Appels diffusés par la FRAAP > 28/07/2020

  • APPEL À PROJET ARTISTIQUE : 5 # NICE - MENEHAM - PARIS (2) - ERVY-LE-CHATEL -
  • APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE : 8 # HUBY-SAINT-LEU - HAUTS-DE-FRANCE - MASSY - LAVAL - COLOMBES NANTERRE - TESSY BOCAGE (3) -
  • OFFRE D’EMPLOI : 2 # DOUCHY-LES-MINES - BORDEAUX -

APPEL À PROJET ARTISTIQUE

Appel à projets pour une commande d’œuvres photographiques / NICE
Date limite de réception des candidatures 21.08.2020
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Regards photographiques sur... Académie 5 Hommes, Idées et Milieux et UCArts
https://univ-cotedazur.fr/ucajedi-lidex-duniversite-cote-dazur/appel-a%cc%80-projets-pour-une-commande-d%e2%80%99oeuvres-photographiques
Contexte de la commande
Université Côte d’Azur (UCA) est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel expérimental. Lauréate de l’appel à projet IDEX avec le projet UCAJEDI,
elle a pour ambition d’accroître la visibilité du site et son rayonnement national et international pour figurer parmi les 10 universités françaises comparables aux meilleures universités du monde.
Parmi les cinq académies d’excellence qui composent UCA, l’Académie 5 Hommes, Idées et Milieux étudie les changements profonds qui bouleversent nos sociétés contemporaines.
Ils concernent des domaines complexes, divers mais interdépendants, tels que la mondialisation politique et économique, le changement de climat et l’impact anthropomorphique,
la numérisation, la financiarisation de l’économie mondiale, etc.
L’enjeu concerne les processus même de la création, la circulation et la distribution de la richesse sociale et le contexte des relations entre les êtres humains avec leur environnement naturel et sociétal.
À ce jour, l’Académie 5 a financé 42 projets de recherche.
UCA développe aussi une nouvelle politique culturelle via le service UCArts qui s’appuie sur 5 axes :
Penser la politique culturelle comme un enjeu d’attractivité et de rayonnement ;
Promouvoir ouverture, exigence et interculturalité comme outils d’appréhension des mondes contemporains ;
Faire de l’accès à la culture un élément structurant du lien social et de la solidarité ;
Dialoguer avec les acteurs de l’écosystème culturel et artistique du territoire ;
Favoriser l’émergence des formes artistiques de demain par le soutien à la jeune création.
Dans le cadre de la présente commande d’œuvres, l’Académie 5 et UCArts s’associent pour proposer à des artistes-photographes de poser un regard sur des projets de recherche et leurs résultats.
Objectif et enjeux
L’objectif de ce cahier des charges est de définir les principes d’une commande publique d’œuvres photographiques librement inspirées des 7 projets de recherche décrits en annexe à ce cahier des charges.
Celle-ci doit d’une part permettre à l’Académie 5 de disposer d’un fonds iconographique qui valorise ses activités et ses liens avec la société,
d’autre part de permettre à des artistes de s’exprimer sur un sujet impliquant le monde de la recherche au moyen d’une œuvre d’art originale.
La commande s’inscrit dans une démarche aux enjeux multiples :
Valoriser des travaux de recherche par un regard artistique photographique original ;
Favoriser le dialogue entre artistes et chercheurs ;
Donner lieu à une exposition itinérante au sein d’UCA et au-delà ;
Diffuser des travaux de recherche auprès des communautés scientifiques et étudiantes et du grand public.
Calendrier de sélection et de réalisation des projets
Envoi des candidatures : Dossier complet envoyé en un unique fichier par courriel
avant le 21.08.2020
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à julien.gaertner@univ-cotedazur.fr et ucarts@univ-cotedazurfr. Tout dossier incomplet ne sera pas examiné.
Sélection des candidats et notification des résultats : lundi 24 août 2020.
Début des projets : 21 septembre 2020. Fin des projets : 15 décembre 2020.
https://univ-cotedazur.fr/ucajedi-lidex-duniversite-cote-dazur/appel-a%cc%80-projets-pour-une-commande-d%e2%80%99oeuvres-photographiques
https://univ-cotedazur.fr/


APPEL À PROJET ARTISTIQUE

Installation artistique « Noël à Meneham » / MENEHAM
Les candidatures devront être envoyées avant le 30.08.2020 à minuit.
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1. CONTEXTE
a. Le territoire
C’est un étonnant bout de côte dont on tombe forcément amoureux. Tout y vit intensément : les paysages, les gens, les légendes... On aime son caractère breton bien trempé, on respire avec avidité ses brises iodées, on apprécie ses ambiances mystérieuses.
Retenez bien son nom... on l’appelle la Côte des Légendes. Situé en nord-Bretagne, à quelques encablures de Brest, ce territoire rural, comme tant d’autres en Bretagne ou ailleurs, est riche en légendes qui se transmettent de génération en génération.
Le site de Meneham est au cœur de ce territoire de récits et d’imaginaire et en est la porte d’entrée.
b. Le site Meneham est un site classé alliant une histoire riche à un décor littoral à couper le souffle. Blotti entre les étonnants amas rocheux de la Côte des Légendes, ce site naturel d’exception ravit les amoureux du patrimoine comme les amateurs de balades au grand air.
Au cœur d’un écrin naturel entre plages, dunes et rochers, ce pittoresque village de chaumières, aujourd’hui restauré, offre un point de départ idéal pour des balades en famille ou entre amis.
Site choisi pour intégrer le système de défense côtière, c’est par la construction du corps de garde vers 1756, qu’apparaît le village de Meneham. Il est tout d’abord occupé par des miliciens, puis des douaniers chargés de la surveillance des côtes contre les invasions ennemies.
En 1860, ces derniers quittent le village avec leurs familles et sont alors remplacés par des pêcheurs goémoniers, sans doute séduits par la proximité du littoral, leur lieu de travail.
Au fil du temps, les chaumières, blotties en contre-bas des énormes rochers se multiplient et s’agrandissent aux besoins de leurs locataires. A son apogée, le village compte jusqu’à 80 âmes et les 14 maisons abritent parfois 2 ou 3 générations.
Le site de Meneham fait l’objet d’un classement en 1975. L’auberge ferme deux ans plus tard, et les habitants désertent le site.
Les bâtiments, ainsi délaissés, tombent peu à peu en ruine et le dernier habitant quitte le village en 2001.
L’objectif principal est alors de restaurer le village à l’identique en respectant l’architecture existante et les matériaux d’origine. Le projet est réellement lancé en 2002 et la restauration commence en novembre 2004 pour s’achever en juin 2009.
Le village de Meneham est aujourd’hui un lieu ouvert à tous. On peut s’y restaurer, dormir, découvrir le savoir-faire de ses artisans.
L’occasion de replonger au temps des douaniers ou de s’imaginer, l’espace d’un instant, la vie de ses habitants à travers ses espaces muséographiques et ses expositions temporaires.
Tourisme Côte des Légendes (Nord Bretagne), émanation de la Communauté Lesneven Côte des Légendes gère la promotion du site de Meneham.
Ce site classé et protégé accueille autour de 120 000/150 000 visiteurs/an. Situé à Kerlouan (29), il accueille de nombreuses manifestations tout au long de l’année.
c. La manifestation Tourisme Côte des Légendes coordonne l’événement Noël à Meneham, qui se déroulera du 19 décembre 2020 au 27 décembre 2020.
Ce projet regroupe les différents acteurs du site de Meneham à savoir les artisans, les professionnels de l’auberge et du gîte de Meneham et les associations culturelles.
En 2020, ce sera la 11 ème édition de cet évènement phare de la programmation de Meneham.
Les 3 piliers du projet sont : - le savoir-faire (artisanat, gastronomie) - la convivialité (humanité, contact, échanges, simplicité) - la magie (légende, féérie).
Cette manifestation propose un marché de noël, des illuminations, des animations pour les petits et les grands, des musiciens, des lancers de lanternes, du vin chaud et de nombreuses autres gourmandises...
mais aussi une installation artistique contribuant à l’ambiance générale de cette manifestation.
d. Le fil rouge L’ambition de Tourisme Côte des Légendes est de proposer pour la première fois cette année un fil rouge qui servira de fil conducteur au long de toute cette manifestation.
Meneham étant soumis à la force des éléments, notre choix s’est sans hésiter porté sur l’un des plus puissants d’entre eux : le vent. Ce choix marque probablement le début d’un cycle qui mettra à l’honneur les autres éléments dans les années à venir.
2. L’appel à projets
a. L’installation artistique
Le projet artistique consiste dans la conception et la réalisation ou le montage/adaptation d’une œuvre existante au cœur du site de Meneham.
L’ambition est d’en faire un motif de visite pour les amateurs d’art et de patrimoine tout en offrant une proposition magique et féérique aux visiteurs durant la période de Noël :
un regard d’artiste singulier, moderne voire ludique sur le site de Meneham en s’emparant de la thématique du vent au sens très large.
L’œuvre devra répondre aux critères suivants :
1. Etre installée in situ durant une résidence d’au moins 4 jours sur le site (sans compter l’inauguration), avant le 11 décembre 2020
2. Etre visible de jour et de nuit du 12 décembre (inauguration) jusqu’au 3 janvier 2020 soit 22 jours.
3. Etre en lien avec le thème du vent. Le caractère innovant et contemporain de la proposition artistique sera privilégié. Un aspect ludique ou expérientiel serait un plus sans être obligatoire.
4. Etre en relation harmonieuse avec le site de Meneham afin de minimiser les nuisances environnementales et paysagères.
5. Usage privilégié des matériaux locaux (bois, pierre...) et de modes de fabrication en accord avec le territoire (savoir-faire locaux, filières courte ...).
L’achat de matériaux reste à la charge de l’artiste et sera sous sa responsabilité.
6. Logistique minimale : favoriser la durabilité et la solidité des matériaux. Ne pas nécessiter de surveillance. Résister aux conditions météo intenses de Meneham en hiver.
8. Le coût de la création/mise à disposition ne devra pas excéder 3 500 euros TTC tous frais compris.
La forme artistique choisie par l’artiste n’est pas un critère et aucune typologie d’art ne sera privilégiée, l’important étant de traiter du vent et d’insuffler poésie et féérie sur le site Meneham.
Nous sommes ouverts à toutes les propositions, n’hésitez pas à nous surprendre, nous faire pleurer ou nous faire rire. La création de l’œuvre devra être achevée à la date convenue (11 décembre 2020 soit 1 jour avant l’inauguration).
b. La sélection
Jury Il sera composé à minima : - d’un élu du territoire ; - d’une personne de Tourisme Côte des Légendes ; - d’un technicien ; - d’un acteur du site (professionnel ou bénévole).
La jeunesse pourra intégrer ce jury via des modalités qui restent à définir.
Sont admis à concourir Cet appel à projet s’adresse à toute personne proposant un projet et une démarche artistique répondant aux critères et aux objectifs de l’événement (plasticiens, architectes, designers, paysagistes...)
et possédant un numéro SIRET (entreprise, association, Maison des Artistes ou AGESSA) permettant de facturer des prestations, ou des honoraires ou des droits d’auteurs.
c. DESCRIPTION DU SITE D’IMPLANTATION DE L’INSTALLATION
Le site d’implantation est un espace ouvert public. L’œuvre sera inaugurée le week end précédant la manifestation en même temps que l’illumination du site.
Durant l’événement, du 19 décembre 2020 au 27 décembre 2020, des animations accueilleront de nombreux visiteurs (danses, musiques, animations artistiques, démonstrations autour des savoir-faire, etc.).
L’œuvre restera visible jusqu’au 3 janvier (fin des vacances scolaires)
L’œuvre doit ainsi s’intégrer à cet environnement exceptionnel qu’est le site de Meneham et permettre au site de garder des espaces pour la circulation des visiteurs. Elle doit être visible aussi bien de jour que de nuit.
L’œuvre peut être concentrée en un point ou au contraire s’éclater sur le site en plusieurs points. Le(s) lieu(x) précis d’implantation sera déterminé en septembre, lors de la rencontre technique sur site.
Trois lieux d’implantation sont à privilégier même si l’artiste peut être force de proposition, il s’agit :

  • 1/ le terrain devant la maison Salou. Un peu à l’écart, cet espace tranquille est bien visible de la route. Situé à proximité d’un chemin secondaire d’accès au site, il permet une belle perspective sur cette maison, la plus ancienne du village.
  • 2/ le terrain entre la maison Salou et l’auberge. En plein cœur du site mais à l’écart des flux de visiteurs, cet emplacement combine proximité des rochers et des chaumières.
  • 3/ L’entrée du site. Ce lieu permet d’imprégner d’emblée le visiteur de l’esprit de la manifestation. Bien visible de la route, il peut servir de point de repère.
    Cet espace manquant d’éclairage, le choix de cet emplacement par l’artiste peut permettre de joindre l’utile à l’agréable. Par contre, cet emplacement est un lieu de passage et il faudra en tenir compte.
    d. CALENDRIER
    A. Juillet 2020 > Août 2020 : phase d’appel à candidatures.
    Les candidatures devront être envoyées avant le 30.08.2020 à minuit.
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    Elles seront soumises à un jury qui appréciera la qualité et l’originalité des œuvres présentées, la cohérence de l’ensemble du projet et son adéquation avec cet appel à projet.
    Le jury pourra demander des informations complémentaires aux candidats. Les décisions du jury sont sans appel. Aucune indemnité n’est prévue pour les candidats non-sélectionnés.
    Chaque candidat se verra signifier par courrier la décision le concernant avant le 13 septembre 2020.
    B. Septembre : prise de contact - rencontre technique - signature du contrat
    Cette rencontre aura lieu au plus tôt après la sélection. Sa date sera choisie en concertation avec l’artiste. Elle a pour but de vérifier et valider le choix du lieu d’implantation précis de l’œuvre et la méthodologie de fabrication.
    Ce sera également l’occasion pour l’artiste sélectionné de solliciter toutes les précisions nécessaires à la réalisation du projet. A l’issue de cette rencontre, l’artiste et l’organisateur procéderont à la signature du contrat. Ce contrat reprendra les
    conditions définies dans ce présent appel à projet et la proposition faite par l’artiste, éventuellement amendée par l’organisateur en ce qui concerne les conditions de sécurité vis-à-vis du public et de la protection de l’environnement.
    La présence à cette rencontre est obligatoire pour l’artiste.
    C. Décembre : période de résidence - production de l’œuvre
    L’artiste sera présent au moins 4 jours sur le site afin d’installer son œuvre sur une période qu’il aura préalablement définie dans sa réponse à l’appel à projet (à déterminer entre le 1er décembre et le 12 décembre 2020).
    Avant cette période de résidence, l’artiste aura remis à l’organisation, le dossier de présentation définitif de l’œuvre.
    L’objectif de cette venue sur le territoire est de livrer l’œuvre à l’organisateur. Si le délai de production dépasse le temps imparti, les frais supplémentaires engendrés ne seront pas pris en charge par l’organisateur.
    L’impératif est que l’œuvre soit prête avant l’inauguration programmée le 12 décembre 2020. L’artiste sera autonome sur la construction de son œuvre en matière de main d’œuvre, d’outillage, de déplacements et de transports de matériaux.
    Cependant une aide ponctuelle ainsi que l’accès à un atelier sont prévus. Une personne ressource sera à l’écoute des besoins ponctuels de l’artiste et sera chargée de la mise en relation avec les acteurs locaux.
    L’artiste doit pouvoir justifier d’une assurance en responsabilité civile pour la période de création de l’œuvre.
    D. Inauguration Elle est programmée le samedi 12 décembre 2020. L’artiste est tenu d’être présent afin de présenter au public et à la presse sa réalisation.
    e. COMMUNICATION Tourisme Côte des Légendes s’engage à mettre en œuvre la promotion de l’événement (presse, documentation, site internet).
    L’artiste fournira avant la fin octobre 2020, un dossier de présentation de son œuvre constitué d’un texte de présentation et de visuels (libres de droit) qui pourront figurer dans la communication de la manifestation.
    L’artiste cède les droits sur son œuvre à l’organisateur qui s’engage pour sa part à respecter l’intégrité artistique de l’artiste.
    f. BUDGET 3 500 euros TTC. Le budget alloué à l’artiste ou aux artistes sélectionnés. Cette somme doit couvrir l’intégralité des dépenses pour la réalisation de l’œuvre, les frais de déplacements, d’hébergement, les repas et les droits d’auteur de l’artiste.
    L’artiste se déplace avec son propre matériel et ses outils pour le montage de son œuvre sur le site, avec son propre véhicule et restera autonome dans la progression de son travail.
    L’artiste peut venir accompagné d’un ou plusieurs assistants (les frais occasionnés ne sont pas pris en charge par l’organisateur).
    Le démontage/recyclage de l’œuvre doit être budgété dans ces 3500 euros même s’il n’est pas réalisé par les artistes en personne. L’artiste ne doit pas hésiter à proposer des options (en particulier en cas d’œuvre éclatées).
    Cette somme lui sera versée de la manière suivante : - 20% à la signature du contrat en septembre 2020 ; - 40% avant la résidence de montage début décembre 2020 ; - 40% après la livraison de l’œuvre au public fin-décembre 2020.
    g. DOSSIER DE CANDIDATURE
    Rédigé en français, le dossier sera adressé en version numérique uniquement, format PDF (préférentiellement via wetransfer.com) à jessica@cotedeslegendes.bzh
    Merci de nommer chaque fichier transmis en respectant ce modèle : Noël à Meneham_[nom d’artiste]_[type de document ex : portofolio]
    Les candidatures devront être envoyées avant le 30.08.2020 à minuit.
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    Renseignements complémentaires : Madame Jessica Marrec 02 29 61 13 60
    Le dossier comprendra les pièces suivantes :
    A. Artiste - les coordonnées complètes du candidat ou de l’équipe : Pseudonyme éventuel / Nom / Prénom / adresse / numéro(s) de téléphone / adresse électronique / site internet / numéro SIRET ou équivalent pour les artistes étrangers / justificatif d’inscription à un organisme ;
  • Les références du candidat ou de l’équipe : biographie synthétique, texte de présentation de la démarche globale de l’artiste, portfolio des réalisations
    (maximum 10 sélectionnées en fonction de leur pertinence à l’égard de cet appel à projet). Dans le cas d’œuvres de collaboration, la part de création du candidat doit apparaître distinctement.
    B. Projet - Une note d’orientation sur le projet exprimant les motivations de la candidature et expliquant la démarche artistique envisagée en adéquation avec le projet ;
  • Un calendrier prévisionnel et un budget prévisionnel simplifié ;
  • Toute autre information que l’artiste jugerait pertinente pour l’appréciation des qualités techniques et esthétiques et la mise en situation du projet qu’il propose.
    La valeur technique de la phase d’appel à candidatures sera appréciée au regard :
  • des compétences, références et de la composition de l’équipe (30%),
  • de la méthodologie proposée incluant le budget et le calendrier détaillé (30%),
  • de la note d’orientation sur le projet et de sa pertinence à l’égard de cet appel à projet (40%).
    Les critères suivants seront tout particulièrement étudiés : la faisabilité technique de l’œuvre proposée, résistance de l’œuvre aux intempéries et aux vols, origine et type de matériaux, traitement original de la thématique du fil rouge,
    intégration paysagère, cohérence avec l’esprit du site et de Noël, sa visibilité et son esthétisme de jour comme de nuit.

