaire fut reconstruit.
    Le temple principal, encore en élévation sur plus de 5 mètres, la voie dallée le précédant, longue de 35 mètres, les bassins, le vaste théâtre et les temples secondaires, forment un ensemble monumental unique dans la région
    et l’un des rares vestiges gallo-romains du territoire accessible aux visiteurs.
    Fouillé depuis 1935, le site a par ailleurs livré un mobilier de qualité et des décors aussi colorés que raffinés, pour la plupart déposés au musée de Guiry-en-Vexin.
    Les Vaux-de-la-Celle n’ont cependant pas livré tous leurs secrets : l’emplacement des thermes reste encore à déterminer et l’existence d’une véritable agglomération antique,
    pressentie grâce à la découverte dans les années soixante de quelques habitations, est à confirmer.
    La structure d’accueil et de recherche
    Actuellement, une campagne de fouilles est organisée chaque été par l’Université de Cergy-Pontoise aux Vaux-de-la-Celle, qui n’ont été explorés qu’à hauteur de 10% de leur superficie.
    La création, à proximité immédiate du site, d’une base de vie pour les fouilleurs et d’un espace d’accueil et de travail permet de disposer d’un lieu équipé qui permettra d’amplifier les recherches en programmant des chantiers tout au long de l’année.
    La structure a également vocation à accueillir, à la journée, des groupes scolaires en leur procurant un lieu de restauration, un abri en cas d’intempéries
    ainsi qu’un espace didactique permettant aux enfants d’expérimenter le travail de fouilles et de reproduire les gestes des archéologues.
    Elle pourra également ponctuellement être utilisée pour des réunions, visites, séminaires, résidences...
    Principes de construction de la structure d’accueil et de recherche
    La conception et la mise en œuvre de cet équipement sont fondées sur une démarche de haute performance écologique, avec une attention particulière portée à la gestion des ressources et à l’inscription dans le site de la structure.
    Celle-ci se compose de deux bâtiments reliés par une galerie, destinés pour le premier à accueillir le public et les chercheurs
    (avec un espace modulable en cafétéria, salle d’exposition temporaire ou lieu de conférence) et, pour le second, à servir de base de vie pour les fouilleurs.
    Ils sont constitués d’une ossature en bois revêtue d’une couverture en tôle sur les parties fermées et habitées, d’une couverture textile ou en tôle pour la galerie et d’un parement de façades en clins verticaux d’essences résineuses non traitées ;
    ils sont parés de fenêtres en bois.
    Le bâtiment abritant la base de vie des fouilleurs est équipé de mobiliers de couchage, de sanitaires et d’une cuisine, de sorte qu’une vingtaine de chercheurs peuvent vivre sur le site en relative autonomie.

LOCATION ATELIER

Location d’un atelier / AUBERVILLIERS
Location d’un atelier d’artiste Metro Aubervilliers 4 chemins.
Espace de 15 m2 dans un atelier de 30m2 en partage avec une artiste plasticienne.
Loyer de 250 euros/mois, charges et internet compris.
Accès toilettes, eau et espace cuisine aménagé.
Informations supplémentaires et visites sur rdv.
Contactez : veronique.bensaid@me.com amelie.lengrand@gmail.com


LOCATION ATELIER

Cherche 1 artiste, pour partager, avec 3 autres artistes, un atelier de 180 m2 / ROMAINVILLE
Bail professionnel de 6 ans au nom de l’association Serendipity pour l’administration de l’espace.
Loyer par personne 440 euros + environs 45 euros de frais de fonctionnement par mois (Electricité + Gaz + Assurance).
Frais de départ 1167,5 euros - Caution 440 euros + 220 euros ½ Septembre + Mois Octobre 440 euros + Frais de fonctionnement 22,5 euros + 45 euros
44 avenue du Président Wilson, Romainville. Rue calme pavillonnaire à 10 minutes à pied du métro Mairie des Lilas, ligne 11.
Chauffage individuel gaz de ville.
L’atelier est composé d’un grand espace de 60 m2 avec 4 mètres sous plafond, modulable en fonction des pratiques de chacun.
Il donne sur plusieurs espaces privatifs, avec une mezzanine pour le stockage d’œuvres.
Ce grand espace donne sur la rue avec une double porte permettant de mettre l’arrière d’un camion.
Il y a aussi une cuisine, des toilettes, et d’autres espaces de stockage.
Disponible à partir du 16 septembre 2019.
Vous êtes intéressé.e, contactez : Monsieur Jean-Baptiste Perrot : jbp@jbperrot.net


LOCATION ATELIER

Les Esquisses Ateliers d’Artistes et artisans des métiers d’art / MALICORNE-SUR-SARTHE
Vous recherchez un atelier de création à Malicorne-sur-Sarthe, Cité faïence et Métiers d’art, vous trouverez :
Les ateliers d’artisans d’art encore en activité. Le musée de la faïence et de la céramique.
Les Esquisses, l’atelier des créateurs.
Le Mans Malicorne-sur-Sarthe à 35 mn du Mans à 15 mn de l’A11 à 1h de train Paris/Le Mans
2 ateliers spacieux et lumineux partagés.
1 espace d’exposition.
1 hébergement : 4 chambres pour 4 artistes accueillis en simultané et des espaces cocooning partagés et accès extérieurs.
1 accès internet.
1 accès au musée et à ses ateliers.
1 accès four céramique.
1 mise en réseau avec les artisans d’art de Malicorne.
Frais à la charge de l’artiste :
Frais liés à la vie courante (alimentation...).
Matériel lié à la production.
Forfait de 150 euros/mois pour participation aux frais généraux.
Comment postuler ?
Ouverture des candidatures 2020 à partir de septembre 2019
Le dossier de candidature doit comprendre :
La présentation de votre projet, originalité et exigence de la démarche artistique.
La durée estimée des recherches / expérimentations et/ou créations.
Vos motivations.
Votre parcours (curriculum vitae, formation).
Un porte folio de travaux récemment réalisés.
Conditions d’accueil :
Engagé dans une démarche de création contemporaine.
Durée de l’accueil selon le projet artistique défini.
Ouvert à la rencontre avec les publics.
N° d’identification à la maison des artistes ou statut associatif.
Inscription adressée à la Communauté de communes du Val de Sarthe 27 rue du 11 novembre 72210 La Suze sur Sarthe
Infos supplémentaires auprès de Madame Céline Moron, en charge des Esquisses : conservation.museefaience@cc-valdesarthe.fr 02 43 48 07 17