APPEL À PROJET ARTISTIQUE

Festival Arts en Espace Public édition 2021 à destination des artistes plasticiens / PARIS
http://www.art-exprim.com/wp-content/uploads/Appel-a-projets-festival-Arts-en-Espace-Public-edition-2021-art-exprim.pdf
Candidatez jusqu’au 20.09.2020
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art-exprim est une association créée en 2000 par Sandrine Montagne, Philip Peryn et Caroline Dié avec pour ambition le soutien à la diffusion des œuvres et des savoirs des artistes contemporains auprès des publics.
Membre de la Fédération des Réseaux et Association d’Artistes Plasticiens (FRAAP) depuis 2003 et de son Conseil d’Administration de 2011 à 2018, l’association a développé ses activités pour aujourd’hui mener de concert
plusieurs actions ayant pour épicentre l’art contemporain. Elle est agréée JEP (Secteur Jeunesse et Éducation Populaire) en 2008 et par l’agence du Service Civique en 2015.
Spécificité de l’édition 2021 : art, nature et engagement art-exprim a toujours accordé une grande importance à la place de l’art dans le territoire que cela soit l’espace public ou le paysage.
art-exprim consacre cette année 2021 à l’engagement de l’artiste et son rapport à la nature.
« La nature constitue un élément essentiel de mon travail » énonce Philip Peryn, artiste et co-fondateur d’art-exprim.
L’artiste brésilien Frans Krajcberg, qui aurait eu 100 ans en 2021 et dont l’espace éponyme est partenaire d’art-exprim pour plusieurs projets (l’Espace Krajcberg), incarne un positionnement engagé face aux déforestations à répétition de son pays d’adoption.
Que l’art soit constitué d’éléments issu de la nature, qu’il soit numérique, sculptural, sous forme de performance, qu’il soit dessiné, peint, sous format vidéo ou photographique, il est engagé.
Co-construction, co-participation, à vous de dire, de faire et d’interpeller ! Mot de Sandrine Montagne, co-fondatrice et directrice d’art-exprim
Afin de participer à l’édition 2021 du festival Arts en Espace Public, tout projet artistique proposé doit répondre aux conditions suivantes :
— Spécificité 2021 : seuls les projets autour de la nature, du paysage et l’engagement seront pris en compte ;
— Défendre une démarche forte en lien avec l’espace public en tenant compte des caractéristiques particulières des territoires : environnement, espace public, squares, jardins, immeubles ;
— Doit tenir compte des publics et de l’histoire de ces territoires, énumérés de le tableau ;
— Doit être un projet nouvellement créé, ou être une extension de précédents projets et adaptés au contexte du festival ;
— Doit s’insérer dans une démarche de création contemporaine autour des arts visuels (installation, performance, street-art, vidéo, fresque, sculpture, peinture, dessin, etc.).
La transdisciplinarité est encouragée.budgetLe budget est compris entre 2 000 euros et 4 000 euros par artiste, ou collectif d’artistes, pour un cycle de 13 interventions artistiques.
Le budget global artistique (pour 4 artistes ou collectif d’artistes) étant de 16 000 euros : L’enveloppe globale inclut les frais de production, la rémunération de l’artiste ou du collectif d’artistes pour leurs interventions,
les droits d’auteurs ainsi que toutes autres dépenses reliées au projet artistique.Les ateliers de médiation disposent d’un budget à part.
Ils ne doivent donc pas être inclus dans le budget prévisionnel à fournir.art-exprim ne prend pas en charge les frais relatifs aux transports, aux repas et à l’hébergement.
Festival Arts en Espace Public édition 2021 à destination des artistes plasticiens : http://www.art-exprim.com/wp-content/uploads/Appel-a-projets-festival-Arts-en-Espace-Public-edition-2021-art-exprim.pdf
Candidatez jusqu’au 20.09.2020
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http://www.art-exprim.com/


APPEL À PROJET ARTISTIQUE

Observatoire de l’Espace du CNES Centre National d’Études Spatiales Les Écritures agravitaires / PARIS
Les dossiers de candidatures doivent être adressés le 16.11.2020 au plus tard à 16h
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Dans la perspective de la constitution d’une humanité spatiale, l’Observatoire de l’Espace, le laboratoire culturel du CNES, lance un appel à projets artistiques intitulé les Écritures agravitaires
afin de faire émerger des créations conçues pour exister potentiellement dans et avec le milieu spatial, puis être restituées réellement au public sur Terre.
Formulaire de candidature, dossier et annexes : http://www.cnes-observatoire.fr/ode-projets/2020-07-17_ecritures-agravitaires/appel-a-creation-ecritures-agravitaires.html
I – Préambule
Face aux menaces de la crise bio-climatique qui se concrétisent, et à la reterritorialisation de l’Espace, nourrie de compétitions militaires et nationalistes, qui se renforce à l’instar des débuts de la « conquête spatiale » dans les années 1960,
l’humanité, sans possibilité réaliste d’exode cosmique, est amenée à se penser autrement, et une culture axée sur la création dans le milieu spatial habité en devient un instrument privilégié.
S’il est en partie réel pour une minorité d’humains, les spationautes et leurs partenaires scientifiques, techniques, industriels, administratifs et politiques, ce devenir spatial ne peut plus aujourd’hui être restreint à la seule conception expansionniste
d’une humanité technologique triomphante. A contrario, un programme culturel d’envergure qui ferait le pari de faire émerger des créations artistiques capables d’intégrer les défis des crises en cours et à venir sur Terre,
en tirant parti des spécificités du milieu spatial habité ainsi que des transformations actuelles dans la conception des rapports de l’humanité à son environnement, peut s’avérer une voie féconde.
Ce milieu, se cantonnant actuellement à l’orbite basse, autour de 400 km, allie des caractéristiques physiques uniques – l’absence de gravité, l’absence d’eau et la raréfaction extrême de l’atmosphère – à une capacité d’accueillir des rapports humains non-humains –
c’est-à-dire avec des entités privées de la qualité d’humain – inattendus. Une telle combinaison fait de ce milieu un possible laboratoire de réflexion et de création où l’humanité peut s’appréhender autrement, en particulier
si on prend également en compte deux caractéristiques assurant un ancrage réaliste à cette démarche.
La première est d’allier l’usage d’un véhicule en orbite permanente autour de la Terre avec un habitacle disposant d’une faible capacité d’accueil pour des équipages, qui limite donc les compétences et les moyens disponibles.
La seconde est la dépendance de ce véhicule à un réseau vital d’infrastructures terrestres : réseaux d’antennes de suivi et de télécommunication, équipes permanentes dans un centre spatial de contrôle,
systèmes de ravitaillement, dispositifs de simulation et de répétition, météorologie de l’Espace, aide à la navigation pour éviter des débris satellisés, ou encore respect du cadre juridique spatial.
Ce milieu extrême et contraint, en termes d’environnement, d’habitat et de relations terrestres, constitue un cadre singulier susceptible de faire émerger une réflexion cosmopolitique.
En effet, par plusieurs aspects, la vie dans la station spatiale internationale, à côté de l’hypercontrôle qu’elle requiert, peut se regarder de manière positive dans la perspective d’un modèle idéal.
C’est un milieu où tous les corps vivants, parce qu’ils sont affectés par l’impesanteur et les risques encourus, sont l’objet de préparation, d’attention, de solidarité, et constituent un investissement social précieux.
C’est un milieu où toute action provoque une réaction amplifiée qui rend improbable toute impulsion violente ou combat, au profit d’attitudes d’hospitalité pour tout élément embarqué.
C’est un milieu où toute chute devenue impossible implique de nouvelles alliances aux choses et à leur combinaison. Enfin c’est un milieu où tous les moyens sont comptés et restreints à proportion de leur utilité.
Autrement dit, des préoccupations encore trop minoritaires sur Terre sont amplifiées dans l’Espace. Les objets, instruments, outils, sont majoritairement conçus pour être fiables, réparables, générant le moins de déchets possible.
Le recyclage (eau, atmosphère, etc.) est essentiel. L’économie la moins dispendieuse des consommations (énergies, alimentation, etc.) et de l’espace disponible est primordiale. L’entretien du corps et de l’esprit est indispensable.
La coopération et l’acquisition de multiples compétences (médecine, langues, etc.) sont préférées au fonctionnement hiérarchique spécialisé, la bonne humeur concentrée dans le travail aux tensions anxiogènes.
Le principe There is no alternative est banni au profit de systèmes redondants et d’alternatives. L’égalité des rôles entre les hommes et les femmes est réalisée durant la mission spatiale.
Pourtant, si l’on considère la courte histoire de l’aventure spatiale, à côté des usages scientifiques, commerciaux, ou militaires de l’Espace, les projets culturels, et plus encore artistiques, demeurent sporadiques,
réduits le plus souvent au domaine art-sciences exactes-technologie (voir Annexe I). Ces projets, intrinsèquement intéressants, concernent cependant des champs artistiques très restreints et restent difficilement partageables avec une grande diversité de publics.
Cet appel propose donc aux créateurs de se saisir de la spécificité du milieu spatial comme une opportunité d’inspiration pour nourrir un processus artistique inédit, les Écritures agravitaires.
II - Les Écritures agravitaires
Ce qui est premier dans le projet des Écritures agravitaires est l’appréhension de ce qui peut se manifester spécifiquement dans un milieu habité en micropesanteur et en orbite autour de la Terre.
Il s’appuie sur la faculté que ce milieu recèle de pouvoir questionner nos conceptions de la subjectivité, de la liberté, de la corporalité, de la sociabilité individuelle ou partagée en communautés, de la maîtrise individuelle ou des coopérations humaines et non-humaines.
Réciproquement, cette exploration permet d’interroger en creux l’horizon d’une Terre pensable comme un habitat limité, unique, avec un devenir commun.
Déjà, dans le seul domaine de la création, décliner les spécificités de la micropesanteur révèle l’horizon des contraintes terrestres comme tramé de fausses évidences et d’impensés, invalides en orbite : que ce soit des textes orientés du haut vers le bas ;
de la peinture qui peut couler sur son support ; des muscles entraînés qui permettent des sauts précis pour des chorégraphies ou des arts du cirque ; des mouvements de caméra sans steady-cam ou des entrées- sorties de champ réglées pour les cinéastes ;
des improvisations qui requièrent des matériaux ou des partenaires imprévus ; des interprètes qui ont besoin du retour d’une assemblée de spectateurs vivants ;
des architectes qui intègrent une orientation par rapport au soleil si ce n’est un sens de circulation dans leurs bâtiments ;
des réalisations culinaires issues de longues fermentations ou de flambées brèves. Rien de cela n’est possible en l’état dans des conditions d’impesanteur mais combien imaginable autrement !
Par une vision élargie des spécificités du milieu orbital habité, par son inscription dans un champ de fortes résonances aux situations terrestres, le projet des écritures agravitaires rend manifeste la multiplicité des voies de création à explorer dans l’Espace habité.
Reste la difficulté de l’envisager comme laboratoire artistique.
Cette difficulté tient en particulier à une triple contrainte apparemment indépassable : la présence en mission de n’importe quel artiste est improbable, l’emport et le retour de tout matériau de création
sont proscrits, la présence d’un public éprouvant l’œuvre est encore pour longtemps impossible.
En ne réduisant pas l’Espace à sa seule dimension d’impesanteur, mais en le saisissant en tant que milieu physique risqué, habité, et relié à la Terre,
les Écritures agravitaires permettent de faire appel à un ensemble de notions conduisant à résoudre ce faisceau de contraintes.
Les notions de communautés, de relations humains non-humains, de cyborgs, d’hybridations d’acteurs-réseaux, en sont les principales (voir Annexes III et IV).
Les conditions de production des Écritures agravitaires
Les Écritures agravitaires doivent s’élaborer en pensant le rapport habitacle spatial / Terre avec son souci du risque extrême lié au milieu spatial, et sa prévention, que l’on pourrait nommer un « care agravitaire »,
couplé à une attention pour l’économie des poids, des volumes, des matériaux et des énergies d’un écosystème particulier, et que l’on pourrait qualifier « d’attitude agravitaire ».
Toutes les conditions de la réalité orbitale sont à prendre en compte par les projets d’Écritures agravitaires.
Loin d’une simple transposition d’une élaboration artistique terrestre à une situation d’impesanteur en orbite terrestre, une écriture agravitaire est de fait vouée à des contraintes d’existence
qui la font échapper d’emblée à la conception classique d’un objet unique qui naîtrait d’une gestation en atelier ou sur un plateau pour ensuite être possédé par un collectionneur.
Plus particulièrement en terme temporel, ces Écritures agravitaires impliquent l’élaboration d’un « déroulé » dont l’objet ou le moment central visé n’est qu’un accent caractéristique de l’œuvre attendue
(pour les références à l’art contemporain, comme la notion d’intermédia, voir Annexe V). Ces Écritures agravitaires génèrent ainsi une forme momentanément observable au sein de processus qu’elles mettent en œuvre.
Les conditions de création des Écritures agravitaires
À l’échelle des institutions nationales, transnationales ou internationales encore nécessaires à la réalisation et à la mise en œuvre de la station spatiale, avec l’indispensable collaboration d’équipes aux compétences multiples,
l’écriture agravitaire s’apparenterait en quelque sorte à un art du commun où chacun exécuterait sa participation dans la mise en œuvre du projet de création, à la fois proche de l’art dans l’espace public et de l’élaboration d’un opéra.
Aussi, à côté de contraintes spécifiques très fortes liées au milieu spatial, la création de l’écriture agravitaire fait l’hypothèse de partager d’office un cheminement avec un collectif institutionnel, par exemple des représentants
des agences spatiales, a contrario d’un atelier solitaire ou d’un plateau caché au public. Dans ce cheminement, le développement créatif – des choix de l’idée initiale et des matériaux à ceux requis pour la mise à disposition publique
des traces des différentes étapes mises en œuvre – importe autant que la forme ou le moment observable et enregistrable qui en émerge.
Dans ce sens, cette écriture ressort d’un héritage de courants d’arts processuels où l’attitude devient forme (voir Annexe V).
De plus, par le fait que dans tous les cas l’artiste-auteur reste à terre, cette création est nécessairement matérialisée par le biais de l’écriture descriptive, performative, transmissible,
ouverte à des médias multiples, et englobant textes, schémas, scripts, modélisations, protocoles, partitions, répétitions, transmissions. Elle fait appel à l’héritage de l’art « à protocole »,
qui parcourt toute l’histoire des avant-gardes du XXe siècle, de Dada à Fluxus et de la littérature à contraintes comme la pratiquaient Georges Perec et les membres de l’Oulipo.
Elle peut privilégier les médias présentés comme immatériels, associant numérique, codes, mémorisation, etc., et se nourrir alors des apports de la littérature numérique (voir Annexe V).
Comme il a été précisé ultérieurement, a priori, aucune entité, humaine ou non-humaine, ne se fera réellement le récepteur, dans la station spatiale, de l’écriture agravitaire élaborée.
Aussi, la transmission du protocole à un « opérateur » supposé en station spatiale, l’effectuation de la forme, de l’objet ou du moment privilégié observable, sa « captation »,
puis sa transmission sur Terre demeureront virtuels, mais formeront un ensemble élaboré comme la simulation d’un déroulé réel. Cette simulation pourra prendre plusieurs formes,
que ce soit un découpage de scénario illustré par une série de peintures, la réalisation d’une immersion en réalité virtuelle 3D, une réalisation sonore, une performance, ou encore une installation.
Cette « écriture » ambitionnera, dans sa restitution terrestre finale, de conférer à ces phases simulées le statut d’un réel passé effectif, à induire une existence mentale dans l’imaginaire
de ses publics par l’ensemble des traces qui lui sont données à « lire », comme si le protocole s’était
réellement déroulé et avait été réellement capté. L’œuvre résultante est le processus global de création, de la conception jusqu’à sa réception.
En résumé, les « écritures » doivent répondre à deux contraintes : se traduire par un protocole interprétable dans un milieu agravitaire en une forme momentanée observable
(d’une fraction de seconde à la durée d’une mission) et proposer un dispositif de restitution, sur Terre.
La proposition de ces écritures agravitaires est issue en partie du retour d’expérience de la création de l’œuvre Télescope intérieur d’Eduardo Kac avec Thomas Pesquet (voir Annexe VI) :
une performance pour un spationaute, une paire de ciseaux, 2 feuilles, 1 caméra et 1 protocole. Toutes les phases du dispositif ont été documentées et, dans ce cas, exceptionnellement réalisées.
La description des différentes phases, puis le travail dans l’atelier de l’artiste, à l’Observatoire de l’Espace et à l’ESA, la coopération sur Terre avec Thomas Pesquet, la performance en orbite et sa captation, les restitutions
sur Terre d’un ensemble d’éléments, forment ainsi une « écriture agravitaire » dans un continuum de transformation atelier / habitacle orbital / galeries, avec comme « transitoire observable »
filmé en vidéo la genèse entre les mains de Thomas Pesquet puis l’évolution en micropesanteur du « télescope intérieur » dans différentes parties de la station spatiale.
III – Le projet demandé
L’appel à projets lancé vise à proposer un protocole d’écritures agravitaires organisé selon six phases, chacune nécessitant d’imaginer un dispositif matériellement réalisable :
A - une conception sur Terre en condition de faisabilité actuelle, (dispositif de dimensionnement, de simulation, maquette, etc.) avec ses présentations hypothétiques à différents partenaires potentiels du projet,
B - un relai par une transmission Terre – orbite (dispositif de mise en mémoire de spationaute ou numérique, message, encodage, relai de mode d’emploi, répétition, etc.),
C - une interprétation / mise en forme / observation en orbite (dispositif de mise en œuvre en microgravité réalisable en station orbitale),
D - une captation en orbite (dispositif d’observation, de mémorisation),
E - une transmission retour de la captation (dispositif retour orbite-Terre),
F - une restitution terrestre réelle et mise en présence pour des publics (dispositif d’exposition et/ou de monstration).
L’ensemble de ces phases constitue un dispositif susceptible de traductions créatrices variées. La première fait l’objet d’une réelle matérialisation – au sein de l’Observatoire de l’Espace et de ses lieux de monstrations.
Dans le cas le plus probable où les quatre phases B, C, D, E, demeureront virtuelles, l’écriture en prend acte, fonctionne comme un simulateur de réalité, et visera à leur conférer le poids d’événements se déroulant réellement.
La dernière phase, la F, sera financée si le projet est sélectionné et fera naturellement l’objet d’une restitution. Des espaces d’exposition et/ou de monstration (dans le cas d’un élément performatif)
de dimension variable seront mis alors à disposition par l’Observatoire de l’Espace du CNES et l’artiste en tiendra compte pour l’écriture et la mise en œuvre de la dernière phase.
IV – Financement
La phase de sélection ne fait l’objet d’aucune rémunération. Un budget de 3000 euros sera attribué à l’artiste sélectionné pour réaliser la phase F et produire « une écriture agravitaire ».
Cette somme comprendra le travail fourni - création et production – (2000 euros) ainsi que l’acquisition (1000 euros) de la pièce finale qui intégrera, à l’issue de la phase F,
la collection de créations artistiques En Orbite de l’Observatatoire de l’Espace du CNES,
la cession des droits patrimoniaux, se faisant quant à elle à titre gracieux.
Ancrée dans les conditions actuelles forcément limitatives du point de vue technique, financier, éthique ou politique, cette collection se constituera à partir d’œuvres conçues pour être virtuellement perçues en impesanteur, ou, cas exceptionnel,
pour y être réalisées effectivement – vols paraboliques ZERO G ou station orbitale – puis documentées pour être reçues sur Terre. Les Écritures agravitaires y seront rassemblées.
V – Calendrier

  • 16 novembre 2020 : date limite de réception des dossiers - Décembre 2020 : pré-sélection des dossiers
  • Mi-décembre 2020 : rencontres avec les artistes présélectionnés - Janvier 2021 : annonce du lauréat et début de la phase de production - Mars 2021 : livraison et restitution de l’Écriture agravitaire
    VI – Dossier de candidature
    Pour être recevable, le dossier de candidature, rédigé en langue française, sera obligatoirement constitué des pièces suivantes, datées et signées par le candidat :
    Le formulaire de candidature complété et signé.

Un dossier dont la forme et la taille sont laissées à l’appréciation de l’artiste mais qui dans
tous les cas devra donner une description de l’ensemble des cinq premières phases avec une esquisse de la sixième phase ainsi qu’une évaluation du coût de production de cette dernière phase.
Un dossier artistique présentant une sélection de créations antérieures avec un curriculum vitae actualisé.
Admissibilité
Cet appel à candidatures s’adresse à des artistes professionnels âgés d’au moins 18 ans au moment du dépôt du dossier. L’appel à projets est ouvert à tous les artistes de nationalité française ou étrangère.
Les textes et échanges avec l’Observatoire de l’Espace du CNES se feront en français. La maitrise de la langue française est impérative.
L’artiste devra pouvoir aisément participer aux réunions au siège du CNES à Paris et à tout autre sollicitation de l’Observatoire de l’Espace sans que cela ait un impact sur le budget. Les artistes seront contactés individuellement
par mail dans un délai d’une semaine après la tenue de la commission. L’Observatoire de l’Espace du CNES rencontrera une sélection d’artistes afin qu’ils puissent présenter leur projet à la commission.
Critères de choix
Après examen des dossiers de candidature, la commission choisira l’artiste selon les critères suivants :
Motivation pour le projet Pertinence de la proposition vis-à-vis de l’aspect agravitaire
Adéquations stylistiques, thématiques et formelles de la proposition par rapport au parcours antérieur de l’artiste Références professionnelles
Les dossiers de candidatures doivent être adressés le 16.11.2020 au plus tard à 16h (Voir formulaire de candidature)
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Pour toute information complémentaire : observatoire.espace@cnes.fr ou lena.neyen@sciencespo.fr
Formulaire de candidature, dossier et annexes : http://www.cnes-observatoire.fr/ode-projets/2020-07-17_ecritures-agravitaires/appel-a-creation-ecritures-agravitaires.html
http://www.cnes-observatoire.fr


APPEL À PROJET ARTISTIQUE

Projet d’enseignes / ERVY-LE-CHATEL
Les dossiers de candidatures doivent être adressés avant le 16.10.2020, minuit
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Ervy-le-Châtel, Petite Cité de Caractère située aux confins de la Champagne et de la Bourgogne, souhaite mettre en place des enseignes pour les commerces et établissements du centre-bourg.
Les commerces participent au paysage et à l’esthétique générale des rues de la Cité. Cet appel à candidature a donc pour but d’unifier les enseignes dans le secteur historique d’Ervy-le-Châtel et d’offrir aux visiteurs et habitants une meilleure lisibilité,
tout en respectant le patrimoine des rues d’Ervy-le-Châtel. La commune souhaite à travers ce projet accompagner la valorisation du patrimoine bâti remarquable : une halle circulaire en pans de bois du début du XIXe siècle,
l’église Saint-Pierre-ès-Liens du XVIe siècle exceptionnelle par sa statuaire et ses vitraux, la Porte Saint-Nicolas datant du XIIIe siècle, la seule porte médiévale subsistant encore dans l’Aube,
ou encore la prison du XIXe siècle qui accueille aujourd’hui la Maison du Vitrail d’Armance.
La Maison du Vitrail est un centre d’interprétation sur le savoir-faire verrier qui, avec les vitraux exceptionnels de l’église, place le verre au cœur du patrimoine cher aux ervytains.
Facteurs techniques
Ces enseignes seront posées au cœur d’une Aire de Valorisation de l‘Architecture et du Patrimoine, dont les prescriptions seront à respecter.
Règlement de l’AVAP : http://www.ervy-le-chatel.fr/fr/information/78010/dossier-avap-2015
Les enseignes en caissons éclairées de l’intérieur, les enseignes clignotantes et à défilement de message sont interdites.
Les enseignes doivent être de type « enseigne drapeau » simples et fixées dans la hauteur du rez-de- chaussée (partie inférieure à hauteur de 3 mètres minimum).
Elles doivent avoir des dimensions adaptées aux façades et au caractère de la Cité.
Les matériaux peuvent être originaux, mais doivent répondre à certains critères : ils doivent assurer la pérennité et la solidité des enseignes, et permettre un nettoyage aisé.
Le verre n’est pas imposé, il est cependant un élément important à Ervy-le-Châtel.
La Maison du Vitrail d’Armance - 03.25.41.47.60 maisonduvitrail-ervy-le-chatel@orange.fr Mairie d’Ervy-le-Châtel - 9 boulevard Belgrand, 10130 Ervy-le-Châtel
La structure de l’enseigne drapeau peut être plate ou bien en volume, ajourée ou pleine, en relief ... Une certaine légèreté doit être recherchée par rapport aux fixations, qui doivent être comprises dans le rendu final.
L’éclairage sera indirect et discret, pour respecter l’harmonie du centre bourg historique.
Les commerces et structures
Liste des établissements participants au projet :
Boulangerie 3 salons de coiffure Epicerie Fleuriste Café Restaurant Café Pizzeria Tabac Presse Electroménager 2 Ateliers de peintre Atelier de céramiste Ateliers verriers Pharmacie Médecin
Dentiste Kinésithérapeute Cabinet d’infirmier Chambres d’hôtes Traiteur Brocanteur Banque Bureau de Poste Maison du Vitrail d’Armance Médiathèque Thibaud de Champagne Mairie
Siège social de la Communauté de Communes Chaourçois Val d’Armance Office de Tourisme
Il pourra y avoir des commandes d’enseignes ultérieurement en fonction de l’évolution des commerces et des établissements publics.
La Maison du Vitrail d’Armance - 03.25.41.47.60 maisonduvitrail-ervy-le-chatel@orange.fr Mairie d’Ervy-le-Châtel - 9 boulevard Belgrand, 10130 Ervy-le-Châtel
Cet appel à candidatures est ouvert à tous les artisans, artistes, individuels ou en groupement pouvant répondre à la contrainte du travail sur un support et sujet imposé.
La commune d’Ervy-le-Châtel souhaite à travers ce projet permettre notamment à de jeunes créateurs de s’exprimer.
La première phase correspond au choix d’une candidature, pour cela, les dossiers de candidatures doivent être adressés avant le 16.10.2020 minuit
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à maisonduvitrail-ervy-le-chatel@orange.fr ou par courrier à : Monsieur le Maire, 9 boulevard Belgrand 10130 Ervy-le-Châtel.
Le dossier doit comporter :
Un curriculum vitae du créateur (nom, prénom, date de naissance, adresse, téléphone, mail, site internet, parcours de formation, références ...) ;
Un texte de présentation des créations proposées (inspirations, techniques, ...) ;
Des visuels pour un commerce type (croquis, dessins, maquettes, études, principes de fabrication …) déclinable pour les autres commerces et structures ;
Des photographies de pièces personnelles pouvant compléter la présentation du projet ;
Le coût pour une enseigne avec support de fixation, de la fourniture, la pose et la rémunération de la prestation du candidat (seul le candidat retenu pour la phase 2 sera rémunéré).
Il est aussi demandé de définir le type d’éclairage, la marque et la couleur des appareils (l’installation de l’éclairage n’est pas demandée au candidat).
Un jury composé de représentants de la Commune d’Ervy-le-Châtel, de l’Architecte des Bâtiments de France et de commerçants se réunira pour sélectionner une candidature parmi les dossiers reçus.
Les créateurs seront informés au plus tard le 31 octobre 2020 du choix ou non de leur candidature.
Deuxième phase : réalisation des enseignes
La deuxième phase concernera le candidat, ou la candidate, retenu. Pour cette phase, le candidat retenu recevra la commande par la commune pour la réalisation et la pose des enseignes,
selon le coup indiqué dans sa proposition lors de la première phase du projet.
La Maison du Vitrail d’Armance - 03.25.41.47.60 maisonduvitrail-ervy-le-chatel@orange.fr Mairie d’Ervy-le-Châtel - 9 boulevard Belgrand, 10130 Ervy-le-Châtel
Conditions techniques
Le candidat qui sera sélectionné pour participer accepte les termes de participation suivants : achever la pose des enseignes pour le 17 mai 2021.
Pour en savoir plus sur la Cité
https://petitescitesdecaractere.com/fr/nos-petites-cites-de-caractere/ervy-le-chatel
https://www.youtube.com/watch?v=FI56v51ouCc https://www.youtube.com/watch?v=JAlehpVWqTA https://www.youtube.com/watch?v=SocACc3yjII
Pour plus de renseignements : La Maison du Vitrail d’Armance - 03.25.41.47.60 maisonduvitrail-ervy-le-chatel@orange.fr
La Maison du Vitrail d’Armance - 03.25.41.47.60 maisonduvitrail-ervy-le-chatel@orange.fr Mairie d’Ervy-le-Châtel - 9 boulevard Belgrand, 10130 Ervy-le-Châtel


APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE

Résidence mission d’appui artistique du 7 septembre au 7 novembre 2020 en direction des artistes relevant de tous les domaines d’expression artistique / HUBY-SAINT-LEU
L’ensemble est à envoyer pour le 20.08.2020, dernier délai.
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Éléments de contexte Des partenariats en faveur des vacanciers, reposant sur une articulation organisée entre tourisme à vocation sociale et solidaire d’une part, et faits artistiques et culturels d’autre part, s’expérimentent en région Hauts-de-France depuis l’été 2017.
Pour ce faire, la direction régionale des affaires culturelles Hauts de France et l’union nationale des associations de tourisme – région Hauts de France ont choisi, après concertation, de privilégier une forme d’intervention plaçant en situation centrale
et rayonnante l’artiste et mobilisant plus particulièrement les différents professionnels en activité au sein d’établissements de vacances ou de séjour.
Ici, en l’occurrence, pour ce qui concerne ce présent appel à candidatures, il s’agit de l’équipe en activité au sein du village-vacances Ternélia – le Manoir de la Canche, situé à Huby-Saint-Leu, dans le département du Pas-de-Calais.
Cet établissement étant géré par le réseau Ternélia.
Cette forme d’intervention retenue est la résidence- mission d’appui artistique (Mi.A.A.) qui a été initiée il y a quelques années, en région Hauts-de-France, à des fins de démocratisation culturelle et plus particulièrement d’éducation artistique et culturelle tout au long de la vie.
Cette forme de résidence ne se confond, en aucun cas, avec une résidence de création. Il n’y a, en ce cadre, aucune commande d’œuvre ni enjeu de production.
L’objectif qui est généralement attaché à une résidence Mi.A.A. est d’amener, en un site précis et relativement circonscrit, comme ici, en ce village vacances, les publics qui en relèvent, momentanément ou de manière plus prolongée,
à se trouver, de manière incidente ou, au contraire, de manière très organisée, en proximité avec un artiste et de vivre avec lui des temps de rencontre et d’action où tout est possible (élaboration de micro-projets artistiques,
temps de pratique artistique, parcours artistiquement conçus de découverte de l’environnement immédiat, échanges à propos de la recherche et des œuvres de l’artiste, création d’actions voire d’événements participatifs,
coloration du quotidien du site à l’aune de la démarche et recherche artistiques qui l’animent, etc.).
Les personnes que l’on cherche à toucher, via une résidence Mi.A.A., sont plus particulièrement celles pouvant se sentir en éloignement ou du moins en situation d’intimidation vis-à-vis de la culture et de l’art.
Mais au-delà de ces personnes ce sont, plus généralement, toutes celles qui séjournent au village-vacances Ternélia-Le Manoir de la Canche qui sont susceptibles d’être concernées.
Ceci implique une relation privilégiée entre l’artiste-résident et les différents personnels travaillant au sein de l’établissement, ceux-ci incarnant la permanence en un lieu de séjour qui,
par définition reçoit de manière momentanée des personnes individuelles, des familles ou des groupes (de quelques jours à deux semaines).
C’est la totale complicité interprofessionnelle qui peut s’organiser entre ces personnels et l’artiste qui garantit la réussite d’une résidence Mi.A.A.
Cette réussite est effectivement au rendez-vous dès lors que l’on se donne les moyens d’une inscription quasi naturelle et chaleureuse, dans une équipe professionnelle, d’une présence d’un professionnel d’un autre type, l’artiste.
Cette présence, par essence différente, rare même, apparaît aux yeux des partenaires de cette offre particulièrement apte à enchanter ou à poétiser un quotidien, qui plus est en un espace-temps où la disponibilité des bénéficiaires est, à priori, de mise.
C’est à cette intégration de l’artiste en son sein que s’engage l’équipe du village vacances. C’est également à l’imprégnation du site par la création et l’imaginaire développés par l’artiste que s’engage la même équipe.
Si, en tant que potentiel candidat, vous souhaitez en savoir plus à propos des Mi.A.A.
https://www.culture.gouv.fr/Regions/Drac-Hauts-de-France/Politique-et-actions-des-services/Pole-Publics-et-Territoires-Industries-culturelles/Action-culturelle-et-territoriale
Mission proposée à chaque artiste résident retenu Il s’agit donc, pour un artiste, relevant de l’un ou l’autre des domaines d’expression artistique, au cours d’une période d’un seul tenant allant du 7 septembre au 7 novembre 2020,
de résider au village-vacances Ternélia-Le Manoir de la Canche, à Huby-Saint-Leu, et d’accompagner, à raison de six jours par semaine, les équipes d’animation et d’accueil des vacanciers venant y séjourner afin de mener à bien,
en faveur des familles et groupes qui s’y succèdent des processus très variés d’action culturelle et d’action artistique ainsi que des temps de pratique artistique qui soient fortement imprégnés de la recherche et de la démarche artistiques qui l’animent.
L’expérimentation, le renouvellement permanent des propositions, l’action participative, l’inattendu et le joyeux mais aussi le questionnement sont particulièrement souhaités.
Si aucune thématique n’est imposée par les partenaires initiateurs de cette résidence-Mi.A.A., ceux- ci suggèrent, sans aucun caractère d’obligation toutefois, que chaque artiste-candidat puisse en proposer une ou, du moins une sorte de fil rouge.
Ainsi, il semble intéressant, par exemple, de s’appuyer sur une mise en évidence de l’articulation pouvant exister entre sa recherche artistique propre et l’imaginaire collectif qui peut se rattacher à l’idée de vacances ou d’un village-vacances en particulier.
L’artiste résident est, par ailleurs, invité à venir résider, accompagné d’un ensemble d’œuvres ou de formes artistiques légères déjà réalisées et disponibles à des fins de diffusion intensive,
au sein de l’équipement et éventuellement à sa périphérie durant la période de résidence. Cet ensemble pouvant être également complété d’un ensemble documentaire renseignant sur l’activité de l’artiste-retenu.
En amont de la période de résidence à proprement parler, l’artiste retenu est invité à venir vivre une période d’immersion de deux jours entre le 31 août et le 6 septembre 2020 au sein du village vacances,
afin d’y faire connaissance avec l’équipe et le site, de se doter des repères et des points d’appui nécessaires.
Conditions Il s’agit pour cette résidence d’une mission à temps plein, en toute exclusivité (cet engagement est impératif).
En ce qui concerne la rémunération de l’artiste retenu, le coût total employeur ne pourra, en aucun cas, excéder, pour les deux mois de résidence et les deux jours d’immersion, 8 800 euros, (rémunération de l’artiste,
charges et cotisations afférentes et, le cas échéant, les droits d’auteur).
Il est par ailleurs précisé que le cadre d’emploi applicable est le régime général, s’agissant ici d’action culturelle. La rémunération sera ainsi formalisée par un contrat de travail à durée déterminée et un bulletin de salaire.
Toutefois, pour les artistes relevant du statut de l’intermittence, il est signalé qu’une partie de la mission (la composante diffusion en l’occurrence si elle est bien conforme au descriptif et règles en vigueur pour ce statut)
peut faire l’objet d’une rémunération au cachet quand la nature de l’activité le permet (cela peut représenter environ 30 % de la mission et donc, le cas échéant, de la rémunération totale).
L’artiste retenu bénéficiera, à titre gracieux, d’un hébergement au sein du village vacances. Ses repas seront également pris en charge. Ainsi que deux voyages aller-retour de son lieu d’habitation au village vacances Ternélia-Le Manoir de la Canche.
Un budget sera également consacré aux éventuels besoins en matière de fongibles et de petites fournitures.
Ces moyens ont pu être mobilisés conjointement par le ministère de la culture – direction régionale des affaires culturelles Hauts de France (DRAC), l’union nationale des associations de tourisme – région Hauts de France (UNAT).
Pour faire acte de candidature Chaque candidat, de nationalité française ou étrangère, a déjà à son actif une production conséquente et doit être en mesure de s’impliquer pleinement dans ce type particulier d’action que représente la résidence-Mi.A.A.
Chaque candidat est également en mesure de fédérer autour de sa présence et de son œuvre la communauté au travail et la communauté en séjour au village vacances Ternélia-Le Manoir de la Canche. Il maîtrise l’usage oral de la langue française.
Les éléments à fournir constituent un ensemble, d’un seul tenant de préférence, à adresser, par voie électronique uniquement, sous format, PDF à l‘adresse suivante : maximedenele@hotmail.fr
Cet ensemble comprend : un dossier artistique présentant la démarche et la production artistiques du candidat ; un curriculum vitae ;
un courrier de motivation confirmant son acceptation du principe de présence exclusive et faisant état d’un certain nombre de pistes qui seront empruntées au cours de la résidence-Mi.A.A. ;
une liste des œuvres et objets artistiques, voire des documents complémentaires, que le candidat propose de diffuser durant la résidence-Mi.A.A.
L’ensemble est à envoyer pour le 20.08.2020, dernier délai.
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Annonce du choix de l’artiste-résident retenu
de la direction régionale des affaires culturelles Hauts-de-France (DRAC), de l’union nationale des associations de tourisme – région Hauts de France ( UNAT),
de l’association régionale pour le tourisme éducatif et social (ARTES), du village-vacances Ternélia-Le Manoir de la Canche,
se réunira, au plus tard, entre le 20 et le 27 août 2020, et procédera au travail de pré-sélection, puis de sélection.
Le choix définitif de l’artiste-résident est annoncé, au plus tard, le 31 août 2020.
Important : compte tenu des circonstances exceptionnelles liées à l’épidémie de COVID19, et aux mesures de déconfinement progressives qui seront mises en œuvre,
si d’aventure la période de la résidence-mission venait à évoluer, les candidats en seraient alertés dès que possible.
Liens utiles Pour tout renseignement complémentaire : contacter Monsieur Maxime Denele : maximedenele@hotmail.fr
Pour faire plus ample connaissance : avec l’ UNAT : https://www.unat.asso.fr/unat
avec le Manoir de la Canche : https://www.lemanoirdelacanche.com
avec la DRAC Hauts de France : https://www.culture.gouv.fr/Regions/Drac-Hauts-de-France
et avec les différents dispositifs d’action culturelle et d’éducation artistique disponibles en Hauts- de-France : https://www.culture.gouv.fr/Regions/Drac-Hauts-de-France/Politique-et-actions-des-services/Pole-Publics-et-Territoires-Industries-culturelles/Action-culturelle-et-territoriale


APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE

"Résidence tremplin 2020" en direction des artistes du spectacle vivant et des arts plastiques / HAUTS-DE-FRANCE
DOSSIER : https://www.culture.gouv.fr/Aides-demarches/Appels-a-projets/Residences-Tremplin
Date Limite : 30.08.2020
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Ce dispositif propose une première aide à un artiste en début de parcours professionnel, soutenu à cet effet par un partenaire culturel impliqué sur un territoire.
Sur une période donnée, l’artiste bénéficie d’un accompagnement spécifique via des temps de présence et travail réguliers, dans la structure partenaire ou le territoire d’action de cette dernière.
Cet accompagnement doit faire l’objet d’un programme préalablement établi entre l’artiste et le partenaire. Il a pour objectif de soutenir l’artiste dans la définition de son projet artistique et de favoriser son insertion dans un parcours professionnel.
Dossier de candidature et cahier des charges
Pour le dispositif : le dossier comprend : le cahier des charges et le dossier de candidature à retourner uniquement par voie électronique
Les pièces à joindre
Précisions importantes sur les éléments du dossier à fournir
Le cahier des charges devra impérativement être rempli par saisie informatique *SOUS LE LOGICIEL LIBRE OFFICE* version stabilisée
Ce logiciel est disponible en accès libre et gratuit : https://fr.libreoffice.org/download/libreoffice-fresh/
Le dossier doit être enregistré sur votre ordinateur avant de l’ouvrir.
Attention, l’autorisation de l’utilisation des macros est indispensable pour compléter le dossier.
Le CERFA* sera complété et envoyé, signé, sous format pdf (pas de signature sur une page jpg. De même pas de budget joint à part, ni autres éléments).
*utiliser uniquement la nouvelle version CERFA disponible en téléchargement sur le site : https://www.service-public.fr/associations/vosdroits/R1271
Le RIB sera adressé sous format .pdf.
Si une adresse est mentionnée sur ce RIB, celle-ci sera en concordance avec celle du siège social et celle du SIREN.
Tout message dépassant 6Mo (pièces jointes incluses) ne peut parvenir aux messageries relevant du ministère de la culture et de la communication.
Aussi, si votre envoi dépasse cette limite, je vous invite à envoyer un courriel à l’adresse sylvain.archo@culture.gouv.fr
Une invitation par zephyrin 2- culture vous sera transmise via un menu "Invitation de dépôt" afin de déposer un ou plusieurs fichiers.
Pour tout renseignement et envoi des dossiers de candidature : Direction Régionale des Affaires Culturelles Hauts-de-France – Pôle Création sylvain.archo@culture.gouv.fr 03 28 36 62 07


APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE

Résidence-mission 2020/2021 dans le cadre du Contrat local d’éducation artistique CLEA de la ville de Massy / MASSY
L’ensemble du dossier est à adresser pour 25.09.2020 au plus tard, 18h délai de rigueur
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Thématique : LA MATIERE
Pour le CLEA 2020/2021, la Ville de Massy avec l’appui de la DRAC ILE DE FRANCE lance un appel à candidatures pour 1 résidence-mission d’artiste ou collectif d’artistes s’inscrivant dans le domaine des arts visuels autour d’un thème commun, la matière,
agrémentée d’un parcours artistique et culturel pour les participants et plus largement la population massicoise.
Ce thème permet d’inscrire le CLEA dans les actions de préfiguration que la ville de Massy mène avec le Centre Pompidou qui doit ouvrir en 2025 à Massy son Pôle de création et de conservation,
pôle qui accueillera les réserves du Centre Pompidou, les ateliers de restauration/conservation et un lieu ouvert au public. La matière, les matériaux, leur manipulation/transformation par le geste de création,
leurs propriétés et donc le lien aux sciences sont autant de sujets que nous souhaitons voir abordés par l’artiste ou le collectif en résidence mission.
Une résidence mission pour un artiste ou collectif autour de la matière, pour explorer et développer la réflexion autour du « faire » dans l’art en proposant une approche sensible et cognitive de l’art, fondée sur l’expérience multi-sensorielle.
Entrer dans l’art par la matière peut paraître chose facile pour autant, la notion de matière est forcément complexe. Bien qu’à l’ère du numérique, du virtuel, du dématérialisé, l’expérience visible
et la confrontation physique restent les moteurs d’une relation constitutive entre le sens et le sensible. Dans une perspective dynamique et concrète, la matière devient un corps plastique transformable,
une matière-matériau définissable en tant que manière d’être modulable qui pousse « faiseurs » et observateurs à voir autrement.
En bousculant les repères habituels, nous souhaitons pouvoir examiner les tensions sous-jacentes à la forme dessinée, qu’il s’agisse d’utiliser des matériaux composites, naturels ou immatériels.
La matière en tant que médium perceptible, sensible et dynamique de telle sorte qu’elle puisse inclure des qualités opposées comme le très mince et l’incassable ou encore le léger et le résistant afin que l’art apparaisse comme
« la résultante ou la rencontre de deux facteurs opposés, et par voie de conséquence complémentaires, la matière et la forme » Méredieux – 2004.
Commanditaires : Ville de Massy – Direction des affaires culturelles
Candidats : Artistes professionnels plasticiens, designers, architectes, paysagistes, scénographes…
Cadre de la résidence-mission
La ville de Massy en partenariat avec la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France et l’académie de Versailles a souhaité s’engager dans la mise en œuvre d’un second Contrat local d’éducation artistique (CLÉA).
Elle s’appuie pour cela sur la collaboration des structures culturelles du territoire. Cette dynamique s’inscrit dans un appel à candidatures pour 1 résidence-mission d’artiste s’inscrivant dans les domaines
des arts visuels pour la saison 2020/2021, agrémentés d’un parcours artistique et culturel pour les participants et plus largement la population massicoise.
Dans ce cadre, cet appel à candidature concerne la résidence-mission d’artiste s’inscrivant dans le champ artistique des arts visuels et des arts de l’espace et qui est appelée à être mise en œuvre à partir de décembre 2020.
La résidence est intégrée aux projets artistiques et culturels développés par la Direction des Affaires Culturelles des villes de Massy, pilote du projet.
La ville de Massy est très engagée pour faire progresser la sensibilisation aux arts de l’espace auprès de tous les publics, notamment en milieu scolaire, au côté de nombreux acteurs de terrain :
artistes, responsables et équipes des structures culturelles, inspecteur et conseillers pédagogiques de l’Éducation nationale, chefs d’établissements scolaires, enseignants, direction de l’éducation, Société Paris Sud Aménagement, centres de loisirs etc.
Ces nombreux partenaires réunis représentent des leviers d’action considérables qu’il convient de coordonner et d’harmoniser localement afin de réussir la mise en place d’une démarche d’éducation artistique à l’échelle de la ville.
La ville souhaite créer des projets artistiques et culturels pour et avec les habitants sur un ou plusieurs de ses quartiers et les accompagner pour qu’ils se saisissent des enjeux sociétaux
sans cesse questionnés par l’art et les artistes et de l’opportunité d’émancipation que cela représente. La résidence mission aura donc pour objet et pour site de réalisation un ou plusieurs quartiers de la ville de Massy.
Définition de la résidence-mission
La résidence-mission est organisée à des fins d’éducation artistique et culturelle en faveur d’un public d’enfants, de jeunes voire d’adultes. Elle repose sur une pleine disponibilité de l’artiste ou du collectif d’artistes, durant quatre mois,
ainsi que sur une diffusion des œuvres déjà accomplies et disponibles.
La résidence-mission ne se confond nullement avec une résidence de création puisqu’il n’y a ni enjeu de production propre à l’artiste ni commande d’œuvre.
Pour autant, le projet n’exclut évidemment pas la possibilité de production d’œuvres dans le cadre de la démarche spécifique proposée par le CLÉA avec les publics des structures partenaires du projet.
Pour l’artiste résident, il s’agit de s’engager dans une démarche éducative donnant à voir et à comprendre la recherche artistique qui l’anime ainsi que les processus de création qu’il met en œuvre (réflexion, expérimentations, réalisation).
Cette mise en évidence s’appuie sur :
Des formes d’intervention ou d’actions très variées ;
Des parcours de spectateurs construits sur la base de proposition de l’artiste en lien avec les structures de diffusion du territoire ;
La production d’une trace pouvant être conservée par les acteurs du CLÉA au-delà des limites de l’action ;
Des actions de formation à destination des professionnels du territoire.
Ces actions sont à considérer comme autant de gestes artistiques, préparés en amont avec diverses équipes issues des services municipaux de l’éducation, de la jeunesse, des espaces de proximité,
des associations de quartiers, des établissements scolaires tous degrés confondus, intervenant sur le territoire et désireuses de s’inscrire dans ce projet. Elles sont aussi préparées avec les équipes des structures culturelles concernées par le CLÉA.
Ces actions ont pour objectif de permettre à un grand nombre d’enfants, de jeunes et d’adultes d’explorer la mutation des paysages urbains et la transformation de leurs villes, de leurs quartiers, les enjeux qui y sont liés et qui les concernent directement.
Ces actions peuvent avoir lieu au sein des établissements scolaires, des centres sociaux et culturels, des centres de loisirs, des structures culturelles, ainsi que dans l’espace public ou tout autre site qui paraîtra approprié à l’artiste résident et à ses partenaires locaux.
L’artiste prendra appui sur la thématique pour définir les objectifs opérationnels de son projet et leurs modalités d’évaluation.
Parcours artistique et culturel
L’artiste ou collectif d’artiste retenu aidera la direction des affaires culturelles à élaborer un parcours artistique et culturel autour de la thématique de la matière à destination des différents publics du territoire.
Ce parcours comprendra des sorties culturelles dans des lieux dédiés à la thématique de la résidence-mission, des rencontres avec d’autres artistes, des conférences, des ateliers etc. qui pourront être menés par d’autres artistes ou professionnels.
Il pourra proposer un choix d’œuvres appartenant à sa production ou à celle d’autres artistes dont il considère qu’elles participent au projet de résidence-mission.
Les partenaires s’engageront à en diffuser au minimum une durant la saison 2020/2021 et le coût TTC de ses propositions sera à définir avec la ville d’accueil.
Enjeux et objectifs
Le contrat local d’éducation artistique est à considérer comme une démarche de politique culturelle dont les résultats doivent irriguer les démarches actives des populations du territoire.
Il doit laisser des traces, dans la durée, installer des processus d’intelligence collective qui feront sens pour chaque partenaire impliqué.
Les objectifs à la mise en place du CLÉA sont :
Permettre au public visé de percevoir les enjeux de questions de société à travers une expérience artistique et culturelle ; développer l’esprit critique par le biais de la discussion,
l’analyse des ressentis, la perception des relations entre les membres d’un ensemble
Permettre au plus grand nombre d’appréhender la découverte des processus de création
Mettre en place un projet d’éducation artistique et culturelle permettant aux publics visés d’appréhender l’acte artistique et comment il s’insère dans une réflexion plus globale sur la ville
Permettre au plus grand nombre d’acquérir une expérience originale à travers la pratique artistique et de découverte des processus de création de l’artiste tout en explorant la transformation de leur ville,
de leurs quartiers, les enjeux qui y sont liés et qui les concernent directement
Faire évoluer, par la création, l’image des lieux et renouveler ainsi leur attractivité
Aboutir à la production d’une trace significative liée au geste artistique ;
Mettre en évidence pour les publics l’existence d’un maillage de lieux ressources dans leur environnement proche notamment par la construction de parcours du spectateur ;
Contribuer dans le cadre de ses moyens au développement culturel et artistique du territoire local ;
Tendre à réduire ainsi les inégalités en matière d’accès à l’art et à la culture et contribuer au développement culturel et artistique du territoire.
Contribuer au Parcours d’Education Artistique et Culturelle de l’élève ;
Impulser des projets inter-école et inter-établissement.
Déroulement
Au cours du premier mois de résidence, l’artiste résident rencontre les différentes équipes qui le souhaitent. Il peut s’agir aussi de professionnels de l’action sociale, de la politique de la ville, de la culture, de l’enfance et de la jeunesse.
Ceci afin de permettre à ces équipes d’appréhender au mieux la démarche artistique de l’artiste et de partager avec lui leurs réalités et leurs projets, de construire les actions à mettre en place et de bâtir les parcours de spectateurs.
Ces rencontres peuvent revêtir des formes extrêmement variées afin d’éviter tout caractère répétitif. Elles peuvent également être collectives, en réunissant différents types de professionnels
(animateurs de centres de loisirs, responsables d’associations d’un même quartier, par exemple).
Ces professionnels sont également invités à évoquer avec l’artiste la manière dont ils aimeraient faire percevoir sa présence, ainsi que celle de son œuvre, au public qu’ils fédèrent.
Un temps de formation et d’expérience est proposé aux référents et aux équipes pédagogiques dans le cadre du « Plan De Formation » de l’Académie de Versailles.
Cette journée, ateliers expériences encadrés par les artistes, est à destination des adultes référents des groupes et des équipes pédagogiques pour leur faire vivre le projet comme les publics ciblés
et ainsi renforcer leur rôle de médiateur auprès de leurs publics respectifs. Sa date n’est pas encore décidée, ce sera courant janvier et la présence de chaque artiste est obligatoire.
Au cours des trois mois suivants se déroulent les actions prévues. Il s’agit de projets artistiques qui s’inscrivent dans le projet des structures impliquées et qui chercheront à le questionner, l’interroger, voir le nourrir.
Il s’agit de ces gestes artistiques évoqués précédemment et qui se conçoivent le plus souvent possible en prenant la structure d’éducation, de loisirs ou à vocation sociale pour unité de référence.
Cette présence professionnelle est également conçue en tenant particulièrement compte des contextes d’exercice des différents professionnels concernés, de leurs différents degrés d’implication possible ainsi que des participants volontaires.
Tout au long de ces quatre mois, l’œuvre existante de l’artiste et disponible à la diffusion est largement présentée sur le territoire.
Les modes de médiation de ces productions sont aussi variés et renouvelés que possible, ils tendent également à l’innovation.
Avec les équipes de la ville, sera poursuivi l’objectif d’une collaboration et d’une mutualisation des réflexions et des actions au service de la rencontre entre objectifs artistiques et éducatifs.
Pilotage de la résidence-mission
Dans le cadre de ce CLÉA, la direction des affaires culturelles de Massy est désignée pilote de la résidence-mission.
Elle a pour mission de guider les artistes résidents dans leur découverte du territoire, de veiller aux bonnes conditions de leur séjour et de leur travail,
d’organiser les répétitions et la diffusion de leurs œuvres, de faciliter les rencontres avec les groupes de professionnels (1 phase de la résidence-mission) et d’aider à la réalisation des actions (2 phase de la résidence-mission).
Elle souhaite, pour ce faire, associer à toutes les étapes du déroulement de la résidence-mission les structures associatives et culturelles de son territoire et mettra en place pour cela un comité de pilotage.
Le Comité de pilotage du CLÉA : il est constitué des représentants ou délégués des signataires du contrat, de la DAC du territoire et des représentants des partenaires (Cf. annexe 1).
Il valide les orientations générales du contrat et les actions prioritaires à mettre en œuvre chaque année et prend acte de son évaluation. Il se réunit une fois au lancement des résidences-mission
pour choix des attributaires des résidences missions parmi une sélection du comité opérationnel, une fois pour validation du projet d’action et une fois à son terme pour son évaluation. La DAC Massy en assure le secrétariat général.
Période et durée de la résidence
La période de résidence est prévue pour une durée de 4 mois se répartissant comme suit :
un mois d’appropriation du territoire, heures réparties entre mi-octobre 2020 et mi-janvier 2021
une journée de formation des référents des groupes et des équipes pédagogiques, janvier ou février 2021
trois mois pour la seconde phase de résidence, interventions pouvant s’étaler de février à mai 2021
une ou plusieurs restitutions des actions sont envisagées courant mai - juin 2021
Conditions financières et moyens mis à disposition
L’artiste ou collectif sélectionné bénéficie d’une allocation de résidence de la DRAC d’un montant de 12.000 euros (allocation calculée sur la base de 3.000 euros par mois, charges sociales comprises).
La ville apportera son concours à l’allocation de résidence à hauteur de 12.000 euros dont 50 % en nature (mise à disposition de salles, de matériel, de personnel, diffusion de l’œuvre existante et disponible de l’artiste…).
L’artiste retenu doit être autonome dans ses déplacements et disposer, de préférence, d’un véhicule personnel, ses frais de déplacement sur le territoire étant pris en charge (transports en commun et/ou carburant).
En revanche, les frais de déplacement de son lieu d’habitat personnel au territoire de mission restent à sa charge. Il pourra bénéficier de la cantine municipale pour sa restauration.
Le règlement de cette allocation se fera en 2 versements :

  • 50 % au démarrage de l’opération à la signature de la convention avec la ville de Massy ;
  • 50 % à l’issue de l’opération, sur attestation de service fait signée par la ville de Massy sur avis du Comité de pilotage.
    Cadre juridique
    Un contrat de résidence spécifiant les engagements respectifs des structures culturelles et de chaque artiste accueilli sera signé avant le début de la résidence.
    Candidature
    Peuvent faire acte de candidature tous artistes professionnels résidant en France.
    Chaque artiste candidat doit avoir à son actif une production artistique conséquente, une expérience significative dans le domaine de la pédagogie et/ou de la médiation, et être en mesure de s’impliquer pleinement
    dans ce type particulier d’action que représente la résidence-mission. Il doit en effet être en capacité de s’engager dans la durée pour 4 mois sur la résidence-mission (pas nécessairement en continu).
    L’artiste doit maîtriser l’usage oral de la langue française.
    Les éléments à fournir sont :
    une note d’intention présentant les orientations du projet proposé. Elle prendra appui sur la thématique pour décliner des objectifs opérationnels.
    un curriculum vitae faisant état notamment des expériences pédagogiques ;
    un dossier de présentation de la démarche de l’artiste candidat et de sa production existante, ainsi que le calendrier de diffusion de ses œuvres.
    L’ensemble du dossier est à adresser pour 25.09.2020 au plus tard, 18h délai de rigueur
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    par envoi électronique aux adresses : k.pommelet@mairie-massy.fr h.legoff@mairie-massy.fr p.kechrid@mairie-massy.fr p.ollier@mairie-massy.fr
    Le dossier artistique est à proposer sous format informatique. Tout dossier incomplet ou hors délai ne pourra être retenu.
    Les éléments transmis par les candidats non retenus seront restitués sur simple demande.
    Dans le cas où un artiste candidat souhaite enrichir cet envoi de supports physiques, il le précise dans son envoi électronique et adresse ces pièces par voie postale à : Direction des affaires culturelles-Projet CLÉA 18 rue Gabriel Péri 91300 Massy
    Les éléments transmis par les candidats non retenus seront restitués sur simple demande.
    Les différentes candidatures reçues seront examinées par un comité de sélection réunissant des représentants de la ville de Massy notamment la DAC et de la DRAC Ile-de-France.
    Trois candidats maximum seront sélectionnés. Ils en seront informés le 9 octobre au plus tard et ensuite reçus par le comité de pilotage le 16 octobre 2020
    Il est donc impératif que l’artiste soit disponible à cette date (un candidat non disponible ne pourra être sélectionné).
    Le résultat de la sélection est communiqué par courrier au plus tard le 20 octobre 2020.
    Les différentes candidatures reçues seront examinées suivant les modalités qui leur paraîtront appropriées (cf. annexe 2, évaluation des projets).
    Pour plus d’informations Pour la ville de Massy : Madame Hélène LE GOFF 01.69.75.42.63 / Madame Karine POMMELET 01.69.75.42.76 ANNEXE 1 : Composition du comité de pilotage
    Le comité de pilotage
    Un Comité de pilotage est constitué de représentants des signataires du contrat et des partenaires susceptibles de mobiliser des acteurs :
    Pour l’Etat Le directeur de la DRAC d’Ile-de-France ou son représentant ;
    La déléguée académique à l’éducation artistique et à l’action culturelle, conseillère technique du recteur ou son représentant ;
    Le directeur des services départementaux de l’Education nationale ou son représentant.
    Pour la ville de Massy le maire ou les élus délégués représentant la collectivité dans le cadre du CLEA ;
    le directeur de l’action culturelle et/ou son adjoint le responsable du développement des arts visuels
    le directeur de l’éducation ou un représentant le directeur de la jeunesse et de la cohésion sociale ou un représentant
    Pour les partenaires (facultatif) Le directeur de l’urbanisme ou un représentant
    Le directeur de la société Paris-Sud Aménagement ou un représentant La DAC en assure le secrétariat général.
    ANNEXE 2 : Grille d’évaluation des projets
    Critères Notation (sur 100) Respect de la thématique : 20 Intérêt et clarté du projet artistique présenté : 20
    Formes et qualité des propositions d’intervention : 20 Qualité et pertinence des propositions artistiques complémentaires : 15
    Expérience pédagogique de l’intervenant : 15 Pertinence de(s) trace(s) envisagée(s) : 10.

APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE

Résidence d’éducation artistique et culturelle dans le champ des arts visuels / LAVAL
Arts visuels Quartier Ferrié Janvier – juin 2021
La date limite de dépôt des dossiers est fixée au 27.09.2020.
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I Contexte de la Résidence
Dans le cadre du Contrat Local d’Éducation Artistique et Culturelle (CLEA), la Ville de Laval, le Ministère de la Culture - Direction Régionale des Affaires Culturelles des Pays de la Loire,
et le Ministère de l’Éducation Nationale souhaitent mettre en œuvre des résidences d’action territoriale pour l’année 2020/2021.
Celles-ci se définissent comme des résidences d’éducation artistique et culturelle destinées aux habitants du territoire et prioritairement aux jeunes.
Elles reposent sur les trois piliers de l’éducation artistique et culturelle :
l’accès aux œuvres et aux artistes la pratique artistique l’acquisition d’une connaissance et l’appropriation d’un champ artistique.
Pour l’artiste ou le collectif résident, il s’agit plus particulièrement de s’engager dans une démarche de transmission donnant à voir et à comprendre la recherche artistique
qui l’anime ainsi que les processus de création qu’il met en œuvre (recherche, expérimentation, réalisation).
II La résidence d’Éducation Artistique et culturelle
La résidence d’action territoriale, organisée à des fins d’éducation artistique et culturelle, repose sur une forte disponibilité de l’artiste ou du collectif durant deux mois minimum
(soit huit semaines de présence effective, qui peuvent être échelonnées), ainsi que sur une diffusion de son œuvre en lieux dédiés ou non. Ces actions doivent être préparées en amont avec diverses équipes pédagogiques
et/ou équipes éducatives déjà impliquées dans le domaine des arts et de la culture et désireuses de s’y inscrire.
Il est essentiel que les artistes en résidence aient des capacités de dialogue, d’écoute, de mise en commun des envies et des besoins des habitants et des partenaires.
Le projet doit être suffisamment clair pour être saisi par les partenaires et suffisamment ouvert pour que chacun y contribue.
Ces actions peuvent avoir lieu au sein des établissements scolaires, de la maison de quartier, du centre de loisirs, dans l’espace public ou tout autre site qui paraîtra approprié à l’artiste ou au collectif résident et à ses partenaires locaux.
Le projet devra tenir compte de la singularité et la spécificité du quartier et ainsi que des envies et contraintes des partenaires.
La résidence comprend trois temps : un temps de médiation – découverte du site avec les groupes de jeunes
un temps de médiation – atelier de création avec les groupes de jeunes
un temps de création de l’œuvre
II – 1 Projet
Le projet se compose de trois volets distincts :
animer des ateliers de médiation auprès de groupes de jeunes du quartier par le biais d’une découverte du site et d’atelier de création artistique.
Proposer un suivi de la résidence via des supports numériques (blog, réseaux sociaux...) et/ou papier.
Restituer la résidence avec la réalisation d’une œuvre inspirée des échanges effectués avec les groupes de jeunes ayant participé au projet.
Destinée à accompagner le processus d’aménagement du quartier sur une quinzaine d’années, cette œuvre doit pouvoir être mobile afin de susciter de nouveaux usages,
révéler les qualités d’un lieu, proposer de nouveaux points de vue telle une ouverture sur la ville…
Elle sera réalisée à partir d’un marronnier destiné à être abattu car malade.
Ainsi, le fantôme de cet arbre imposant et visible actuellement de tous continuera à « hanter » le quartier. Ce volet du projet s’effectuera en partenariat avec les acteurs locaux du quartier :
SPL LMA (Société Publique Locale Laval Mayenne Aménagements) ainsi que les services de Laval Agglo et de la Ville de Laval (urbanisme, espaces verts...).
Un volet optionnel pourra être l’organisation d’une exposition présentant les œuvres de l’artiste.
II – 2 Objectifs du projet
L’objectif de cette résidence d’artiste est triple : Attirer l’attention sur la transformation urbaine Sensibiliser à la création architecturale et plastique in situ
Encourager une pratique aussi bien artistique que culturelle à travers la rencontre avec des œuvres plastiques et architecturales
II – 3 Déroulement du projet
Une première étape sera à effectuer en amont de la résidence, dès que l’artiste ou le collectif aura été sélectionné. Elle consistera à :
Rencontrer l’équipe du service patrimoine et médiation de la Ville de Laval, service porteur du projet, accompagné de la SPL Laval Mayenne Aménagements, aménageur de la zone, afin de définir les modalités de réalisation de l’œuvre.
Mettre en place avec le service patrimoine et médiation une démarche de découverte sensible du quartier, avec un échange autour de ses caractéristiques plastiques
L’artiste ou le collectif sera ensuite amené à prendre contact avec les partenaires intéressés pour participer à la résidence, incluant établissements d’enseignement primaires et secondaires,
maison de quartier, centre de loisirs, RAM et autres dispositifs spécifiques (ITEP, CLAS) dans le cadre d’une rencontre mise en place par le service patrimoine et médiation. Suite à cette rencontre des acteurs, le projet sera défini pour chaque structure partenaire.
Au cours de la seconde étape, en compagnie du service patrimoine et médiation, l’artiste ou le collectif échangera autour de la découverte architecturale et plastique du quartier
avec les jeunes de 3 à 25 ans appartenant aux établissements d’enseignement primaires et secondaires, maison de quartier, centre de loisirs, RAM (Relais Assistante Maternelle) et autres dispositifs spécifiques comme l’ITEP ou le CLAS.
L’artiste ou le collectif mettra en place des ateliers de création d’œuvre(s) plastique(s), prenant la forme d’une restitution sensible des visites.
La dernière étape sera une restitution de la résidence sous la forme d’une œuvre mobile. Elle se déroulera début juillet 2021 et sera l’occasion d’une présentation à l’ensemble des acteurs et partenaires du projet du processus de création et de l’œuvre.
III Présentation du site
III – 1 Laval, Ville d’Art et d’Histoire
Le label « Villes ou Pays d’Art et d’Histoire » est attribué par le ministère de la Culture à des collectivités locales qui souhaitent valoriser leur patrimoine, favoriser la création architecturale et promouvoir la qualité dans les espaces bâtis ou aménagés.
Il s’appuie sur une définition particulièrement riche de la notion de patrimoine puisqu’il concerne aussi bien l’ensemble du patrimoine bâti de la ville que les patrimoines naturels, industriels, archéologiques ou immatériels ainsi que la mémoire des habitants.
Cette volonté se traduit par la mise en œuvre d’une convention « Ville d’Art et d’Histoire » ou « Pays d’Art et d’Histoire », élaborée en concertation avec les communes à partir d’objectifs de valorisation concertés.
Pour la Ville de Laval, elle ambitionne de conforter la démarche de regroupement des compétences patrimoniales :
Médiation
Archéologie (service agréé pour l’archéologie préventive renouvelé le 16 décembre 2015)
Restauration et inventaire (conventionnement avec la Région des Pays de la Loire).
Trois axes de développement ont été retenus :
Renforcer le rayonnement de la ville en identifiant mieux le territoire lavallois, ses quartiers et son pays
Élargir l’offre de médiation en intégrant l’ensemble des nouveaux moyens de communication, les outils de réalité virtuelle et des actions participatives vers l’ensemble des publics.
Mieux intégrer le service aux actions en faveur de la ville et du territoire en mouvement (archéologie, architecture, restaurations etc.)
Les compétences liées à l’administration et la médiation sont regroupées au sein de la maison du Grand Veneur, site emblématique du centre historique, installée au 14 rue des Orfèvres.
Les missions scientifiques, archéologie et inventaire, sont installées quant à elles sur le site du musée-école de la Perrine.
III – 2 Le quartier Ferrié : un ancien site militaire en pleine reconversion
La ville de Laval compte 49 000 habitants au cœur d’une agglomération de 100 000 habitants. Ancienne caserne militaire, le quartier Ferrié est situé à proximité du Centre-Ville. Il est délimité par :
au nord, la rocade à l’est et au sud, la rue de la Gaucherie à l’ouest l’avenue de Fougères
Ce vaste territoire s’étend sur une surface de près de 50 hectares. Inscrit dans le grand quartier Ferrié – Hilard – Perdrière, il compte plusieurs établissements entrant dans le cadre de l’EAC :
établissements d’enseignement primaires et secondaires, maison de quartier, centre de loisirs, RAM et autres dispositifs spécifiques comme l’ITEP ou le CLAS.
Il fait actuellement l’objet d’un ambitieux projet de renouvellement. D’ici 15 ans, un nouveau quartier s’y sera développé, comprenant près de 3 000 nouveaux habitants, des commerces et services de proximité,
des locaux d’activités et des équipements publics. Engagé dans la labellisation éco-quartier, il se veut exemplaire à plus d’un titre :
place de la nature en ville, promotion des transports en commun, de la marché à pied et du vélo, économies d’énergie…
Engagés fin 2017, les premiers travaux d’aménagement et de construction ont concrétisé la mue progressive du quartier, et son ouverture sur la ville.
I V Aspects administratifs
I V – 1 Pilotage de la résidence
Un jury est composé d’élus et de techniciens de la Ville et de représentants des partenaires institutionnels valide les candidatures et établit une pré-sélection.
Celle-ci donnera lieu à un entretien individuel en présentiel afin de choisir l’artiste ou le collectif.
La résidence est coordonnée par le service patrimoine et médiation qui a pour mission, responsabilité de la Direction Générale Adjointe Culture – Tourisme – Sport :
d’accueillir et guider l’artiste ou le collectif résident dans la découverte du territoire
de veiller aux bonnes conditions de son séjour et de son travail
d’organiser les rencontres avec les professionnels et les partenaires du territoire d’assurer la mise en œuvre et la coordination des partenariats
d’organiser et suivre la réalisation des actions
d’organiser la diffusion de ses œuvres
d’être garant de la cohésion du projet à l’échelle du territoire d’assurer le suivi technique et administratif de la résidence.
I V – 2 Conditions matérielles et cadre juridique
Durée de la résidence : huit semaines, comprises entre janvier et juin 2021, avec possibilité de fractionnement en plusieurs périodes.
L’artiste ou le collectif sélectionné bénéficie d’une allocation de résidence de 10 000 euros. La collectivité prend en charge : les frais d’hébergements et de transports
l’achat de matériel pour les ateliers pédagogiques l’achat de matériaux pour la réalisation de l’œuvre
Un contrat de résidence-mission spécifiant les engagements respectifs des parties est signé avant le début de la résidence entre la Ville de Laval et l’artiste ou le collectif résident.
Il précise le calendrier de la résidence, l’échéancier de versement de l’allocation de résidence, et les conditions de prise charge par la ville :
D’un lieu d’hébergement
Des frais liés à d’éventuels déplacements de l’intervenant en dehors de la période de résidence
Du coût des ateliers de création
Du coût de réalisation et de mise en place de l’œuvre
Du coût lié à une exposition ou à une autre action de valorisation de la résidence et/ou du parcours créatif de l’artiste
La Ville de Laval s’engage par ailleurs à :
Proposer à l’artiste ou au collectif résident des lieux pour réaliser son œuvre
Indiquer le ou les lieux choisis pour la réalisation ainsi que les contraintes techniques
Contacter le service voirie et domaine public pour les autorisations d’occupation du domaine public
I V – 3 Candidature
Peut faire acte de candidature tout artiste ou collectif résidant en France ou à l’international, justifiant d’une production régulière et récente dans le champ des arts visuels,
et affilié à une structure morale lui permettant de transmettre un n° de SIRET.
Pour une implication efficace dans la relation avec tous les acteurs et partenaires, la maîtrise de la langue française est nécessaire.
L’artiste ou le collectif doit être autonome dans ses déplacements.
I V – 4 Éléments à fournir
Le candidat devra fournir les éléments suivants :
Un curriculum vitae détaillé
Un dossier artistique présentant un ensemble d’œuvres représentatif de la démarche artistique et témoignant de son expérience dans un projet d’éducation artistique et culturelle
Une courte note d’intention décrivant la démarche globale envisagée dans le cadre de la résidence
Un calendrier prévisionnel de la résidence, décomposant chacune des phases principales de conception et de réalisation de l’œuvre
Un budget distinguant les achats de matériaux nécessaires aux temps d’ateliers et ceux utilisés pour la création finale
Pour tout complément d’informations, vous pouvez contacter : Amélie de Sercey-Granger Référente jeune public
Direction Générale Adjointe Culture – Tourisme – Sport Service patrimoine et médiation de la Ville de Laval amelie.desercey@laval.fr - 02 53 74 12 54
La date limite de dépôt des dossiers est fixée au 27.09.2020.
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Merci d’envoyer les dossiers uniquement en version numérique aux trois services suivants :
Service territoires et publics Direction Régionale des Affaires Culturelles – Région Pays de la Loire stp.paysdelaloire@culture.gouv.fr
Contrat local d’éducation artistique et culturelle Direction Générale Adjointe Culture Tourisme Sports – Ville de Laval olivier.michaud@laval.fr
Service patrimoine et médiation Direction Générale Adjointe Culture Tourisme Sports – Ville de Laval amelie.desercey@laval.fr
Le dossier doit être envoyé en un seul fichier PDF (4 Mo max). Le jury de sélection se réunira à Laval début novembre.
Annexe 1 Présentation générale du site
Le quartier Ferrié s’étend sur une surface de 50 hectares, dont 29.2 hectares sont occupés
par la ZAC (Zone d’Aménagement Concerté). Il s’agit d’un quartier mixte comprenant à la fois des logements neufs ou réhabilités et des lieux d’activité :
– Commerces et services de proximité
– Équipements publics (hôtel communautaire, Espace Mayenne)
– Activités tertiaires et de loisirs (skate park, hôtellerie, équipements sportifs indoor) Une réflexion sur les enjeux environnementaux est actuellement menée :
– Développement des nouvelles formes de mobilité
– Forte densité végétale avec des essences bocagères : chêne, saule, frêne, arbres fruitiers
– Présence de vergers où chacun pourra se servir à loisirs
– Réseau de collecte d’eau : noues (fossés herbeux), bassins plantés
– Constitution d’une trame verte et bleue pour permettre les déplacements de la faune locale 
2 Éléments d’histoire, d’architecture et d’urbanisme concernant le site 
Historique du site :
– Préhistoire : au nord, traces d’occupation humaine depuis le paléolithique
– Moyen-âge : plusieurs fermes dont celle de la Ribaudière, présence d’une fuye
– Temps modernes : ancien couvent Sainte-Catherine
–
Epoque contemporaine : établissement d’un champ de manœuvre (1863), construction de la caserne (1873)
Bâtiments contemporains : – Pôle Emploi 
– Espace Mayenne 
– EHPAD 
– Bâtiment R83 
Bâtiments récemment réhabilités : 
– Hôtel communautaire 
– Bâtiment abritant Laval Économie Emploi 
– CCAS 
– Pôle régional de formation santé – social 



APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE

Résidence artistique « Territoires urbains en mutation » / COLOMBES NANTERRE
L’ensemble du dossier est à adresser au plus tard le dimanche 13.09.20
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https://www.nanterre.fr/2628-appel-a-residence-artistique-2020-2021.htm
Dans le cadre du Contrat local d’éducation artistique (CLEA) pour l’année 2020-2021, avec la thématique suivante : « Territoires urbains en mutation » et sur une période de 8 mois à temps plein sur chaque ville entre novembre 2020 et septembre 2021.
En partenariat avec les villes de Colombe et de Nanterre, la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France, le Conseil départemental des Hauts-de-Seine et l’Éducation nationale.
Appel à candidature en direction d’un collectif d’artistes ayant à son actif une production artistique contemporaine, une expérience significative dans le domaine de la co-création, de la médiation
et de la transmission de pratiques auprès de publics éclectiques dans les différents champs esthétiques suivants : arts de la rue et pratiques urbaines, arts visuels et numériques, arts plastiques, design et land art.
Le collectif d’artistes sélectionné bénéficiera d’une indemnité de résidence d’un montant global de 48.000 euros TTC à proratiser selon le nombre d’intervenants concernés
dans la mise-en-œuvre de la résidence-mission, comprenant la présence d’un administrateur.
Sur la base d’un grand projet d’ensemble, soutenu conjointement par les deux villes, la résidence-mission a pour finalité de permettre aux habitants, enfants, jeunes et adultes, de vivre une expérience sensible et originale,
de rencontrer un univers artistique singulier en contribuant à la réalisation d’une œuvre collective.
En lien avec son projet global, le collectif d’artistes en résidence pourra s’appuyer sur un réseau d’acteurs sociaux, culturels et artistiques ressources dans chacun des territoires de Colombes et de Nanterre.
Ces réseaux, composés d’équipements et d’opérateurs locaux, sont autant de relais pour la diffusion de son œuvre. Ils doivent également pouvoir accueillir des temps d’expérimentation et/ou de pratique artistique (ateliers, workshop…)
et permettre la valorisation des travaux menés avec les habitants.
La temporalité de la résidence devra comprendre des phases d’appropriation du territoire, de réalisation et de valorisation du projet.
Candidature
Peut faire acte de candidature tout collectif d’artistes professionnel résidant en France, maîtrisant l’usage oral et écrit de la langue française.
Les éléments à fournir :
Curriculum vitae des artistes intervenants et/ou du collectif et de l’administrateur mettant en valeur notamment différents types d’expériences de médiation auprès des publics,
Dossier de présentation de la démarche du collectif candidat et de sa production existante
Note d’intention présentant les premières orientations artistiques, stratégiques, médiatiques et organisationnelles du projet proposé, fondée sur la thématique
« Territoires urbains en mutation » et tenant compte des particularités des territoires de Colombes et de Nanterre
Et pour plus d’informations, vous pouvez également vous renseigner auprès des deux référentes du dispositif :
À Colombes, Madame Delphine Iingigliardi : direction-culture@mairie-colombes.fr
À Nanterre, Madame Lilia Cohen Decerisy : ddcaction.culturelleterritoriale@mairie-nanterre.fr
L’ensemble du dossier est à adresser au plus tard le dimanche 13.09.20
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par envoi électronique (pdf ou lien web) à ces deux mêmes adresses.
Les dossiers pourront être accompagnés d’un DVD, CD ou clé USB.
Les candidats sélectionnés seront reçus par le comité de pilotage le vendredi 16 octobre 2020.
https://www.colombes.fr/tout-l-agenda/evenement-37/appel-a-residence-artistique-2020-2021-1466.html?tx_cal_controller%5Btype%5D=tx_cal_phpicalendar&cHash=37f68ce87563fc15656ea78bcde3e3a2
https://www.nanterre.fr/2628-appel-a-residence-artistique-2020-2021.htm
https://www.colombes.fr https://www.nanterre.fr


APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE

Usine Utopik Résidences arts plastiques / TESSY BOCAGE
L’association ADN - Usine Utopik est un Centre de Création Contemporaine implanté en milieu rural, dans les anciennes serres horticoles de Tessy Bocage (en région Normandie).
Dossier de candidature à envoyer avant le 16.10.2020
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Situées dans une commune de 1500 habitants, les résidences à l’Usine Utopik offrent un cadre privilégié aux artistes pour concevoir un projet donnant lieu à une exposition.
Le centre contribue à soutenir les artistes dans toutes les phases du travail de la recherche à la diffusion.
L’Usine Utopik se veut un espace d’expérimentation et de recherche pour accompagner et promouvoir les projets artistiques, favoriser la rencontre avec les publics via des temps d’échanges, de découvertes et de pratiques.
L’Usine Utopik accueille également des auteurs en résidence et présente un programme culturel diversifié (expositions, artothèque, lectures publiques, politique éditoriale, etc.) voué à rapprocher les publics des différentes expressions artistiques.
L’appel à résidence s’adresse à tous les artistes diplômés, ayant une pratique professionnelle dans la création contemporaine (peinture, sculpture, installation, photo, dessin, céramique, performance, etc.)
sans limite d’âge et de nationalité.
A raison de six résidences par an, du printemps à l’automne, l’Usine Utopik accueille simultanément deux artistes. Cette organisation nécessite une collaboration pour l’exposition pouvant donner lieu à un projet artistique commun.
DEROULEMENT Au cours de la résidence, les artistes sont amenés à questionner leur travail au regard du territoire, de son histoire et de sa géographie.
L’artiste doit tenir compte des spécificités du bâtiment dans son processus de création et dans sa présentation.
La serre de l’Usine Utopik est un très vaste espace de 1500 m2 comprenant des ateliers et un lieu d’exposition de 400m2 (20 m de largeur et longueur et 4 à 6 m de hauteur).
Cet espace offre une très grande luminosité, limitant certains projets (diffusion d’images depuis vidéoprojecteurs, écrans tv, etc.) Le bâtiment comporte des écarts thermiques liés à « l’effet de serre ».
Cette contrainte doit être prise en compte pour les projets utilisant des matériaux fragiles et également pour la photographie. Tous ces paramètres doivent être étudiés pour les projets présentant des vidéos, photos, dessins, installations fragiles, etc.
Une visite des lieux avant la résidence peut être conseillée afin d’évaluer la faisabilité du projet.
Les artistes accueillis se situent dans une démarche d’ouverture aux publics : qu’il s’agisse de montrer une étape de travail, d’une rencontre avec le public, d’un atelier de pratique artistique.
La résidence se déroule sur une période 54 jours. La présence de l’artiste est requise pendant la durée de la résidence soit 45 jours de présence obligatoire.
Pendant la résidence, si l’artiste doit s’absenter pour d’éventuelles sollicitations, dont participation à des événements extérieurs, il devra respecter les jours d’absence autorisés soit 3 jours consécutifs
(sur un total de 9 jours) à condition que cela soit compatible avec le planning de résidence (accueil des publics) et la fiche de présence signée chaque jour.
Le non respect de cette convention inclura une pénalité journalière de 50€ (par jour d’absence).
Des projets avec une dimension numérique peuvent être envisagés via le dispositif de caméra haute définition. Il s’agit ici d’encourager les projets novateurs incluant les nouvelles technologies.
Ce matériel mis à disposition des artistes peut servir de support artistique ou d’outils d’échange via le dispositif de visio-conférence utilisé en réseau avec les collèges et lycées du département.
LES MODALITES FINANCIERES L’artiste bénéficiera d’une bourse de création d’une valeur de 2 250 euros brut et d’une aide financière pour les frais de production associés à la résidence,
à hauteur maximum de 1500 euros sur présentation de justificatifs.
En raison des modifications du traitement des cotisations sociales 2019, aucun précompte ne sera réalisé par l’Usine Utopik si l’artiste déclare ses revenus en BNC
(une copie d’attestation de dispense de précompte ou un avis de situation au répertoire SIRENE sera demandé).
Dorénavant le précompte concernera uniquement les artistes-auteurs qui ont un statut fiscal en France et qui déclarent leurs revenus artistiques en « Traitement et salaire ».
L’Usine Utopik reversa à l’URSSAF 1,1 % du montant brut de la bourse versée pour la contribution de diffuseur. Une convention sera signée entre l’artiste et l’association.
LES MODALITES PRATIQUES D’ACCUEIL Le logement est pris en charge par l’Usine Utopik.
L’appartement est occupé par les artistes invités simultanément en résidence. L’artiste dispose d’une chambre, les pièces de vie dont la salle à manger, cuisine, salle de bain et toilettes sont des espaces communs.
Un atelier est mis à disposition dans le centre.
Une aide technique peut être envisagée dans la limite des moyens de la structure.
L’Usine Utopik met à disposition un outillage électro-portatif (pour plus de précision sur le matériel, nous consulter)
Les charges d’eau et d’électricité sont assumées par l’Usine Utopik.
L’accès à la wifi est fourni dans chaque atelier.
L’Usine Utopik prend en charge tous les frais liés à l’inauguration de l’exposition (communication, vernissage…).
Les communications téléphoniques, les déplacements A/R et les frais alimentaires sont des frais restant à la charge de l’artiste.
Pour la résidence, il est fortement conseillé d’être véhiculé car la commune de Tessy ne bénéficie pas de transports en commun (bus et train). La ville la plus proche, Saint-Lô se situe à 18 kms.
LES CONTREPARTIES L’artiste doit être présent les jours d’ouverture du centre.
Au cours de la résidence, il est amené à présenter son travail, à mener des rencontres et des ateliers pour différents publics (scolaires, centres médico-sociaux, centres de loisirs…)
permettant d’échanger, de sensibiliser et d’impliquer les publics dans le processus de création.
LA DIFFUSION ET LA MEDIATION
Les œuvres réalisées au cours de la résidence restent la propriété de l’artiste. A l’issue de son séjour, l’artiste s’engage à présenter son projet artistique dans l’espace d’exposition,
donnant lieu à des actions avec le public animées par la médiatrice. L’Usine Utopik publie un fascicule en quadri format A5 pour restituer le travail réalisé durant la résidence.
L’Usine Utopik prend en charge l’organisation des temps d’ouverture au public afin de permettre aux artistes de rencontrer et d’échanger avec des enfants, des adultes, des professionnels…
LE DOSSIER DE CANDIDATURE La sélection s’effectue à partir des éléments suivants qui doivent être fournis :
une note d’intention décrivant le projet artistique, les recherches que l’artiste souhaite entreprendre ainsi que les médias envisagés (problématique(s), objectif(s), techniques(s), axe(s) de travail…).
Ce projet devra être pensé in-situ en tenant compte des contraintes du lieu.
un dossier artistique comportant des visuels d’œuvres et/ou d’expositions et un texte sur le travail.
un Curriculum Vitae à jour
une copie de l’attestation d’assujettissement ou d’affiliation à la Maison des artistes-sécurité sociale, AGESSA ou URSSAF, ou document similaire prouvant le statut professionnel pour les artistes étrangers.
n° de sécurité sociale.
n° de SIRET ou toute pièce administrative et fiscale permettant de prouver la capacité d’édition de factures.
une attestation d’assurance responsabilité civile.
Les travaux peuvent être présentés sous forme de photos sur dvd, cd ou USB… (pièces courtes ou extraits).
courrier accompagné d’une enveloppe au format du dossier, affranchie et libellée au nom et adresse de l’artiste pour le renvoi des dossiers non retenus.
Les participants seront informés des résultats de la sélection par e-mail. En raison d’un nombre conséquent de dossiers envoyés chaque année, nous ne pourrons malheureusement apporter à chacun des précisons sur le refus.
Les courriers par e-mail sont acceptés. Seuls les fichiers envoyés au format PDF (non téléchargeables sur serveur) seront étudiés.
Objet du mail : NOM Prénom - Candidature résidence arts-plastiques 2021 Le comité de sélection se réunira en novembre 2020. Les artistes présélectionnés seront conviés à un entretien téléphonique ou par skype à partir de cette date.
Dossier de candidature à envoyer avant le 16.10.2020
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par e-mail : usineutopik@gmail.com ou par voie postale : Usine Utopik - Centre de Création Contemporaine Route de Pont Farcy - 50420 TESSY BOCAGE
Informations complémentaires Monsieur Xavier Gonzalez, directeur / Madame Delphine Grimaud, coordinatrice culturelle 02 33 06 01 67 / usineutopik@gmail.com
www.usine-utopik.com


APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE

Usine Utopik Résidences auteur.trice / TESSY BOCAGE
Dossier de candidature à envoyer avant le 16.10.2020
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Le Relais Culturel Régional, l’Usine Utopik accueille chaque année des auteurs en résidence pour mener un projet d’écriture durant un mois.
L’Usine Utopik est un Centre de Création Contemporaine, Relais Culturel Régional implanté en milieu rural, dans les anciennes serres horticoles de Tessy-sur-Vire en Normandie.
Projet initié par l’Usine Utopik, les résidences d’auteur se déroulent sur le territoire et offrent un cadre privilégié de réflexion et d’expression autour d’un projet personnel.
Le centre contribue à soutenir les artistes dans toutes les phases de leur travail, de la recherche à la diffusion.
Lieu d’échanges et de rencontres, les résidences facilitent le développement local à travers un programme d’actions destinées à un public diversifié et créent une véritable dynamique culturelle.
Les projets liés au territoire, à son histoire et à sa géographie sont fortement appréciés. Les auteurs sont ainsi amenés à questionner leur travail au regard du territoire et pouvant impliquer la population locale
LA RESIDENCE L’Usine Utopik accueillera en 2021 deux écrivains, en partenariat avec des structures culturelles et éducatives locales. Chaque auteur sera invité durant 30 jours (période consécutive).
La résidence est ouverte à tous les genres littéraires, aux auteurs français et étrangers francophones. Les candidats seront sélectionnés par un jury constitué de spécialistes du monde littéraire et des représentants de l’Usine Utopik.
Objectifs : Développer de nouvelles approches de la lecture et de l’écriture, en particulier chez le jeune public


Dynamiser la lecture publique sur le territoire
Encourager la création en permettant à un auteur, écrivain, de développer son projet d’écriture, en s’immergeant dans l’environnement local du lieu de résidence
Construire un autre regard sur la création pour tous les publics
Critères d’admissibilité : Langue d’écriture : français


Avoir un projet d’écriture littéraire (roman, nouvelle, récit, poésie, livre graphique) à développer en résidence.
Contreparties : La résidence offrira à l’auteur-e le temps et la liberté de poursuivre son travail de création en cours. Il-elle sera libre de consacrer au moins 70 % de son temps à ce travail personnel.
L’auteur-e consacrera 30% de son temps de travail à des actions de médiation (ateliers d’écriture, lecture, rencontres et débats…) en direction du public scolaire et plus largement sur le territoire.
Les actions seront préparées en amont entre les partenariats de l’Usine Utopik (Médiathèques, bibliothèques, centres de documentation, établissements scolaires…) et l’auteur.
L’auteur accepte que des informations le concernant (bibliographie, extraits, photos, etc.) soient mises en ligne sur le site Internet et sur les différents supports de communication édités par l’Usine Utopik.
Conditions d’accueil : L’auteur sera logé soit dans un appartement sur la commune de Tessy-sur-Vire soit à proximité du lieu partenaire.
L’auteur devra travailler au sein et avec les médiathèques et établissements scolaires partenaires au projet.

Pour la résidence, il est fortement conseillé d’être véhiculé car la commune de Tessy ne bénéficie pas de transports en commun (bus et train).
La ville la plus proche, Saint-Lô se situe à 18 kms. Les communications téléphoniques, les frais de déplacement et les frais alimentaires sont à la charge du résident.

La structure s’engage à faciliter la rencontre avec le milieu culturel local et cela à la demande de l’auteur. La résidence est assortie d’une allocation de 2230 euros brut.
Cette allocation est reversée en droits d’auteur. En raison des modifications du traitement des cotisations sociales 2019, aucun précompte ne sera réalisé par l’Usine Utopik si l’artiste déclare ses revenus en BNC
(une copie d’attestation de dispense de précompte ou un avis de situation au répertoire SIRENE sera demandé).
Dorénavant le précompte concernera uniquement les artistes-auteurs qui ont un statut fiscal en France et qui déclarent leurs revenus artistiques en « Traitement et salaire ».
L’Usine Utopik reversa à l’URSSAF 1,1 % du montant brut de la bourse versée pour la contribution de diffuseur.
L’auteur devra fournir un dossier de candidature :
un dossier présentant son travail personnel


un curriculum vitae et une bibliographie mis à jour

une note d’intention décrivant le projet d’écriture et les thèmes d’animation
des ouvrages, documents, textes déjà réalisés

une attestation d’assurance responsabilité civile
Courrier accompagné d’une enveloppe au format du dossier, affranchie et libellée (noms et adresse du candidat pour le renvoi des dossiers non retenus).
Les courriers électroniques sont acceptés (fichier en format PDF uniquement). Objet du mail : NOM Prénom - Candidature résidence AUTEUR 2021
Les candidats seront informés des résultats de la sélection par courrier électronique.
En raison d’un nombre conséquent de dossiers envoyés chaque année, nous ne pourrons malheureusement apporter à chacun toutes les précisions suite à un refus.
Le comité de sélection se réunira en novembre 2020. Les artistes présélectionnés seront conviés à un entretien téléphonique ou par skype à partir de cette date.
Dossier de candidature à envoyer avant le 16.10.2020
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à Monsieur Xavier GONZALEZ Directeur de l’Usine Utopik - Centre de Création Contemporaine / La Minoterie / 50420 TESSY BOCAGE ou par e-mail : usineutopik@gmail.com
Informations complémentaires Monsieur Xavier Gonzalez, directeur / Madame Delphine Grimaud, coordinatrice culturelle 02 33 06 01 67 ou usineutopik@gmail.com www.usine-utopik.com


APPEL À RÉSIDENCE ARTISTIQUE

Usine Utopik Résidences collectif d’artistes (entre 3 et 5 artistes) / TESSY BOCAGE
Dossier de candidature à envoyer avant le 16.10.2020
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L’association ADN - Usine Utopik est un Centre de Création Contemporaine implanté en milieu rural, dans les anciennes serres horticoles de Tessy Bocage (en région Normandie).
Situées dans une commune de 1500 habitants, les résidences à l’Usine Utopik offrent un cadre privilégié aux artistes pour concevoir un projet donnant lieu à une exposition.
Le centre contribue à soutenir les artistes dans toutes les phases du travail de la recherche à la diffusion.
L’Usine Utopik se veut un espace d’expérimentation et de recherche pour accompagner et promouvoir les projets artistiques, favoriser la rencontre avec les publics via des temps d’échanges, de découvertes et de pratiques.
L’Usine Utopik accueille également des auteurs en résidence et présente un programme culturel diversifié (expositions, artothèque, lectures publiques, politique éditoriale, etc.) voué à rapprocher les publics des différentes expressions artistiques.
L’appel à résidence s’adresse à tous les artistes diplômés, regroupé en un collectif, ayant une pratique professionnelle dans la création contemporaine
(peinture, sculpture, installation, photo, dessin, céramique, performance, etc.) sans limite d’âge et de nationalité.
A raison de six résidences par an jusqu’à présent, l’Usine Utopik souhaite cette année accueillir un collectif d’artistes en résidence (collectif de 4 artistes maximum).
LE DEROULEMENT Au cours de la résidence, les artistes sont amenés à questionner leur travail au regard du territoire, de son histoire et de sa géographie.
Le collectif doit tenir compte des spécificités du bâtiment dans son processus de création et dans sa présentation. La serre de l’Usine Utopik est un très vaste espace de 1500 m2 comprenant des ateliers
et un lieu d’exposition de 400m2 (20 m de largeur et longueur et 4 à 6 m de hauteur).
Cet espace offre une très grande luminosité, limitant certains projets (diffusion d’images depuis vidéoprojecteurs, écrans tv, etc.) Le bâtiment comporte des écarts thermiques liés à « l’effet de serre ».
Cette contrainte doit être prise en compte pour les projets utilisant des matériaux fragiles et également pour la photographie. Tous ces paramètres doivent être étudiés pour les projets présentant des vidéos, photos, dessins, installations fragiles, etc.
Une visite des lieux avant la résidence peut être conseillée afin d’évaluer la faisabilité du projet.
Les artistes accueillis se situent dans une démarche d’ouverture aux publics : qu’il s’agisse de montrer une étape de travail, d’une rencontre avec le public, d’un atelier de pratique artistique.
La résidence se déroule sur une période 54 jours. La présence du collectif est requise pendant la durée de la résidence soit 45 jours de présence obligatoire.
Pendant la résidence, si les artistes doivent s’absenter pour d’éventuelles sollicitations, dont participation à des événements extérieurs, ils devront respecter les jours d’absence autorisés soit 3 jours consécutifs (sur un total de 9 jours)
à condition que cela soit compatible avec le planning de résidence (accueil des publics). Le non respect de cette convention inclura une pénalité journalière de 50 euros (par jour d’absence).
Des projets avec une dimension numérique peuvent être envisagés via le dispositif de caméra haute définition. Il s’agit ici d’encourager les projets novateurs incluant les nouvelles technologies.
Ce matériel mis à disposition des artistes peut servir de support artistique ou d’outils d’échange via le dispositif de visio-conférence utilisé en réseau avec les collèges et lycées du département.
LES MODALITES FINANCIERES Une aide financière d’un montant global de 11 250 euros est allouée pour la résidence du collectif comprenant une bourse de création de 6 750 euros (versement forfaitaire)
et une aide financière pour les frais de production associés à la résidence, à hauteur maximum de 4 500 euros sur présentation de justificatifs. En raison des modifications du traitement des cotisations sociales 2019,
aucun précompte ne sera réalisé par l’Usine Utopik si le collectif déclare ses revenus en BNC
(une copie d’attestation de dispense de précompte ou un avis de situation au répertoire SIRENE sera demandé). Dorénavant le précompte concernera uniquement les artistes-auteurs
qui ont un statut fiscal en France et qui déclarent leurs revenus artistiques en « Traitement et salaire ».
L’Usine Utopik reversa à l’URSSAF 1,1 % du montant brut de la bourse versée pour la contribution de diffuseur.
Une convention sera signée entre les membres du collectif et l’association.
LES MODALITES PRATIQUES D’ACCUEIL Le logement est pris en charge par l’Usine Utopik. L’appartement dispose de 3 chambres et d’espaces communs à partager ; la salle à manger, cuisine, salle de bain et toilettes. (Possibilité d’agencer un 4ème couchage dans le salon).
Deux ateliers de 70m2 sont mis à disposition du collectif dans le centre. Une aide technique peut être envisagée dans la limite des moyens de la structure.
L’Usine Utopik met à disposition un outillage électro-portatif (pour plus de précision sur le matériel, nous consulter)
Les charges d’eau et d’électricité sont assumées par l’Usine Utopik. L’accès à la wifi est fourni dans chaque atelier. L’Usine Utopik prend en charge tous les frais liés à l’inauguration de l’exposition (communication, vernissage…).
Les communications téléphoniques, les déplacements A/R et les frais alimentaires sont des frais restant à la charge de chaque artiste.
Pour la résidence, il est fortement conseillé d’être véhiculé car la commune de Tessy ne bénéficie pas de transports en commun (bus et train). La ville la plus proche, Saint-Lô se situe à 18 km.
LES CONTREPARTIES Les artistes doivent être présent les jours d’ouverture du centre. Au cours de la résidence, ils sont amenés à présenter leur travail, à mener des rencontres et des ateliers - co-organisés avec la personne en charge de la médiation

  • pour différents publics (scolaires, centres médico-sociaux, centres de loisirs…) permettant d’échanger, de sensibiliser et d’impliquer les publics dans le processus de création.
    LA DIFFUSION ET LA MEDIATION Les œuvres réalisées au cours de la résidence restent la propriété du collectif. A l’issue de son séjour, le collectif s’engage à présenter son projet artistique dans l’espace d’exposition,
    donnant lieu à des actions avec le public animées par la personne en charge de la médiation. L’Usine Utopik publie un fascicule en quadri format A5 pour restituer le travail réalisé durant la résidence.
    L’Usine Utopik prend en charge l’organisation des temps d’ouverture au public afin de permettre aux artistes de rencontrer et d’échanger avec des enfants, des adultes, des professionnels…
    LE DOSSIER DE CANDIDATURE La sélection s’effectue à partir des éléments suivants qui doivent être fournis :
    une note d’intention décrivant le projet artistique, les recherches que le collectif souhaite entreprendre ainsi que les médias envisagés (problématique(s), objectif(s), techniques(s), axe(s) de travail…).
    Ce projet devra être pensé in-situ en tenant compte des contraintes du lieu.

un dossier artistique comportant des visuels d’œuvres et/ou d’expositions et un texte sur le travail.
un Curriculum Vitae à jour des membres du collectif
une attestation d’affiliation à la Maison des artistes-sécurité sociale, AGESSA ou URSSAF, et une dispense de précompte à jour si c’est le cas d’au moins un des membres du collectif /
ou document similaire prouvant le statut professionnel pour les artistes étrangers.
un avis de situation de l’INSEE attestant de l’immatriculation de l’entreprise d’au moins un des membres du collectif https://avis-situation-sirene.insee.fr/
n° de sécurité sociale des membres du collectif
une attestation d’assurance responsabilité civile
Les travaux peuvent être présentés sous forme de photos sur dvd, cd ou USB… (pièces courtes ou extraits).
un courrier accompagné d’une enveloppe au format du dossier, affranchie et libellée au nom et adresse du collectif pour le renvoi des dossiers non retenus.
Les participants seront informés des résultats de la sélection par e-mail. En raison d’un nombre conséquent de dossiers envoyés chaque année, nous ne pourrons malheureusement apporter à chacun des précisons sur le refus.
Les courriers par e-mail sont acceptés. Seuls les fichiers envoyés au format PDF (non téléchargeables sur serveur) seront étudiés.
Objet du mail : NOM du COLLECTIF - Candidature résidence de collectif 2021 Le comité de sélection se réunira en novembre 2020.
Les collectifs présélectionnés seront conviés à un entretien téléphonique ou par skype à partir de cette date.
Dossier de candidature à envoyer avant le 16.10.2020
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par e-mail : usineutopik@gmail.com ou par voie postale : Usine Utopik - Centre de Création Contemporaine Route de Pont Farcy - 50420 TESSY BOCAGE
Informations complémentaires Monsieur Xavier Gonzalez, directeur / Madame Delphine Grimaud, coordinatrice culturelle 02 33 06 01 67 / usineutopik@gmail.com
www.usine-utopik.com


OFFRE D’EMPLOI

Recherche un.e chargé.e d’accueil au CRP Centre régional de la photographie / DOUCHY-LES-MINES
Date limite de réception des candidatures : 17.08.2020
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Fondé en 1982, le CRP/ situé à Douchy-les-Mines et labellisé en 2019 « centre d’art contemporain d’intérêt national », est un lieu d’exposition, de soutien à la création, d’expérimentation,
de diffusion et de médiation œuvrant dans le champ de la photographie et de l’image contemporaine.
Le CRP/ a la particularité d’être doté d’un fonds comprenant une collection de près de 9 000 œuvres, une artothèque et une bibliothèque d’ouvrages photographiques de référence et de livres d’artistes.
Cette collection constitue un ensemble exceptionnel témoignant de la diversité et de la richesse de la création photographique depuis plus de trente ans en France et à l’étranger.
Ancré sur son territoire et tourné vers d’autres scènes artistiques à l’étranger, la programmation du CRP/ repose sur l’invitation à des artistes à produire de nouvelles œuvres,
souvent réalisées dans le cadre de séjours de recherche ou de résidences sur le territoire.
Elle s’intéresse à la pluralité des approches de la photographie et de l’image au sein des pratiques artistiques contemporaines et aux rapports des artistes à l’espace social et politique.
À ce programme artistique s’articule un programme culturel in situ et hors-les-murs d’expositions, de conférences, de séances cinéma ou de performances, ainsi que des projets pédagogiques
et culturels menés autour des œuvres et avec les artistes.
En tant que centre d’art, le CRP/ développe une médiation basée sur l’échange et l’expérimentation. Implanté à l’est du bassin minier, à la frontière de zones urbaines, péri-urbaines et rurales,
il entretient un lien fort avec son territoire et s’adresse à un public large.
Il développe des actions nombreuses et protéiformes, avec une attention particulière pour des formes souples.
Le projet est porté par une équipe de 7 personnes, dont les missions demeurent ouvertes à la polyvalence et s’inscrivent dans une dynamique de collaboration.
A la rentrée de septembre 2020, le CRP/ inaugure LaBOX, nouvel espace dédié aux publics, destiné à ouvrir le centre d’art sur la commune et resserrer les liens avec les habitants.
Dans ce contexte, il recherche une personne pour compléter son équipe de médiation et renforcer les propositions faites sur les temps de weekend.
MISSIONS :
Sous la responsabilité de la directrice et en lien avec l’équipe des publics, il/elle aura : Pour missions principales, liées à l’accueil des publics :

  • accueillir, renseigner et accompagner les visiteurs individuels sur l’exposition temporaire en cours et sur l’ensemble des activités du CRP/,
  • assurer la surveillance des œuvres, - renseigner le tableau de fréquentation des visiteurs, - tenir l’accueil téléphonique.
    Ces missions se feront en lien avec l’équipe des publics. Accompagné.e sur ces temps de travail, le/la chargé.e d’accueil sera associé.e à des travaux de recherches documentaires,
    visant à enrichir et nourrir la production de contenu pédagogique (eXploreXpo, carnets de visite, ..). Il/elle participera également à la mise en œuvre des temps forts du centre d’art
    (vernissage, rencontre avec les artistes, ...).
    Pour missions secondaires ponctuelles liées à la communication du CRP/ :
  • préparation de l’envoi en nombre invitations des expositions (mise sous pli), - renfort Community management,
  • renfort dans l’élaboration de la revue de presse, - mise à jour ponctuelle du fichier mailing du CRP/, - renfort mise à jour du site Internet.
    COMPÉTENCES :
  • Formation supérieure en histoire de l’art et/ou aux métiers de la culture avec un intérêt confirmé pour l’art contemporain et la photographie, et les questions relatives à la transmission,
  • Goût pour l’accueil des publics et l’échange, aisance orale et capacité à s’adapter à des publics variés, - Curiosité, créativité, sens de l’initiative, - Maitrise des outils informatiques,
  • Maîtrise de l’anglais à l’oral appréciée, - Permis B souhaité.
    CONDITIONS :
    CDD, temps partiel Temps de travail : samedi/dimanche et jours fériés de 14h à 18h
    Rémunération : SMIC horaire en vigueur Lieu de travail : Douchy-les-Mines (59) Poste à pourvoir : septembre 2020
    POSTULER :
    Merci d’envoyer un curriculum vitae et une lettre de motivation par courrier ou par mail et à l’attention de Madame Muriel Enjalran, Directrice du CRP : contact@crp.photo
    Date limite de réception des candidatures : 17.08.2020
    ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
    Prise de poste : septembre 2020
    Place des Nations - 59282 Douchy-les-Mines +33 (0) 327 43 56 50 - F +33 (0) 327 31 31 93 contact@crp.photo
    https://www.crp.photo/

OFFRE D’EMPLOI

Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA recherche un.e assistant·e régie CDI, à pourvoir dès le 1 novembre 2020 / BORDEAUX
Le Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA a pour mission la constitution d’une collection d’art contemporain d’envergure internationale (riche de plus de 1200 oeuvres)
dont il assure la diffusion par le biais d’expositions en région, mais aussi à l’échelle nationale et internationale. Il développe des actions de sensibilisation à l’art de notre temps en direction d’un large public.
En 2019, le Frac a intégré la MÉCA, nouveau bâtiment contemporain financé par la Région Nouvelle-Aquitaine avec le soutien de l’Etat.
Candidatez avant le 10.09.2020 (cachet de la poste faisant foi)
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Informations de contact administration@frac-meca.fr - 0556247136
Mission(s) Collection et conservation :
Mise en application technique des chantiers de collection en lien avec l’adjointe du pôle Collection et diffusion.
Seconder l’adjointe du pôle Collection et diffusion sur le suivi scientifique de la collection : état de la collection, constats d’état des oeuvres, veille en matière de conservation préventive et d’entretien des oeuvres exposées et stockées.
Suivi technique des oeuvres de la collection selon les règles de la conservation préventive : manipulation, manutention, mouvements des oeuvres, charges lourdes occasionnelles.
Suivi des réserves : maintenance des lieux, climat, rangement, nettoyage des caisses.
Suivi administratif sur la base de données lié à la régie (localisation des oeuvres dans les réserves et sur la base, fiches caisse).
Conception des fiches techniques des oeuvres.
Construction caisses et amélioration des marquages et conditionnements des oeuvres.
Recherche et commande matériel.
Coordination de stagiaire.
Exposition et diffusion
Montages et démontages d’expositions.
Suivi technique et maintenance des oeuvres présentées dans les expositions du Frac à la MÉCA.
Accueil et suivi technique du pôle production.
Logistique événementielle au sein des espaces à la MÉCA, dont l’auditorium.
Suivi et maintenance du parc audio-visuel du Frac à la MÉCA.
Travail en hauteur occasionnel, port de charge lourde.
Participation à des événements valorisant la collection et les activités du Frac.
Les missions et attributions indiquées ci-dessus ne représentent ni un caractère exhaustif, ni un caractère définitif
Profil et compétences recherchés
Connaissance des règles de base en conservation préventive.
Solides bases techniques et bonne maitrise manuelle : menuiserie, électricité, peinture, enduit…
Maîtrise des techniques de manipulation et de conditionnement des oeuvres d’art et de montage et démontage d’expositions.
Bonnes notions des techniques audiovisuelles.
Maîtrise des outils informatiques (connaissance de Gcoll2 et de la suite Adobe appréciée).
Grand sens de la méthode, de l’organisation et de la rigueur.
Capacité d’anticipation, de hiérarchisation, de prévention, de gestion et sens pratique.
Goût du travail en équipe, dynamisme.
Maîtrise de l’anglais (oral et écrit).
Permis B obligatoire.
Habilitations électrique, travail en hauteur et CACES appréciées.
Modalités de candidature
Envoyer une lettre de motivation et un curriculum vitae, uniquement par courrier postal,
avant le 10.09.2020 (cachet de la poste faisant foi)
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au : Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA Monsieur Bernard de Montferrand, Président MÉCA 5 Parvis Corto Maltese CS 91994 33088 Bordeaux cedex
https://fracnouvelleaquitaine-meca.fr